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Les scientifiques désarmés face au sida

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    Les scientifiques désarmés face au sida

    33 millions de séropositifs dans le monde et près de 7500 nouvelles infections chaque jour.
    C’est sous les auspices de l’International Aids Society que s’est déroulée du 3 au 8 août à Mexico, la 17e Conférence internationale sur le sida qui a clôturé ses travaux avant-hier. Elle a vu la participation de scientifiques, de responsables politiques et de militants d’organisations caritatives. Des malades ont aussi pris part aux travaux de cette conférence qui est convoquée tous les deux ans.
    Cette rencontre, inaugurée par le président du Mexique, Felipe Calderon, en présence du secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon et de la directrice de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Margaret Chan, s’est tenue cette année sous le thème: «La promotion d’une action universelle immédiate.»
    Dans son discours, M.Ban a estimé que «notre succès dans la lutte contre le sida, aura un effet sur tous nos efforts de réduction de la pauvreté, d’amélioration de la nutrition, de maîtrise de la mortalité infantile, de lutte contre le paludisme et la tuberculose et de renforcement des systèmes de santé». L’orateur n’a pas manqué de féliciter les Etats-Unis d’avoir, récemment, adopté une loi prévoyant le décaissement de 48 milliards de dollars pour la lutte contre le sida, la tuberculose, le paludisme au cours des cinq prochaines années. Mme Cham s’est, pour sa part, félicitée du ralliement des forces universelles pour faire face contre ce qu’elle qualifie de «maladie infectieuse la plus complexe et la plus difficile», que le monde ait connue et «sans doute la plus dévastatrice dont l’humanité ait jamais souffert.» Elle relèvera encore que «les obstacles sont identifiés et nos efforts sont unis pour les repousser.» La solidarité internationale a fait que «les militants ont fabriqué les voiles, et la communauté universelle a construit le navire», a ajouté la directrice de l’OMS.
    L’accès universel à la prévention, aux traitements, aux soins et aux services de soutien, sera-il pour autant acquis d’ici à 2010 comme espéré par les quelque 105 pays qui se sont fixés ces objectifs? Oui, c’est possible, estime le rapport du Programme commun des Nations unies sur le VIH/sida, Onusida, qui considère que les efforts combinés des gouvernements, des donateurs, de la société civile et des collectivités concernées peuvent être efficaces.
    Selon le directeur de l’Onusida, Dr. Peter Piot, pour qui «le sida n’a pas dit son dernier mot», des succès ont été remportés dans la lutte contre le VIH/sida. Il a étayé ses dires en relevant que «pour la première fois, il y a moins de morts et moins d’infections», ce qui est encourageant. Mais prudent, il préviendra qu’«il ne faut pas nous reposer sur nos lauriers (...) ni crier victoire car le sida n’a pas dit son dernier mot!»
    Cette mobilisation internationale sans précédent, se vérifie par la création de plusieurs programmes (Onusida), Fonds mondial de lutte contre le VIH/sida, le paludisme et la tuberculose, le plan Pepfar (Plan présidentiel d’aide d’urgence à la lutte contre le sida) mis en place par les Etats-Unis, la mise au point de nouveaux médicaments et enfin la constitution de remarquables alliances entre personnes victimes de la maladie, ceci, afin de mobiliser toutes les volontés.
    Selon le rapport 2008 de l’Onusida, le nombre d’infections au VIH est tombé à 2,7 millions en 2007 contre 3 millions en 2001, bien que le taux de nouvelles infections au virus augmente dans nombre de pays dans le monde et l’incidence du VIH s’accroît en Allemagne, au Royaume-Uni et en Australie.
    Si la pandémie s’est stabilisée sur le plan de la prévalence (pourcentage des personnes infectées), l’on compte cependant 33 millions de séropositifs dans le monde et près de 7500 nouvelles infections chaque jour. Dans les pays à faible revenu, 3 millions d’individus reçoivent un traitement antirétroviral.
    Abdelkrim AMARNI (l'expression)
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

  • #2
    merci mon frere pour ses infos , ce que je pense moi c'est que les grands labos du monde entier ont le remède contre le sida ou au moin ils ont les médics pour le ralentir mais ils veulent pas le donnée car les médics contre le SIDA
    A coute extrenement chers meme pour les états qui couvre socialement ses Médicaments

    Que dieu aide les malades de toutes les maladies et j'esper "yerhamhoum inchalah ''
    Algeriens jusqu'au bout Sud Nord Est Ouest 48 et mon chiffre 1 peuple dans mon coeur -

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    • #3
      et si un medecin algérien découvre le traitement du Sida !
      qui croira ?


      Je doute que même , pour un traitement d une maladie donnée les algériens - -aideront leur compatriote chercheur, a commercialiser son produit.
      Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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