Le projet que nous propose Bouteflika est-il la solution pour une paix durable en Algérie ? L'avenir nous le dira.
En attendant, les terroristes du GSPC font dans la surenchère et menacent.
Le GSPC menace les algériens en France
Après avoir revendiqué l’attaque d’une base militaire en Mauritanie et soutenu l’assassinat de nos deux diplomates à Bagdad, ce groupe terroriste annonce qu’il compte s’en prendre aux Algériens ésidant ou séjournant dans l’Hexagone.
Ce groupe avait revendiqué l'attaque d'une base militaire mauritanienne qui avait fait 20 morts en prévenant que, désormais, son “action ne s'arrêterait pas à l'intérieur”. Son soutien à l’assassinat de nos deux diplomates à Bagdad avait confirmé son allégeance à l’organisation de Ben Laden.
Au moment où le président Abdelaziz Bouteflika appelle le peuple algérien à se prononcer sur son projet de réconciliation nationale qui promet le pardon aux terroristes, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) réaffirme son rejet de toute initiative visant à “faire cesser l’effusion de sang” en Algérie. Le GSPC menace une nouvelle fois d’étendre ses opérations hors d’Algérie. Cette organisation terroriste a, en effet, appelé “les musulmans résidant en France à attaquer les responsables liés au régime algérien présents sur le sol français”, dans un communiqué mis en ligne hier et rapporté par l’AFP à Dubaï. “Nous appelons nos frères en religion, résidant en France, (...) à traquer (...) la bande de criminels et d'apostats (...) qui ont trouvé dans ce pays un refuge sûr”, écrit le GSPC dans ce communiqué daté du 1er août dernier. Début juin, le GSPC avait déjà réussi à mener une opération hors du territoire algérien. Ce groupe avait revendiqué l'attaque par 150 hommes d'une base militaire mauritanienne (20 morts dont 5 assaillants) en prévenant que, désormais, son “action ne s'arrêterait pas à (son) ennemi à l'intérieur, mais qu'elle atteindrait les ennemis de notre foi où qu'ils se trouvent”. Cette attaque était la première manifestation évidente de cette internationalisation d'un groupe qui s'en prenait jusqu'alors aux militaires et aux policiers. “Nos véritables ennemis ne sont pas seulement les dirigeants militaires (algériens), mais aussi de nombreux civils réputés pour leur entière allégeance aux dirigeants français ; ce sont ceux qui ont une énorme influence au sommet de la pyramide du pouvoir” en Algérie, a ajouté le GSPC dans son communiqué. “Ils ont accaparé l'administration algérienne, les organes d'information, les grandes entreprises, les institutions culturelles et les diverses missions diplomatiques”, affirme encore l’organisation terroriste.
“Est-ce que vous allez les laisser se reposer en France où ils passent leurs vacances, récupérer leurs forces pour revenir ensuite (en Algérie) avec un nouveau souffle, comploter contre l'Islam et combattre les fidèles ?” s'interroge le GSPC. “Soutenez vos frères en Algérie en traquant ces criminels en France. Guettez-les partout (...). Cherchez-les dans les repaires de la corruption, dans les boîtes de nuit, les cabarets, les magasins de vente d'alcool (...) parce qu'ils ne vivent que dans les endroits du vice”, ajoute-t-il.
La suite : http://www.liberte-***********/edit.php?id=42879
En attendant, les terroristes du GSPC font dans la surenchère et menacent.
Le GSPC menace les algériens en France
Après avoir revendiqué l’attaque d’une base militaire en Mauritanie et soutenu l’assassinat de nos deux diplomates à Bagdad, ce groupe terroriste annonce qu’il compte s’en prendre aux Algériens ésidant ou séjournant dans l’Hexagone.
Ce groupe avait revendiqué l'attaque d'une base militaire mauritanienne qui avait fait 20 morts en prévenant que, désormais, son “action ne s'arrêterait pas à l'intérieur”. Son soutien à l’assassinat de nos deux diplomates à Bagdad avait confirmé son allégeance à l’organisation de Ben Laden.
Au moment où le président Abdelaziz Bouteflika appelle le peuple algérien à se prononcer sur son projet de réconciliation nationale qui promet le pardon aux terroristes, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) réaffirme son rejet de toute initiative visant à “faire cesser l’effusion de sang” en Algérie. Le GSPC menace une nouvelle fois d’étendre ses opérations hors d’Algérie. Cette organisation terroriste a, en effet, appelé “les musulmans résidant en France à attaquer les responsables liés au régime algérien présents sur le sol français”, dans un communiqué mis en ligne hier et rapporté par l’AFP à Dubaï. “Nous appelons nos frères en religion, résidant en France, (...) à traquer (...) la bande de criminels et d'apostats (...) qui ont trouvé dans ce pays un refuge sûr”, écrit le GSPC dans ce communiqué daté du 1er août dernier. Début juin, le GSPC avait déjà réussi à mener une opération hors du territoire algérien. Ce groupe avait revendiqué l'attaque par 150 hommes d'une base militaire mauritanienne (20 morts dont 5 assaillants) en prévenant que, désormais, son “action ne s'arrêterait pas à (son) ennemi à l'intérieur, mais qu'elle atteindrait les ennemis de notre foi où qu'ils se trouvent”. Cette attaque était la première manifestation évidente de cette internationalisation d'un groupe qui s'en prenait jusqu'alors aux militaires et aux policiers. “Nos véritables ennemis ne sont pas seulement les dirigeants militaires (algériens), mais aussi de nombreux civils réputés pour leur entière allégeance aux dirigeants français ; ce sont ceux qui ont une énorme influence au sommet de la pyramide du pouvoir” en Algérie, a ajouté le GSPC dans son communiqué. “Ils ont accaparé l'administration algérienne, les organes d'information, les grandes entreprises, les institutions culturelles et les diverses missions diplomatiques”, affirme encore l’organisation terroriste.
“Est-ce que vous allez les laisser se reposer en France où ils passent leurs vacances, récupérer leurs forces pour revenir ensuite (en Algérie) avec un nouveau souffle, comploter contre l'Islam et combattre les fidèles ?” s'interroge le GSPC. “Soutenez vos frères en Algérie en traquant ces criminels en France. Guettez-les partout (...). Cherchez-les dans les repaires de la corruption, dans les boîtes de nuit, les cabarets, les magasins de vente d'alcool (...) parce qu'ils ne vivent que dans les endroits du vice”, ajoute-t-il.
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