L’Algérie peine à réaliser ses projets...
L’Algérie «peine» à réaliser, dans les délais prévus, ses projets d’infrastructures, qui ont subi d’«importants retards», relève lundi le quotidien économique français La Tribune. Cette situation, explique le journal, a eu pour conséquence l’envolée des dépenses publiques, notant, dans ce sens, que trois ans après son lancement en 2005, le plan quinquennal de relance économique présente «un bilan mitigé». Pour illustrer une telle situation, La Tribune cite le métro d’Alger, dont une seule ligne de 9 km sur les 64 prévus devrait être ouverte courant 2009, soulignant que ce projet, enlisé dans les réévaluations et les problèmes techniques, «s’est transformé en gouffre financier pour le pays». La publication cite aussi le cas de l’autoroute est-ouest sur 1.200 km, qui est en construction depuis le début des années 1990, notant que seuls quelques tronçons éparpillés de 20 ou 30 km sont opérationnels. Dans le secteur ferroviaire, l’électrification de la rocade nord sur plus de 1.000 km a déjà deux ans de retard sur les prévisions et plusieurs autres projets ferroviaires ne sont pas encore lancés, indique La Tribune. Dans le bâtiment, les chantiers n’avancent guère plus, note encore le journal, soulignant que la construction de 1 million de logements, lancée en 2005, accuse un retard considérable, avec seulement la moitié du programme livré, souvent sans voirie ni lignes téléphoniques.
L’Algérie «peine» à réaliser, dans les délais prévus, ses projets d’infrastructures, qui ont subi d’«importants retards», relève lundi le quotidien économique français La Tribune. Cette situation, explique le journal, a eu pour conséquence l’envolée des dépenses publiques, notant, dans ce sens, que trois ans après son lancement en 2005, le plan quinquennal de relance économique présente «un bilan mitigé». Pour illustrer une telle situation, La Tribune cite le métro d’Alger, dont une seule ligne de 9 km sur les 64 prévus devrait être ouverte courant 2009, soulignant que ce projet, enlisé dans les réévaluations et les problèmes techniques, «s’est transformé en gouffre financier pour le pays». La publication cite aussi le cas de l’autoroute est-ouest sur 1.200 km, qui est en construction depuis le début des années 1990, notant que seuls quelques tronçons éparpillés de 20 ou 30 km sont opérationnels. Dans le secteur ferroviaire, l’électrification de la rocade nord sur plus de 1.000 km a déjà deux ans de retard sur les prévisions et plusieurs autres projets ferroviaires ne sont pas encore lancés, indique La Tribune. Dans le bâtiment, les chantiers n’avancent guère plus, note encore le journal, soulignant que la construction de 1 million de logements, lancée en 2005, accuse un retard considérable, avec seulement la moitié du programme livré, souvent sans voirie ni lignes téléphoniques.
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