Comme pour le conflit palestino-sioniste ou l'invasion en Irak, j'ai du mal à comprendre la logique.
Toutes les parties reconnaissent qu'un peuple est dans son droit le plus fondamental concernant ses revendications, mais il doit quand même la fermer et se soumettre au fait établi par la force de l'occupant.
N'est-ce pas paradoxale ?
A quoi sert le droit dans ce cas là ?
Pour le coup on est totalement dans le cas de figure de la loi du plus fort.
C'est vraiment n'importe quoi...
Tout comme les sionistes en Palestine ou les américains en Irak, le Maroc doit quitter ces terres.
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Par Ghada Hamrouche
Décidément l’envoyé spécial onusien Peter Van Walsum ne fait pas oublier ses précédentes déclarations sur le Sahara occidental. Bien au contraire. Il persiste et signe. En s’obstinant à dire que l’indépendance du peuple sahraoui est irréaliste, Van Walsum risque de compromettre les négociations, déjà difficiles, entre les deux parties belligérantes. Le Premier ministre sahraoui avait déclaré il y a quelques jours à Alger que, si l’ONU maintenait M. Van Walsum, hostile à l’option d’indépendance, le Front Polisario risquerait de les boycotter. Au lieu de revenir à une position neutre, l’envoyé spécial onusien déclare une nouvelle fois, précisément dans les colonnes du journal espagnol El Pais paru vendredi, que l’indépendance du Sahara occidental, annexé en 1975 par le Maroc, «n’est pas un objectif accessible». Avouant que le Front Polisario, qui réclame un référendum d’autodétermination, «a la légalité internationale de son côté», le diplomate néerlandais estime toutefois que «l’indépendance n’est pas réaliste».
M. Van Walsum souligne que «le Conseil de sécurité n’est pas disposé à exercer ses pouvoirs [...] et à l’imposer». Le Conseil de sécurité «doit respecter la légalité internationale, mais il doit aussi tenir compte de la réalité sur le terrain», a-t-il dit avant d’ajouter que «trente années d’arguments légaux de poids du Polisario n’ont produit aucun effet». Dans ces conditions, affirme-t-il encore, «l’indépendance du Sahara occidental n’est pas un objectif accessible».
http://www.latribune-online.com/divers/3737.html
Toutes les parties reconnaissent qu'un peuple est dans son droit le plus fondamental concernant ses revendications, mais il doit quand même la fermer et se soumettre au fait établi par la force de l'occupant.
N'est-ce pas paradoxale ?
A quoi sert le droit dans ce cas là ?
Pour le coup on est totalement dans le cas de figure de la loi du plus fort.
C'est vraiment n'importe quoi...
Tout comme les sionistes en Palestine ou les américains en Irak, le Maroc doit quitter ces terres.
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Par Ghada Hamrouche
Décidément l’envoyé spécial onusien Peter Van Walsum ne fait pas oublier ses précédentes déclarations sur le Sahara occidental. Bien au contraire. Il persiste et signe. En s’obstinant à dire que l’indépendance du peuple sahraoui est irréaliste, Van Walsum risque de compromettre les négociations, déjà difficiles, entre les deux parties belligérantes. Le Premier ministre sahraoui avait déclaré il y a quelques jours à Alger que, si l’ONU maintenait M. Van Walsum, hostile à l’option d’indépendance, le Front Polisario risquerait de les boycotter. Au lieu de revenir à une position neutre, l’envoyé spécial onusien déclare une nouvelle fois, précisément dans les colonnes du journal espagnol El Pais paru vendredi, que l’indépendance du Sahara occidental, annexé en 1975 par le Maroc, «n’est pas un objectif accessible». Avouant que le Front Polisario, qui réclame un référendum d’autodétermination, «a la légalité internationale de son côté», le diplomate néerlandais estime toutefois que «l’indépendance n’est pas réaliste».
M. Van Walsum souligne que «le Conseil de sécurité n’est pas disposé à exercer ses pouvoirs [...] et à l’imposer». Le Conseil de sécurité «doit respecter la légalité internationale, mais il doit aussi tenir compte de la réalité sur le terrain», a-t-il dit avant d’ajouter que «trente années d’arguments légaux de poids du Polisario n’ont produit aucun effet». Dans ces conditions, affirme-t-il encore, «l’indépendance du Sahara occidental n’est pas un objectif accessible».
http://www.latribune-online.com/divers/3737.html
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