Un phenomene bizzare qui est encore maintenu de nos jours au maroc: l exploitations de jeunes entre 7 à 10 ans comme petites bonnes dans les foyers des familles plus riches!
"Avec le démarrage de l'INDH, initiative nationale pour le développement humain, lancée par Sa Majesté le roi Mohammed VI et le gouvernement de Driss Jettou, l'équipe de Vision.ma s'est intéressée au cas des femmes de ménage, plus communément appelées " bonnes ", au Maroc.
Au Maroc, les femmes de ménage apparaissent comme ancrées dans la culture et les valeurs sociales du pays. Ainsi, beaucoup de familles marocaines, peuvent se prévaloir d'employer, pour ne pas dire " de disposer ", d'au moins une femme de ménage (certaines familles ont deux voire trois femmes de ménage. Ce n'est pas seulement une question de moyens, des familles de classe moyenne et même, disposant de peu de moyens, essayent d'avoir une " bonne ".
Que dire face à cette réalité marocaine ? Que faire, lorsqu'on voit qu'une grande partie de notre population se retrouve dans une situation peu enviable, employée sans droits et avec un avenir incertain ?
Il y a tout d'abord le cas de ces filles majeures et dont la famille n'a pas de moyens suffisants pour advenir aux besoins de la vie quotidienne. Il y a ensuite, et c'est le plus important, le cas des filles mineures qui se retrouvent, par l'injustice de la vie, employées à un très jeune âge.
- Pour les filles majeures, on ne peut malheureusement pas chercher par tous les moyens à leur éviter ce travail. Il est une nécessité pour elles de se trouver à un travail, celui de femmes de ménage étant disponible, nous pouvons comprendre qu'il faut garder cet aspect social ancré dans notre société.
Mais, suffit-il de reconnaître l'importance que jouent ces emplois pour plusieurs familles pauvres marocaines et négliger la recherche de solutions ? Parmi les solutions en vue du développement humain, le gouvernement peut obliger les familles marocaines à envoyer quelques heures par semaine les femmes de ménage dans des centres d'alphabétisation.
- Pour les filles mineures, il faut absolument interdire leur emploi. En employant ces filles nous en faisant des analphabètes, sans droits, sans avenir. C'est un danger pour toute notre société. Le progrès social et économique sera à tout jamais impossible ! En interdisant leur emploi, on permet à la femme marocaine d'être éduquée et de pouvoir espérer une meilleure intégration dans la société.
A Casablanca, on dénombrait en 2001 environ 23 000 domestiques dont 59 % étaient âgées de moins de 15 ans.
Une fois placées dans des familles en milieu urbain, ces petites filles âgées de 7 à 10 ans apprennent très tôt les vicissitudes de la vie : elles sont souvent brimées, mal traitées, mal nourries, fatiguées par la surcharge de travail et vivent à la limite de l’esclavagisme.
Selon l'association Bayti, " quand la révolte gagne les plus excédées, elles descendent dans la rue où d’autres les ont déjà précédées et leurs servent de tutrice – proxénète. Puis la descente aux enfers commence. Elles sont logées par leur «tutrice » et initiées aux joies nocturnes : alcool, cigarettes, maquillage, nouveau look vestimentaire, le rêve ! Certaines d’entre elles tentent de dissuader les nouvelles arrivées dans le milieu, leur expliquant que le mirage est suivi d’enfer ".
Le problème des femmes de ménage n'est pas facile à étudier mais il est préférable de l'analyser, de tenter de trouver des solutions, que de laisser ces filles et l'avenir de notre société se faire sans pensée antérieure pour le développement humain.
http://www.********.com/modules/news...p?storyid=4565
"Avec le démarrage de l'INDH, initiative nationale pour le développement humain, lancée par Sa Majesté le roi Mohammed VI et le gouvernement de Driss Jettou, l'équipe de Vision.ma s'est intéressée au cas des femmes de ménage, plus communément appelées " bonnes ", au Maroc.
Au Maroc, les femmes de ménage apparaissent comme ancrées dans la culture et les valeurs sociales du pays. Ainsi, beaucoup de familles marocaines, peuvent se prévaloir d'employer, pour ne pas dire " de disposer ", d'au moins une femme de ménage (certaines familles ont deux voire trois femmes de ménage. Ce n'est pas seulement une question de moyens, des familles de classe moyenne et même, disposant de peu de moyens, essayent d'avoir une " bonne ".
Que dire face à cette réalité marocaine ? Que faire, lorsqu'on voit qu'une grande partie de notre population se retrouve dans une situation peu enviable, employée sans droits et avec un avenir incertain ?
Il y a tout d'abord le cas de ces filles majeures et dont la famille n'a pas de moyens suffisants pour advenir aux besoins de la vie quotidienne. Il y a ensuite, et c'est le plus important, le cas des filles mineures qui se retrouvent, par l'injustice de la vie, employées à un très jeune âge.
- Pour les filles majeures, on ne peut malheureusement pas chercher par tous les moyens à leur éviter ce travail. Il est une nécessité pour elles de se trouver à un travail, celui de femmes de ménage étant disponible, nous pouvons comprendre qu'il faut garder cet aspect social ancré dans notre société.
Mais, suffit-il de reconnaître l'importance que jouent ces emplois pour plusieurs familles pauvres marocaines et négliger la recherche de solutions ? Parmi les solutions en vue du développement humain, le gouvernement peut obliger les familles marocaines à envoyer quelques heures par semaine les femmes de ménage dans des centres d'alphabétisation.
- Pour les filles mineures, il faut absolument interdire leur emploi. En employant ces filles nous en faisant des analphabètes, sans droits, sans avenir. C'est un danger pour toute notre société. Le progrès social et économique sera à tout jamais impossible ! En interdisant leur emploi, on permet à la femme marocaine d'être éduquée et de pouvoir espérer une meilleure intégration dans la société.
A Casablanca, on dénombrait en 2001 environ 23 000 domestiques dont 59 % étaient âgées de moins de 15 ans.
Une fois placées dans des familles en milieu urbain, ces petites filles âgées de 7 à 10 ans apprennent très tôt les vicissitudes de la vie : elles sont souvent brimées, mal traitées, mal nourries, fatiguées par la surcharge de travail et vivent à la limite de l’esclavagisme.
Selon l'association Bayti, " quand la révolte gagne les plus excédées, elles descendent dans la rue où d’autres les ont déjà précédées et leurs servent de tutrice – proxénète. Puis la descente aux enfers commence. Elles sont logées par leur «tutrice » et initiées aux joies nocturnes : alcool, cigarettes, maquillage, nouveau look vestimentaire, le rêve ! Certaines d’entre elles tentent de dissuader les nouvelles arrivées dans le milieu, leur expliquant que le mirage est suivi d’enfer ".
Le problème des femmes de ménage n'est pas facile à étudier mais il est préférable de l'analyser, de tenter de trouver des solutions, que de laisser ces filles et l'avenir de notre société se faire sans pensée antérieure pour le développement humain.
http://www.********.com/modules/news...p?storyid=4565
Commentaire