Le pas de toujours
Si l'on convoquait
Toutes les paroles
On en aurait jamais assez
Pour y décrire la vie folle
Si l'on convoquait tous le mots
De ce qui dans les yeux transparaitrait
Aucune plume n'arriveraient à l'écrire
Aucune feuille n'en transpirerait
Si l'on convoquait tous les soleils
Il nous diraient surement à l'oreille
Que tout le poids de la terre
Disparaitrait sous nos pieds
Si la nuit nous parlait
Elle viendrait nous montrer
Qu'un coeur bat sourd le jour
Et plus fort dans les pas de l'amour
Le voile satin recouvrant son écrin
Sur les blessures et entre nos seins
Carresserait nos profondes plaies
L'un contre l'autre, elle disparaitrait
Les pas de toujours
A la pendule fera le tour
Déchirant notre petit parcourt
Mais demeure comme au premier jour
Le même amour, et le restera pour toujours
Si l'on convoquait
Toutes les paroles
On en aurait jamais assez
Pour y décrire la vie folle
Si l'on convoquait tous le mots
De ce qui dans les yeux transparaitrait
Aucune plume n'arriveraient à l'écrire
Aucune feuille n'en transpirerait
Si l'on convoquait tous les soleils
Il nous diraient surement à l'oreille
Que tout le poids de la terre
Disparaitrait sous nos pieds
Si la nuit nous parlait
Elle viendrait nous montrer
Qu'un coeur bat sourd le jour
Et plus fort dans les pas de l'amour
Le voile satin recouvrant son écrin
Sur les blessures et entre nos seins
Carresserait nos profondes plaies
L'un contre l'autre, elle disparaitrait
Les pas de toujours
A la pendule fera le tour
Déchirant notre petit parcourt
Mais demeure comme au premier jour
Le même amour, et le restera pour toujours
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