KABOUL, Afghanistan -
Dix soldats français ont été tués dans un violent accrochage près de Kaboul dont quatre qui avaient été enlevés par les insurgés, a annoncé un responsable afghan, mardi.
Selon un autre responsable afghan, cet accrochage s'est déroulé sur deux jours dans la circonscription de Surobi dans la province de Kaboul, à une cinquantaine de kilomètres de la capitale afghane.
Cette même source qui a également requis l'anonymat a précisé que quatre de ces soldats avaient été enlevés et tués par les insurgés. Un autre
Il s'agit du bilan le plus meurtrier pour l'armée française depuis celui du bombardement de Bouaké en Côte d'Ivoire, le 6 novembre 2004. Ce jour-là, neuf soldats français et un civil américain avaient été tués et trente cinq autres soldats blessés lors d'un bombardement par des avions des forces ivoiriennes, survenu au troisième jour d'une offensive de l'armée ivoirienne contre les rebelles occupant le nord du pays, dont Bouaké.
En représailles, la France avait détruit la majorité des moyens aériens de l'armée ivoirienne sur ordre du président J. Chirac Des émeutes avaient suivi, au cours desquelles les expatriés français avaient été pris pour cible. AP
Dix soldats français ont été tués dans un violent accrochage près de Kaboul dont quatre qui avaient été enlevés par les insurgés, a annoncé un responsable afghan, mardi.
Selon un autre responsable afghan, cet accrochage s'est déroulé sur deux jours dans la circonscription de Surobi dans la province de Kaboul, à une cinquantaine de kilomètres de la capitale afghane.
Cette même source qui a également requis l'anonymat a précisé que quatre de ces soldats avaient été enlevés et tués par les insurgés. Un autre
Il s'agit du bilan le plus meurtrier pour l'armée française depuis celui du bombardement de Bouaké en Côte d'Ivoire, le 6 novembre 2004. Ce jour-là, neuf soldats français et un civil américain avaient été tués et trente cinq autres soldats blessés lors d'un bombardement par des avions des forces ivoiriennes, survenu au troisième jour d'une offensive de l'armée ivoirienne contre les rebelles occupant le nord du pays, dont Bouaké.
En représailles, la France avait détruit la majorité des moyens aériens de l'armée ivoirienne sur ordre du président J. Chirac Des émeutes avaient suivi, au cours desquelles les expatriés français avaient été pris pour cible. AP
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