L’Algérie compte seulement 26 centres contre 200 pour le Maroc
· Réduction de la redevance annuelle
C’est un créneau naissant que représentent aujourd’hui les call centers en Algérie. On compte aujourd’hui 26 centres contre 6 en 2006, selon l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT). Lancés généralement par des opérateurs locaux dont certains sont des hommes d’affaires venant d’autres secteurs, ces centres d’appel emploient environ 4.000 personnes. Selon l’ARPT, 5 demandes de création de centres d’appel sont déposés chaque mois. Le nombre de centres en Algérie a quadruplé en une année, mais l’expansion de ce secteur dépend de l’amélioration des services de téléphonie et, à coup sûr, de l’arrivée d’opérateurs étrangers. Mais pour booster ce secteur naissant, le gouvernement algérien a décidé l’an dernier de réduire la redevance annuelle de 10.000 à 100 euros. Une décision qui a systématiquement, faut-il le croire encore, booster ce secteur qui a réussi à réaliser un chiffre d’affaires de 5 millions d’euros en 2007. En face, le Maroc reste bien en avance dans ce domaine. En effet, il compte plus de 200 centres d’appel délocalisés, soit plus de 70% des call center français délocalisés à l’étranger. 30.000 personnes y sont employées, soit trois fois plus qu’en Algérie. Aujourd’hui, le pays tente tant bien que mal de réduire cet écart. Pour y arriver, il faut assurer à ce secteur naissant toutes les conditions nécessaires de réussite si on veut placer «la destination Algérie» dans ce marché très fermé.
Actuellement, les difficultés que rencontrent les responsables des call centers dans cette activité sont liées aux charges fiscales et financières qualifiées de très lourdes (connexion internet, foncier, formation en continu, recouvrement, etc.).
source: L'economiste
· Réduction de la redevance annuelle
C’est un créneau naissant que représentent aujourd’hui les call centers en Algérie. On compte aujourd’hui 26 centres contre 6 en 2006, selon l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT). Lancés généralement par des opérateurs locaux dont certains sont des hommes d’affaires venant d’autres secteurs, ces centres d’appel emploient environ 4.000 personnes. Selon l’ARPT, 5 demandes de création de centres d’appel sont déposés chaque mois. Le nombre de centres en Algérie a quadruplé en une année, mais l’expansion de ce secteur dépend de l’amélioration des services de téléphonie et, à coup sûr, de l’arrivée d’opérateurs étrangers. Mais pour booster ce secteur naissant, le gouvernement algérien a décidé l’an dernier de réduire la redevance annuelle de 10.000 à 100 euros. Une décision qui a systématiquement, faut-il le croire encore, booster ce secteur qui a réussi à réaliser un chiffre d’affaires de 5 millions d’euros en 2007. En face, le Maroc reste bien en avance dans ce domaine. En effet, il compte plus de 200 centres d’appel délocalisés, soit plus de 70% des call center français délocalisés à l’étranger. 30.000 personnes y sont employées, soit trois fois plus qu’en Algérie. Aujourd’hui, le pays tente tant bien que mal de réduire cet écart. Pour y arriver, il faut assurer à ce secteur naissant toutes les conditions nécessaires de réussite si on veut placer «la destination Algérie» dans ce marché très fermé.
Actuellement, les difficultés que rencontrent les responsables des call centers dans cette activité sont liées aux charges fiscales et financières qualifiées de très lourdes (connexion internet, foncier, formation en continu, recouvrement, etc.).
source: L'economiste
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