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Les femmes divorcées dans la société algérienne?

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  • Les femmes divorcées dans la société algérienne?

    Bonjour,

    Comment est perçue une femme divorcée en Algérie?
    Y a t il des apriori particuliers?
    "On est les seuls à croire au père Noël jusqu'à 30 ans"
    Manifeste/Shurik'n

  • #2
    le divorce est pour la femme algérienne un moyen de se libérer de tous les carcans...peut être pas dans les textes mais dans les faits

    Henri Thoa
    Rien n'est pire que de passer dans la vie et de rester inaperçu

    Henri Thoa

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    • #3
      Bonjour Henri Thoa,


      Est ce que c'est réellement une libération dans les faits?

      Une femme divorcée peut elle par exemple vivre seule,
      vivre sa vie comme elle l'entend en Algérie
      sans etre montrée du doigt...?

      Dans les grandes villes comme la capitale,je ne sais pas,
      c'est peut etre quelque chose de banal,
      mais ailleurs...?
      "On est les seuls à croire au père Noël jusqu'à 30 ans"
      Manifeste/Shurik'n

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      • #4
        j'en connais pour lesquelles c'est une libération...et sans qu'elles soient montrées du doigt
        L'Algérie est vaste et les traditions ne sont pas identiques aux quatre coins du pays

        HT
        Rien n'est pire que de passer dans la vie et de rester inaperçu

        Henri Thoa

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        • #5
          Divorcée

          C'est assez différent le situation d'il y'a 20 ou 30 ans, quand c'était carrément térs mal vu, le terme même de hajjâla étant quasi péjoratif, dans la mesure ou actuellement la chose est relativement plus "courante".

          Mais bon, ça reste tout de même relativement négatif, le divorce étant une situation ou un état de fait jugé "anormal" pour une femme, d'autant que certaines en profitent pour vivre comme elles ne l'auraient pas fait du temps ou elles étaient célibataires.

          Enfin, je parle pour Alger et les grandes villes, parceque dans les petits patelins ou dans les campagnes ca ne doit pas voir changé d'un iota ces choses là.
          Dernière modification par Harrachi78, 16 août 2008, 14h15.
          "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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          • #6
            Tout à fait d'accord Harrachi

            HT
            Rien n'est pire que de passer dans la vie et de rester inaperçu

            Henri Thoa

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            • #7
              c'est difficile surtout qu'on elle n'a pas l'autonomie finaniciere...

              ce qui est marquant que cela fait partie dorenavant de sa "carte de viste "quand on parle d'elle du genre" elle est medecin ..c'est la voisine de x..elle est divorcée"
              « Puis-je rendre ma vie
              Semblable à une flûte de roseau
              Simple et droite
              Et toute remplie de musique »

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              • #8
                j'en connais pour lesquelles c'est une libération...
                On comprends aisément pour certaine que le divorce est providenciel pour une femme sans enfants d'acquerir sa liberté.
                Mais qu'en est il des femmes divorcées avec enfants en bas ages ?

                Commentaire


                • #9
                  de mon coté rien ne change je vois pas ou est la différence
                  Un ordinateur c'est bête, ça fait ce qu'on lui dit !
                  les gents fuient par divers moyens, certains prennent un verre, ou 2 bouteilles, moi je prend ma bouteille de plongée :)

                  Commentaire


                  • #10
                    Les femmes divorcées dans la société algérienne?
                    Dans ce cas de figure, je ne pense pas qu’on puisse parler de la société algérienne au singulier, mais plutôt au pluriel.
                    La femme divorcée, pour reprendre tes mots, Cheynese, est perçue différemment d’une région à une autre de l’Algérie.
                    Elle peut aussi bien passer inaperçue dans les grandes villes tellement elles sont nombreuses mais aussi actives, qu’être montrée du doigt lorsqu’elle est dans un petit patelin ou douar, où tout le monde connaît tout le monde et la ‘’biographie’’ de tout le monde.
                    Du point de vue social, la divorcée des grandes villes à plus de chance de refaire sa vie que celle du douar.
                    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

                    Commentaire


                    • #11
                      @Zacmacko

                      Je dirais même plus, que dans uen ville comme Alger, si elle arrive a apprivoiser le minimum d'apprioris à son égard (elle sera courtisée, car facile pense-t-on communément, ce qui ets vrai parfois lol), et si elle se rouve être indépendante financièrement, elle pourra même envisager de continuer a vivre sans homme si elle le souhaite.

                      Un tel cas de figure est inimaginable en province.
                      "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                      • #12
                        Tout à fait, Harrachi.
                        Sur plusieurs lignes et concernant plusieurs aspects, en Algérie, la grande ville et le petit village sont deux mondes différents et parfois complétement opposés au point de vue socialogique.
                        Ce qui m’emmène a dire qu’il est parfois très difficile de faire des sondages fiables ou des études socialogiques globales.
                        Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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                        • #13
                          Harachi,
                          Comme tu l'as bien imagine a Alger, tu peux aussi imaginer que ca peut se faire ailleurs. Tiens, je connais meme qui ont refait leurs vies avec des hommes plus jeune qu'eux et jamais marier en plus,
                          Maintenant, concernant les prejuges, une femme divorcee est moins attratcive qu'une femme jamais mariee.

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                          • #14
                            ce qui est marquant que cela fait partie dorenavant de sa "carte de viste "quand on parle d'elle du genre" elle est medecin ..c'est la voisine de x..elle est divorcée"

                            ........................

                            Commentaire


                            • #15
                              C'est assez différent le situation d'il y'a 20 ou 30 ans, quand c'était carrément térs mal vu, le terme même de hajjâla étant quasi péjoratif, dans la mesure ou actuellement la chose est relativement plus "courante".

                              Mais bon, ça reste tout de même relativement négatif, le divorce étant une situation ou un état de fait jugé "anormal" pour une femme, d'autant que certaines en profitent pour vivre comme elles ne l'auraient pas fait du temps ou elles étaient célibataires.

                              Enfin, je parle pour Alger et les grandes villes, parceque dans les petits patelins ou dans les campagnes ca ne doit pas voir changé d'un iota ces choses là.
                              je dirais:
                              y a plus de 50 ans, une femme divorcait et se retrouvait avec ses jumeaux, elle s est alors mise a bosser chez un couple de medecin.
                              elle etait si jolie qu elle etait solicitée au mariage tres souvent, mais elle refusait obstinement jusqu a ce qu IL la voit et reussit a la conquerir et a en faire sa femme.

                              bizarre c etait un petit village pres de mendes dans l ouest....

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