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"Je serais très heureuse que nous puissions renforcer notre coopération sur les questions bilatérales et internationales et de l'intensifier tout particulièrement au plan économique en s'appuyant sur un partenariat fiable et juste dans no
La chancelière allemande, Mme Angela Merkel, a exprimé au Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, son souhait de "renforcer" et d'"intensifier" la coopération bilatérale algéro-allemande, notamment au plan économique, en s'appuyant sur un partenariat "fiable et juste".
"Je serais très heureuse que nous puissions renforcer notre coopération sur les questions bilatérales et internationales et de l'intensifier tout particulièrement au plan économique en s'appuyant sur un partenariat fiable et juste dans notre intérêt mutuel", a écrit la chancelière allemande dans un message adressé au Président Bouteflika.
Après avoir présenté ses remerciements pour l'hospitalité "particulière" et l'accueil "extrêmement chaleureux" qui lui ont été réservés lors de sa visite en Algérie, en juillet dernier, Mme Merkel a indiqué que les entretiens "intensifs et amicaux" qu'elle a eus avec le Président Bouteflika ont été, pour sa part, "très enrichissants".
"Après mon séjour en Algérie, je suis rentrée avec une multitude d'impressions de votre pays et de ses habitants" a-t-elle souligné, se réjouissant de la visite qu'effectuera le Président de la République en Allemagne au début de l'année prochaine.
Des réponses adaptées aux défis qui se posent
On l’aura remarqué, l’Algérie est très active sur la scène internationale, à la faveur d’événements et de rencontres à caractère multilatéral ou bilatéral. Les contacts tissés avec nos partenaires permettent à la fois d’apporter d’autres jalons à la coopération et au partenariat au plan bilatéral, tout en tentant, dans le cadre du dialogue, d’apporter des éléments de nature à contribuer à résoudre les problèmes générés par une mondialisation menaçante.
A l’heure où la communauté internationale est interpellée sur les problèmes du terrorisme, la multiplication des conflits, le réchauffement climatique, les crises financière et alimentaire, etc., le débat et la réflexion avec comme perspective d’harmoniser les positions s’avèrent essentiels.
Il est clair que les plus faibles, qui représentent la majorité des peuples de la planète, n’ont de chance de faire entendre leur voix que s’ils serrent les rangs. Face aux turbulences générées par une globalisation qui ne fait pas de cadeau et dont les conséquences peuvent se traduire par l’aggravation de la pauvreté et de la faim dans de vastes régions de la planète, comme on l’a vu avec la flambée des prix des produits alimentaires sur les marchés internationaux, il y a urgence à réfléchir sur des mécanismes et des normes propres à éviter ce genre de dérèglement aux conséquences dramatiques pour les moins nantis.
Les instances onusiennes, les institutions financières internationales (FMI, Banque mondiale), l’OMC se doivent d’adapter les dispositifs normatifs existants aux réalités d’aujourd’hui. L’Algérie se préoccupe de promouvoir le dialogue pour éviter les situations de crise, de pénurie, etc.
Dans le domaine sensible de l’énergie, elle s’est toujours montrée favorable au dialogue entre pays producteurs et pays consommateurs, de sorte à assurer une satisfaction de la demande sans léser les intérêts des producteurs.
L’équilibre des intérêts et une exploitation rationnelle de cette ressource non renouvelable sont des éléments essentiels pour favoriser une croissance harmonieuse à l’échelle de l’économie internationale.
Le développement équilibré de la planète, la consolidation de la paix et de la sécurité, l’élimination des nombreux fléaux aux conséquences néfastes aussi bien pour les riches que pour les moins nantis interpellent les uns et les autres sur le devoir de solidarité et d’entraide. L’Algérie croit en la possibilité de relever les défis, pour peu qu’il y ait de la bonne volonté et de l’engagement en toute sincérité et sans visées hégémoniques.
Les efforts accomplis pour le renouveau de l’Afrique avec les nouveaux statuts d l’Union africaine et le lancement du Nepad, dont l’Algérie est l’un des membres fondateurs, ont permis d’importantes avancées dans la voie de la démocratie et de l’Etat de droit, de la bonne gouvernance ainsi qu’au plan du développement durable.
Au plan interne, les progrès réalisés par l’Algérie, tant du point de vue de la stabilité qu’en ce qui concerne la dynamique de développement, suscitent éloges et admiration. La conséquence logique en est une volonté de nos partenaires de renforcer davantage les liens de coopération et le partenariat.
M. BRAHIM
La chancelière allemande, Mme Angela Merkel, a exprimé au Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, son souhait de "renforcer" et d'"intensifier" la coopération bilatérale algéro-allemande, notamment au plan économique, en s'appuyant sur un partenariat "fiable et juste".
"Je serais très heureuse que nous puissions renforcer notre coopération sur les questions bilatérales et internationales et de l'intensifier tout particulièrement au plan économique en s'appuyant sur un partenariat fiable et juste dans notre intérêt mutuel", a écrit la chancelière allemande dans un message adressé au Président Bouteflika.
Après avoir présenté ses remerciements pour l'hospitalité "particulière" et l'accueil "extrêmement chaleureux" qui lui ont été réservés lors de sa visite en Algérie, en juillet dernier, Mme Merkel a indiqué que les entretiens "intensifs et amicaux" qu'elle a eus avec le Président Bouteflika ont été, pour sa part, "très enrichissants".
"Après mon séjour en Algérie, je suis rentrée avec une multitude d'impressions de votre pays et de ses habitants" a-t-elle souligné, se réjouissant de la visite qu'effectuera le Président de la République en Allemagne au début de l'année prochaine.
Des réponses adaptées aux défis qui se posent
On l’aura remarqué, l’Algérie est très active sur la scène internationale, à la faveur d’événements et de rencontres à caractère multilatéral ou bilatéral. Les contacts tissés avec nos partenaires permettent à la fois d’apporter d’autres jalons à la coopération et au partenariat au plan bilatéral, tout en tentant, dans le cadre du dialogue, d’apporter des éléments de nature à contribuer à résoudre les problèmes générés par une mondialisation menaçante.
A l’heure où la communauté internationale est interpellée sur les problèmes du terrorisme, la multiplication des conflits, le réchauffement climatique, les crises financière et alimentaire, etc., le débat et la réflexion avec comme perspective d’harmoniser les positions s’avèrent essentiels.
Il est clair que les plus faibles, qui représentent la majorité des peuples de la planète, n’ont de chance de faire entendre leur voix que s’ils serrent les rangs. Face aux turbulences générées par une globalisation qui ne fait pas de cadeau et dont les conséquences peuvent se traduire par l’aggravation de la pauvreté et de la faim dans de vastes régions de la planète, comme on l’a vu avec la flambée des prix des produits alimentaires sur les marchés internationaux, il y a urgence à réfléchir sur des mécanismes et des normes propres à éviter ce genre de dérèglement aux conséquences dramatiques pour les moins nantis.
Les instances onusiennes, les institutions financières internationales (FMI, Banque mondiale), l’OMC se doivent d’adapter les dispositifs normatifs existants aux réalités d’aujourd’hui. L’Algérie se préoccupe de promouvoir le dialogue pour éviter les situations de crise, de pénurie, etc.
Dans le domaine sensible de l’énergie, elle s’est toujours montrée favorable au dialogue entre pays producteurs et pays consommateurs, de sorte à assurer une satisfaction de la demande sans léser les intérêts des producteurs.
L’équilibre des intérêts et une exploitation rationnelle de cette ressource non renouvelable sont des éléments essentiels pour favoriser une croissance harmonieuse à l’échelle de l’économie internationale.
Le développement équilibré de la planète, la consolidation de la paix et de la sécurité, l’élimination des nombreux fléaux aux conséquences néfastes aussi bien pour les riches que pour les moins nantis interpellent les uns et les autres sur le devoir de solidarité et d’entraide. L’Algérie croit en la possibilité de relever les défis, pour peu qu’il y ait de la bonne volonté et de l’engagement en toute sincérité et sans visées hégémoniques.
Les efforts accomplis pour le renouveau de l’Afrique avec les nouveaux statuts d l’Union africaine et le lancement du Nepad, dont l’Algérie est l’un des membres fondateurs, ont permis d’importantes avancées dans la voie de la démocratie et de l’Etat de droit, de la bonne gouvernance ainsi qu’au plan du développement durable.
Au plan interne, les progrès réalisés par l’Algérie, tant du point de vue de la stabilité qu’en ce qui concerne la dynamique de développement, suscitent éloges et admiration. La conséquence logique en est une volonté de nos partenaires de renforcer davantage les liens de coopération et le partenariat.
M. BRAHIM