LA PAZ, le 6 août.— Le président de Bolivie, Evo Morales, a relevé les progrès enregistrés dans les changements promus par son gouvernement depuis janvier 2006, qui sont le résultat de luttes historiques en faveur de la justice et de l’égalité sociale, a révélé l’agence Prensa Latina.
Au cours d’un rassemblement imposant devant le Palacio Quemado (le Palais Brûlé), le chef d’État a signalé que pour le 183e anniversaire de la Fête de l’indépendance, il ne saurait y avoir de meilleur hommage à ceux qui ont sacrifié leurs vies, comme le chef indien Tupac Katari, que les progrès enregistrés dans l’économie et dans la sphère sociale.
Dans son allocution à l’ensemble de la nation, Morales a souligné qu’au cours des deux ans et demi de l’actuelle administration, la Bolivie a cessé d’être un État mendiant grâce à la nationalisation de ressources telles que le pétrole et le gaz naturel, ainsi qu’au processus d’industrialisation.
A cet égard, il a signalé que l’époque où l’organe exécutif allait quémander des fonds aux organismes financiers internationaux, comme le faisaient les gouvernements néolibéraux qui s’étaient succédés jusqu’ici, est révolue.
Par ailleurs, il a déclaré que c’est aussi grâce à la révolution démocratique et culturelle intervenue dans son pays qu’en 2008 la Bolivie pourrait être déclarée Territoire sans analphabétisme au terme d’un projet mené à bien avec l’aide de Cuba et du Venezuela.
Plus loin, le président de Bolivie en a appelé à l’unité nationale à l’approche du référendum révocatoire de dimanche prochain, auquel quatre millions de votants décideront de la continuité ou non des autorités actuelles.
En ce sens, Evo Morales a exhorté les préfets de l’opposition à « se soumettre à la volonté du peuple souverain plutôt qu’à celle de l’empire » (les Etats-Unis).
Au cours d’un rassemblement imposant devant le Palacio Quemado (le Palais Brûlé), le chef d’État a signalé que pour le 183e anniversaire de la Fête de l’indépendance, il ne saurait y avoir de meilleur hommage à ceux qui ont sacrifié leurs vies, comme le chef indien Tupac Katari, que les progrès enregistrés dans l’économie et dans la sphère sociale.
Dans son allocution à l’ensemble de la nation, Morales a souligné qu’au cours des deux ans et demi de l’actuelle administration, la Bolivie a cessé d’être un État mendiant grâce à la nationalisation de ressources telles que le pétrole et le gaz naturel, ainsi qu’au processus d’industrialisation.
A cet égard, il a signalé que l’époque où l’organe exécutif allait quémander des fonds aux organismes financiers internationaux, comme le faisaient les gouvernements néolibéraux qui s’étaient succédés jusqu’ici, est révolue.
Par ailleurs, il a déclaré que c’est aussi grâce à la révolution démocratique et culturelle intervenue dans son pays qu’en 2008 la Bolivie pourrait être déclarée Territoire sans analphabétisme au terme d’un projet mené à bien avec l’aide de Cuba et du Venezuela.
Plus loin, le président de Bolivie en a appelé à l’unité nationale à l’approche du référendum révocatoire de dimanche prochain, auquel quatre millions de votants décideront de la continuité ou non des autorités actuelles.
En ce sens, Evo Morales a exhorté les préfets de l’opposition à « se soumettre à la volonté du peuple souverain plutôt qu’à celle de l’empire » (les Etats-Unis).