Annonce

Réduire
Aucune annonce.

l’Algérie est un eldorado pour les banques étrangères

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • l’Algérie est un eldorado pour les banques étrangères

    Avec un taux de rentabilité record de 28%, l’Algérie est un eldorado pour les banques étrangères

    Depuis quelques années, les banques internationales se bousculent pour s’implanter en Algérie. Dernière arrivée : la britannique HSBC, première banque de la planète, qui a lancé officiellement ses activités dimanche dernier. A l’image de ses concurrentes françaises, BNP Paribas et Société Générale, elle veut sa part du «gâteau» algérien. Car, en terme de rentabilité bancaire, l’Algérie affiche des taux exceptionnellement élevés, sans équivalent en Méditerranée. Selon la dernière note de conjoncture de la Banque d’Algérie, datée de juillet, les banques étrangères implantées en Algérie ont enregistré en 2007 un taux de rentabilité exceptionnellement élevé de 28,01%. Il est forte hausse par rapport à 2006 où il était de 23,40%, selon le même document. En 2005, la rentabilité des banques privées était de 25,43%.

    «Ces chiffres expliquent l’intérêt des banques étrangères pour le marché algérien. Pour 10 euros investis, ces banques récupèrent presque un tiers. C’est énorme. Maintenant, il faudrait connaitre la structure de leurs investissements, notamment la partie concernant les crédits qu’elles accordent», explique un banquier interrogé par ********************. A titre de comparaison, en France, le taux de rentabilité des banques se situent entre 12 et 14%, selon des données de l’OCDE. Même chez les voisins marocains, ce taux ne dépasse pas les 15%, un niveau qui reste toutefois élevé par rapport aux pays occidentaux.

    En Algérie, les banques étrangères prospèrent notamment grâce aux crédits à la consommation et automobiles. Elles ne participent que très faiblement au financement des entreprises, une activité souvent assurée par les banques publiques. C’est en partie ce qui expliquerait leur forte rentabilité.

    tsa

  • #2
    est ce vrai que que AWB et la BMCE retenteront leur chances avec l'ouverture des frontières et la normalisation des relations ?

    je ne sais plus où j'avais entendu cela

    Commentaire


    • #3
      J'espere. Si il y a un pays avec qui on doit s accompagner mutuellement dans le developpement c'est bien le Maroc.

      Commentaire


      • #4
        La BMCE s’implante en Algérie


        La Banque d’Algérie a accordé l’agrément à la Banque marocaine du commerce extérieur (BMCE) qui prévoit d’investir pas moins de 30 millions de dollars pour lancer ses offres de services bancaires dans le marché algérien.


        La BMCE va ouvrir une branche pour devenir ainsi la première branche marocaine à activer en Algérie d’un total de trois banques qui ont déposé une demande d’agrément.

        Le travail de la banque se base sur l’expansion de ses activités à travers de vastes réseaux de partenariat avec un nombre de banques à l’instar de la Société Générale et BNP-Paribas.
        c'etait en 2006

        Attijariwafa Bank candidate à la privatisation du Crédit Populaire d'Algérie



        C'est désormais confirmé : Attijariwafa bank est au premier rang du secteur bancaire national. La présentation des résultats semestriels de la banque, le lundi 18 septembre 2006 à Casablanca, fut l'occasion pour son président, Khalid Oudghiri, de revenir sur les dernières réalisations de l'institution. La fierté du président était perceptible à l'énoncé du dernier indicateur ayant permis au groupe de confirmer sa place de leader.


        A 103,4 milliards de Dhs, les dépôts affichent une croissance de 18% par rapport au 30 juin 2005. La part de marché de la banque s'établit ainsi à 27,28%. Ces dépôts sont portés par l'augmentation de 20% des ressources rémunérées ainsi que de 17% des ressources non rémunérées. La croissance soutenue de la collecte est le fruit de la politique de proximité déployée par la banque. Pas moins de 33 ouvertures d'agences et 157 nouveaux GAB sont à l'actif de la banque.

        Globalement, le premier semestre de l'année 2006 a enregistré une forte croissance du résultat net part du groupe. Il s'établit à 987,5 millions de Dhs contre 773,8 millions de Dhs au 30 juin 2005, soit une hausse de 27,6%.
        De son côté, le résultat brut d'exploitation s'inscrit en hausse de 25,6% à 1,87 milliard de dirhams contre 1,49 milliard de Dhs au 30 juin 2005. Grâce à la bonne performance de la marge d'intérêt (+6,5%), de la marge sur commissions (+30,9%) et du résultat des opérations de marché (+179%), le produit net bancaire s'est établi à 3,34 milliards de Dhs contre 2,7 milliards de Dhs une année auparavant.

        Toutefois, les charges générales d'exploitation ont connu une augmentation de 12,7%, imputable à l'entrée de la Banque du sud tunisienne dans le périmètre de consolidation. «Néanmoins, le coefficient d'exploitation s'améliore de 4,3 points à 46,3%», tient à préciser Khalid Oudghiri qui, en réponse à une question, a confirmé la constitution d'une provision additionnelle de 100 millions de dinars tunisiens (700 millions de Dhs), suite au constat d'une sous provision lors de l'acquisition de la banque tunisienne.

        Sur le plan des métiers, aux dires de son président, la banque affiche un leadership incontesté. Ainsi, pour la banque des particuliers et professionnels-Banque d'entreprises, le premier semestre a connu une forte dynamique de développement dans l'activité bancaire grâce à la mobilisation des équipes commerciales et à la stratégie de proximité, engagée dans le cadre du plan stratégique Izdihar 2010.

        Au niveau des services financiers spécialisés, l'activité des filiales dédiées confirme son rôle de moteur de croissance du groupe. En tête, Wafasalaf affiche une croissance de 32% de son résultat net à 87 millions de DH.

        Par contre, le premier semestre 2006 a concrétisé le démarrage du développement à l'international avec le lancement d'un plan stratégique ambitieux. La Banque du sud en Tunisie en est l'une des réalisations concrètes. S'y ajoute, en juillet dernier, l'inauguration d'Attijawafa bank Sénégal. Cette forte dynamique ne s'arrête pas là. La banque marocaine s'intéresse fortement aux marchés algériens et mauritaniens.

        Attijariwafa bank est désormais candidate à la privatisation du Crédit populaire d'Algérie. Selon Khalid Oudghiri, si l'offre de la banque marocaine est retenue, la demande d'agrément formulée auprès des autorités algériennes, déposée depuis un an, ne serait plus justifiée.

        Cette démarche renseigne sur le démarrage réel du plan d'expansion à l'international. Efforts qui n'ont pas tardé à être reconnus. Les publications financières internationales «Global Finance» et «Euromoney» ont décerné à Attijariwafa bank les prix de «Best Emerging Market Banks for Morocco» et «Morocco Best Bank». L'accélération de la dynamique de croissance de la banque confirme l'institution dans sa place de champion national.
        tjr en 2006 mais je crois que Attijaribank n'a pas gagne

        Commentaire


        • #5
          karim

          tout a fait karim, des etudes ont montrés que le developement d'un pays a tout un impact positif sur le voisin

          zakaria

          à ce jour là, il n'en est rien pour la BMCE

          cette derniere a des agences en france, espagne, allemagne, royaume uni, chine et italie

          Commentaire


          • #6
            Filiales du Groupe BMCE Bank

            BMCE Capital filiale à 100% de BMCE Bank, la Banque d’Affaires du Groupe opérant sur les activités de marchés, d’investissement et de conseil.

            BMCE Capital Bourse, acteur incontournable sur le marché de l’intermédiation boursière, détenue à 100% par BMCE Bank.

            BMCE Capital Gestion, acteur de référence sur le marché de la gestion d’actifs, détenue à 100% par BMCE Bank.

            MediCapital Bank, filiale à 100% du Groupe BMCE, basée à Londres, fédérant l'ensemble des activités de BMCE Bank en Europe, est spécialisée dans le Corporate Banking, la Banque d'Investissement et de Marchés.

            Casablanca Finance Markets , spécialisée en produits de taux, est une banque d'investissement consacrant la totalité de ses ressources aux activités de marché, opérant sur les marchés monétaire et obligataire. Elle est détenue à hauteur de 33,3% par BMCE Bank.

            Banque de Développement du Mali, détenue à hauteur de 27,38% par BMCE Bank, est la banque leader au Mali et la 4ème banque dans l’espace UEMOA.

            La Congolaise de Banque, contrôlée à hauteur de 25% par BMCE Bank, est une banque commerciale qui bénéficie d'une assise financière solide et d'un capital de savoir-faire diversifié.

            Salafin, filiale du groupe BMCE Bank à hauteur de 92,8%, est une société de financement dont l’objet principal est de distribuer des crédits à la consommation.

            Maghrébail finance en leasing des équipements et des biens immobiliers à usage professionnel destinés à tous les secteurs d'activité.

            Maroc Factoring est la première société d’affacturage au Maroc.

            Euler Hermes ACMAR, leader au Maroc de l’assurance-crédit est détenue à hauteur de 20% par BMCE Bank.

            EMAT, fournisseur et Outsourcer de services et solutions technologiques s’articulant autour de deux supports métiers, le Multicanal et
            l’Infogérance.

            GNS, Premier opérateur au Maroc de Réseau à Valeur Ajoutée et fournisseur de solution EDI (Echange de Données Informatisées).

            Commentaire

            Chargement...
            X