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Les PC portables coûteront désormais moins cher. Cela est possible grâce à une baisse de 10 % du taux de la taxe sur la valeur ajoutée, une mesure prise par les pouvoirs publics dans le cadre de loi de finances complémentaire pour 2008.
«Dans le but d’inciter les ménages à se doter de micros portables, le taux de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), applicable aux opérations de vente de micros portables, est ramené de 17 % à 7 %», a annoncé la direction générale des impôts (DGI) dans un communiqué rendu public avant-hier.
Cette réduction est accordée jusqu’au 31 décembre 2009, selon l’article 24 de la loi de finances complémentaire, a précisé la même source.
Voilà une mesure qui peut donner un coup de pousse à l’opération Ousratic initiée par les pouvoirs publics et dont le but est de voir équiper six millions de foyers en ordinateurs à l’horizon 2010.
Une opération qui a connu un certain ralentissement, pour ne pas dire a été carrément oubliée pendant un temps. Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, M. Hamid Bessalah, a récemment reconnu implicitement que l’opération Ousratic a quelque peu failli à ses objectifs, puisqu’il a estimé qu’il était nécessaire de faire une pause pour l’évaluer avant d’aller de l’avant. Le ministère a donc confié les missions de l’étude d’évaluation et d’expertise au CREAD, avant de prendre les mesures à même de donner un nouvel élan à Ousratic.
Si la nouvelle mesure de la baisse de la TVA pour les PC portables est de nature à «inciter les ménages» à se doter de ce genre de machine, une réduction de la TVA pour les micro-ordinateurs «non portables» aurait également été encourageante pour les ménages tout en donnant un coup d’accélérateur à Ousratic, sachant que les prix des ordinateurs «non portables» sont largement inférieurs à ceux des laptops. Dès lors, une question se pose : pourquoi n’a-t-on pas songé à alléger la facture d’achat des ménages en baissant également la TVA des PC autres que portables ?
- Le Jeuene Independant
«Dans le but d’inciter les ménages à se doter de micros portables, le taux de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), applicable aux opérations de vente de micros portables, est ramené de 17 % à 7 %», a annoncé la direction générale des impôts (DGI) dans un communiqué rendu public avant-hier.
Cette réduction est accordée jusqu’au 31 décembre 2009, selon l’article 24 de la loi de finances complémentaire, a précisé la même source.
Voilà une mesure qui peut donner un coup de pousse à l’opération Ousratic initiée par les pouvoirs publics et dont le but est de voir équiper six millions de foyers en ordinateurs à l’horizon 2010.
Une opération qui a connu un certain ralentissement, pour ne pas dire a été carrément oubliée pendant un temps. Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, M. Hamid Bessalah, a récemment reconnu implicitement que l’opération Ousratic a quelque peu failli à ses objectifs, puisqu’il a estimé qu’il était nécessaire de faire une pause pour l’évaluer avant d’aller de l’avant. Le ministère a donc confié les missions de l’étude d’évaluation et d’expertise au CREAD, avant de prendre les mesures à même de donner un nouvel élan à Ousratic.
Si la nouvelle mesure de la baisse de la TVA pour les PC portables est de nature à «inciter les ménages» à se doter de ce genre de machine, une réduction de la TVA pour les micro-ordinateurs «non portables» aurait également été encourageante pour les ménages tout en donnant un coup d’accélérateur à Ousratic, sachant que les prix des ordinateurs «non portables» sont largement inférieurs à ceux des laptops. Dès lors, une question se pose : pourquoi n’a-t-on pas songé à alléger la facture d’achat des ménages en baissant également la TVA des PC autres que portables ?
- Le Jeuene Independant
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