Bonsoir
http://www.20min.ch/images/content/1...807930/2/1.jpg
Contrairement aux apparences, l’arrière du chalet a été détruit.
Un éboulement à Kandersteg (BE) Suisse a détruit une maison. Son unique occupant a survécu: il se trouvait sur le trône
Martin Schindler est un miraculé. Il n’a pas une égratignure bien que sa maison ait été emportée par un éboulement. «J’ai eu une chance énorme», déclare Martin Schindler, 31 ans. Il a survécu à un éboulement de 300 m3 de rochers.
Lorsque les premiers blocs sont tombés, Martin Schindler était assis sur les toilettes. Il a eu très peur: «Soudain, il y a eu un fracas effroyable», raconte-t-il, encore sous le choc. Immédiatement, il a cherché à se réfugier à l’extérieur, mais l’éboulement lui a coupé le chemin.
Se réfugiant dans ce qui restait de son habitation, il s’est blotti contre un mur – la peur de mourir au ventre. «Je me demandais si j’allais survivre.» Et ça s’est joué à un cheveux. Si, par malchance, il avait été encore au lit à ce moment, il serait mort. La plupart des rochers qui sont tombés ont traversé sa chambre à coucher.
C’est grâce à son travail de spécialiste de la glace d’une patinoire qu’il était déjà debout. Par chance toujours, son amie était absente de la maison ce jour-là.
Malgré le grand soulagement d’être en vie, Martin Schindler et son amie sont tristes d’avoir perdu leur habitation. «La maison était notre plus grand rêve et aujourd’hui ce n’est qu’un amas de ruines.» Pour l’instant, le couple a trouvé refuge auprès des parents de la jeune femme. Et Martin Schindler de rajouter: «Nous ne savons pas encore de quoi l’avenir sera fait et ce qu’il nous réserve.»
20 minutes
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Contrairement aux apparences, l’arrière du chalet a été détruit.
Un éboulement à Kandersteg (BE) Suisse a détruit une maison. Son unique occupant a survécu: il se trouvait sur le trône
Martin Schindler est un miraculé. Il n’a pas une égratignure bien que sa maison ait été emportée par un éboulement. «J’ai eu une chance énorme», déclare Martin Schindler, 31 ans. Il a survécu à un éboulement de 300 m3 de rochers.
Lorsque les premiers blocs sont tombés, Martin Schindler était assis sur les toilettes. Il a eu très peur: «Soudain, il y a eu un fracas effroyable», raconte-t-il, encore sous le choc. Immédiatement, il a cherché à se réfugier à l’extérieur, mais l’éboulement lui a coupé le chemin.
Se réfugiant dans ce qui restait de son habitation, il s’est blotti contre un mur – la peur de mourir au ventre. «Je me demandais si j’allais survivre.» Et ça s’est joué à un cheveux. Si, par malchance, il avait été encore au lit à ce moment, il serait mort. La plupart des rochers qui sont tombés ont traversé sa chambre à coucher.
C’est grâce à son travail de spécialiste de la glace d’une patinoire qu’il était déjà debout. Par chance toujours, son amie était absente de la maison ce jour-là.
Malgré le grand soulagement d’être en vie, Martin Schindler et son amie sont tristes d’avoir perdu leur habitation. «La maison était notre plus grand rêve et aujourd’hui ce n’est qu’un amas de ruines.» Pour l’instant, le couple a trouvé refuge auprès des parents de la jeune femme. Et Martin Schindler de rajouter: «Nous ne savons pas encore de quoi l’avenir sera fait et ce qu’il nous réserve.»
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