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Ils s’écrivaient…

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  • Ils s’écrivaient…

    ...............................

    ...........
    Désolé,
    les charognards des mots, adéptes du plagiat, m'ont poussé à retirer mes textes.

    .......................
    Dernière modification par Zacmako, 17 décembre 2011, 09h39.
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

  • #2
    Encore un texte qui interpelle ce que j'ai au plus profond de moi.
    Et l'élan du temps n'a pas été entravé du tout.

    Merci Zack

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    • #3


      bravo .........j'aime beaucoup
      Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage

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      • #4
        Zack khouya ta frappé fort, on dirait qu'il ya du vécu ou connaissent une histoire de la sorte!!

        Bravo fréro

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        • #5
          zac !continue a m'ecrire...........
          on fait avec..........

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          • #6
            Il me plait bien ton poème Zac, je me demande comment cela se passe quand les mots ne vous reviennent pas; Genre le vide, le néant, rien.. nada..

            Le truc idéal pour te flinguer le moral..
            Et retourner dans cette silence solitude..
            Comme si tout ces mots en suspensions avaient la peste !
            Et on attend toujours l'ombre d'un virgule, d'un geste..

            Merci Zac pour ton poème. Si j'avais un peu de force.. mais elle me quitte, Comme tous ces mots qui sont aller se perdre, je n'arrive pas à voir où.

            Si tu as beaucoup de richesses, donne ton bien.
            Si tu possèdes peu, donne ton coeur!
            Charif Barzouk

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            • #7
              merci à toutes et à tous.
              Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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              • #8
                merci á toi Zac...

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                • #9
                  Y en a qui ont de la chance

                  Ca devient rare ceux qui aiment encore ecrire si ce n est des sms lol

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                  • #10
                    Bonjour,

                    Hello Zac,

                    Envoyé par Zac
                    Mais l’élan du temps a-t-il été entravé
                    Pendant qu’ils… s’écrivaient ?
                    Je ne sais pas car ce temps passé à s'écrire est comme un pont entre deux rives qui se construisaient. Plus ils s'écrivaient plus ils se rapprochaient l'un de l'autre mais paradoxalement plus ils se rapprochaient plus ils s'enfonçaient dans leurs solitudes. Alors s'écrire c'est bien, se rencontrer et fusionner deux solitudes pour la faire disparaitre c'est bien mieux.

                    Quoi qu'il en soit c'est magnifique comme d'habitude et merci Majestueux Zac.

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                    • #11
                      .................................
                      Dernière modification par Zacmako, 17 décembre 2011, 09h39.
                      Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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                      • #12
                        Merci Zac pour ces mots magnifiques que j ai interprété à ma facon mais qui ont rejoints ma pensée la plus profonde!

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                        • #13
                          oh! pinaise c de la balle ton poème! oups!!! Nadrita!! mais parles correctement !!





                          C'est magnifique ZAC !

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                          • #14
                            Ah! Zac, c'est un dénouement qui me serre le coeur. C'est nostalgique, tragique c'est comme une quête du Graal alors qu'il suffisait de si peu pour le trouver, juste savoir écouter; entendre et comprendre le silence entre les mots.

                            Merci Zac

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                            • #15
                              zac, puis je douter et me dire ils ne peuvent cesser de s'écrire, ils ne peuvent gâcher ce moment si plaisants où les mots viennent guérir leur solitude et nourrir leur âme même s'ils ignorent ou va le temps il est présent.


                              tragique c'est comme une quête du Graal alors qu'il suffisait de si peu pour le trouver
                              morjane, ho! comme le Graal semble légendaire, inaccessible et illusion autant que peut être l'amour, cette quête est éternelle...
                              Il n’y a rien de noble à être supérieur à vos semblables. La vraie noblesse, c'est être supérieur à votre moi antérieur.
                              Hemingway

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