La suite au poeme de Morjane qui m'a beaucoup inspiré..
J'ai perdu mon temps, dans tous mes mots il y a ce soupir du vide
J'ai brassé du vent, et pas une goute de pluie dans mon attente timide
J'attends et j'attends, a quoi bon espérer connaitre madame personne
elle me regarde et s'adresse à tous sauf à ma petite personne
Un fantome elle a fait de moi, et j'ai encore plus peur de l'automne qui arrive
Elle est l'amour pour ses enfants, moi de mes parents sur cette entre deux rives
Moi et ma pierre, je lui ai tout donné mais elle a préféré s'en amusé
Je ne supporte plus mon vide, dans tout ce qu'elle m'a laissé espéré
Qu'elle vive avec avec son temps et qu'elle me laisse mon printemps
Son feu plutot que de me réchauffer vient me bruler, et je n'ai plus le temps
Elle ne reconnait pas mon sang et voulait mes cendres comme en emporte le vent
Seule venir parler et dire des mots pour moi, n'est ce pas important ?
j'ai fait le pas cent fois et ne reviendra plus, il n'y aura pas de prochaine fois
Ma pauvre imagination apres laquelle tu attends, finira dans un feu de joie
Il a fini par couler et fondre comme la glace et n'attend plus que toi
Je reprends mes marques sur mon cadran puisqu'ici il n'y a que moi
Comme un tic sans ton tac je préfère encore ma vie en vrac
Je n'entend pas et n'attend plus, et toujours rien dans mon sac
J'ai essayé de remonter ma tocante et tu la prise pour la brocante
Depuis midi jusqu'à minuit j'ai arrêté de compter, sur toi, nonchalante
Encore et toujours le temps
J'ai perdu mon temps, dans tous mes mots il y a ce soupir du vide
J'ai brassé du vent, et pas une goute de pluie dans mon attente timide
J'attends et j'attends, a quoi bon espérer connaitre madame personne
elle me regarde et s'adresse à tous sauf à ma petite personne
Un fantome elle a fait de moi, et j'ai encore plus peur de l'automne qui arrive
Elle est l'amour pour ses enfants, moi de mes parents sur cette entre deux rives
Moi et ma pierre, je lui ai tout donné mais elle a préféré s'en amusé
Je ne supporte plus mon vide, dans tout ce qu'elle m'a laissé espéré
Qu'elle vive avec avec son temps et qu'elle me laisse mon printemps
Son feu plutot que de me réchauffer vient me bruler, et je n'ai plus le temps
Elle ne reconnait pas mon sang et voulait mes cendres comme en emporte le vent
Seule venir parler et dire des mots pour moi, n'est ce pas important ?
j'ai fait le pas cent fois et ne reviendra plus, il n'y aura pas de prochaine fois
Ma pauvre imagination apres laquelle tu attends, finira dans un feu de joie
Il a fini par couler et fondre comme la glace et n'attend plus que toi
Je reprends mes marques sur mon cadran puisqu'ici il n'y a que moi
Comme un tic sans ton tac je préfère encore ma vie en vrac
Je n'entend pas et n'attend plus, et toujours rien dans mon sac
J'ai essayé de remonter ma tocante et tu la prise pour la brocante
Depuis midi jusqu'à minuit j'ai arrêté de compter, sur toi, nonchalante
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