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Comment Washington a capté le pétrole algérien

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  • Comment Washington a capté le pétrole algérien

    Avec l'argent, on capte tout.
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    Les récentes campagnes de lobbying des principaux groupes pétroliers américains présents en Algérie, tel Anadarko, contre les modifications de la loi algérienne sur les hydrocarbures, témoignent d’un revirement dans les relations stratégiques entre Alger et Washington. La mise en œuvre de l’amendement voté au mois d’octobre 2006 garantit en effet à la société nationale Sonatrach un contrôle quasi-total sur tous les nouveaux gisements identifiés et exploités par des partenaires étrangers…

    Une évolution qui promet d’âpres négociations entre les deux capitales. Tandis que les Etats-Unis se sont hissés en 2006 à la deuxième place des clients les plus importants pour le secteur des hydrocarbures algériens, et alors que le département américain du Commerce milite en faveur d’une diversification des approvisionnements énergétiques vers l’Afrique (au profit de l’Angola, du Nigeria et de l’Algérie), la Sonatrach cherche donc à conquérir son indépendance à l’égard de ses partenaires historiques de Houston.

    D'aucuns y voient une rupture. Car tout au long des années pro soviétiques du régime algérien, si les militaires au pouvoir partaient se former dans les académies militaires de Moscou, les ingénieurs de la Sonatrach (chargée de gérer les ressources énergétiques du pays depuis 1972) se rendaient eux au Texas pour s'instruire.

    Les relations très étroites développées à cette période expliquent à elles seules l’importance des groupes américains Amerada Hess, Anadarko ou Burlington dans l’évolution de l’industrie pétrolière algérienne de ces dernières années.

    Or c’est ce partenariat que les nouveaux dispositifs mettent à mal – provisoirement au moins.

    Pour mesurer la portée de cet ancrage américain, et évaluer les conséquences politiques des futures positions de la Sonatrach, www.***.com vous propose de télécharger ci-dessous plusieurs notes confidentielles du département d’Etat. Rédigées quelques années après l’indépendance de l’Algérie, elles décrivent, dans le détail, le jeu de la diplomatie américaine pour permettre aux industriels de Houston de s’installer durablement et massivement dans le pays.

    Par ailleurs, les bouleversements actuels auront vraisemblablement des conséquences directes sur les décideurs.

    Ainsi, le traditionnel tropisme américain des ministres algériens à l’énergie est de plus en plus en contradiction avec ces velléités d’autonomie. À l’image de l’actuel ministre Chakib Khelil, qui a émigré aux Etats-Unis en 1964 et qui a bénéficié d’une carte de sécurité sociale américaine jusqu’en 1999 - référencée 268-46-xx-xx, d’après les bases de données sociales auxquelles nous avons eu accès. Jusqu’en 2006 au moins, Chakib Khelil a été officiellement domicilié aux Etats-Unis, dans une maison de Potomac, dans le Marlyand, acquise le 3 juin 1981.
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    blablabla !!!!
    ?

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    • #3
      La question que se pose plusieurs millions d'Algériens, où va l'argent de tout ce pétrole, à part acheter des armes

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      • #4
        l amour de son pays, voila ce qui manque a nos responsables autoelu,
        si ils ne font rien pour stopper ça, dans 15 ans le pays appartiendra aux multinationnales US; surtout avec cet americain CHAKIB KHELIL.
        Comment peut confier uun poste aussi sensible a une personne qui deteste l Algerie et lepeuple Algerien?
        C est triste.

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