De petits pas, un peu courir,
il essait, du ballon qui fuit, s'emparer.
Des cailloux il se saisit,
que sur la murette,
son oncle a déposé.
En un bond, Marc, le rattraper il voudrait.
Mais l'indien, de ses petits pieds,
lui échapper il a réussi.
Sa cousine, à bouder,
elle s'est essayée.
Mais y persister elle n'a réussi.
Nos taquineries l'ont dissuadée.
Râler après son père, elle a démarré.
Sur l'humeur de son indifférence,
elle s'est éloignée.
Cécilia, son ennui,
porter autour de la maison, et
ainsi se faire surprendre.
Telle une âme en peine,
elle s'est vue déambuler.
Nos sourires amusés,
ne l'ont point découragée.
Sa besogne de ramasseur de pierres,
Marc, dans sa cour était affairé.
Manon, disparue un court instant,
et de ce jardin, elle s'est éloignée.
Lydie, derrière son indien,
au petit trot, elle n'a cessé,
la hache de guerre, déterrer.
Avec sa soeur, une discussion animée
elle a engagé.
Monsieur Mistral les a raffraichies,
car à la maison, chercher une petite laine,
elles ont voulues.
Aurélien, du grillage s'est approché,
pour avec les voisins,
à leurs jeux se mêler.
A prèsent, derrière sa fenêtre,
Cécilia observe son mari,
avec ses cailloux, jouant sérieusement.
Voilà tonton, avec l'indien,
au ballon se mesurant.
Douceur de ces instants,
qu'en famille,
les enfants captent avec intention.
Une grand-mère-maman,
qui à l'écart,
du regard, embrasse généreusement,
la délicatesse du moment.
Rire et sourire,
du temps qui passe doucement...
Quel incroyable voyage,
au coeur de ses enfants !
il essait, du ballon qui fuit, s'emparer.
Des cailloux il se saisit,
que sur la murette,
son oncle a déposé.
En un bond, Marc, le rattraper il voudrait.
Mais l'indien, de ses petits pieds,
lui échapper il a réussi.
Sa cousine, à bouder,
elle s'est essayée.
Mais y persister elle n'a réussi.
Nos taquineries l'ont dissuadée.
Râler après son père, elle a démarré.
Sur l'humeur de son indifférence,
elle s'est éloignée.
Cécilia, son ennui,
porter autour de la maison, et
ainsi se faire surprendre.
Telle une âme en peine,
elle s'est vue déambuler.
Nos sourires amusés,
ne l'ont point découragée.
Sa besogne de ramasseur de pierres,
Marc, dans sa cour était affairé.
Manon, disparue un court instant,
et de ce jardin, elle s'est éloignée.
Lydie, derrière son indien,
au petit trot, elle n'a cessé,
la hache de guerre, déterrer.
Avec sa soeur, une discussion animée
elle a engagé.
Monsieur Mistral les a raffraichies,
car à la maison, chercher une petite laine,
elles ont voulues.
Aurélien, du grillage s'est approché,
pour avec les voisins,
à leurs jeux se mêler.
A prèsent, derrière sa fenêtre,
Cécilia observe son mari,
avec ses cailloux, jouant sérieusement.
Voilà tonton, avec l'indien,
au ballon se mesurant.
Douceur de ces instants,
qu'en famille,
les enfants captent avec intention.
Une grand-mère-maman,
qui à l'écart,
du regard, embrasse généreusement,
la délicatesse du moment.
Rire et sourire,
du temps qui passe doucement...
Quel incroyable voyage,
au coeur de ses enfants !
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