Je ne pouvais m'abstenir de partager avec vous cette réflexion:
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A moins d'un an des élections présidentielles d'avril 2009, la politique de réconciliation nationale du président Bouteflika apparait définitivement comme un échec. Non seulement, la main tendue aux islamistes armés n'a pas produit l'effet annoncé en terme d'amélioration de la sécurité des Algériens, mais, plus inquiétant, l'État algérien semble avoir perdu l'initiative sur le terrain sécuritaire.
Al-Qaïda au Maghreb a réussi à monter une «opération de représailles» en moins de deux jours, après la mort, le 8 août, dans une embuscade des forces de sécurité de douze de ses éléments en Kabylie.
Le groupe terroriste a perpétré quatre attentats suicides des plus spectaculaires dans un périmètre de moins de 100 kilomètres entre Boumerdès, Tizi-Ouzou et Bouira, en visant des cibles de choix : une caserne des gardes-côtes, une école de gendarmerie, le siège d’un secteur militaire et un bus appartenant à une société étrangère.
Al-Qaïda a réussi à provoquer un climat de panique au sein de la population à la veille du Ramadhan, avant d'annoncer dans un enregistrement sonore, diffusé vendredi soir par Al-Jazeera, la fin de l'opération «Expédition de la Vengeance».
Du jamais vu depuis le début des violences islamistes en Algérie : le groupe terroriste a pris l'initiative de lancer une « opération de représailles » puis, une fois ses objectifs atteints, d'y mettre fin et de l'annoncer.
Il s'est même offert le luxe de s'attaquer à une école de gendarmerie, censée former les futurs gendarmes aux multiples techniques de sécurité, dont notamment la sécurisation d'un périmètre autour d'un bâtiment officiel par exemple. Un coup médiatique sans équivalent.
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A moins d'un an des élections présidentielles d'avril 2009, la politique de réconciliation nationale du président Bouteflika apparait définitivement comme un échec. Non seulement, la main tendue aux islamistes armés n'a pas produit l'effet annoncé en terme d'amélioration de la sécurité des Algériens, mais, plus inquiétant, l'État algérien semble avoir perdu l'initiative sur le terrain sécuritaire.
Al-Qaïda au Maghreb a réussi à monter une «opération de représailles» en moins de deux jours, après la mort, le 8 août, dans une embuscade des forces de sécurité de douze de ses éléments en Kabylie.
Le groupe terroriste a perpétré quatre attentats suicides des plus spectaculaires dans un périmètre de moins de 100 kilomètres entre Boumerdès, Tizi-Ouzou et Bouira, en visant des cibles de choix : une caserne des gardes-côtes, une école de gendarmerie, le siège d’un secteur militaire et un bus appartenant à une société étrangère.
Al-Qaïda a réussi à provoquer un climat de panique au sein de la population à la veille du Ramadhan, avant d'annoncer dans un enregistrement sonore, diffusé vendredi soir par Al-Jazeera, la fin de l'opération «Expédition de la Vengeance».
Du jamais vu depuis le début des violences islamistes en Algérie : le groupe terroriste a pris l'initiative de lancer une « opération de représailles » puis, une fois ses objectifs atteints, d'y mettre fin et de l'annoncer.
Il s'est même offert le luxe de s'attaquer à une école de gendarmerie, censée former les futurs gendarmes aux multiples techniques de sécurité, dont notamment la sécurisation d'un périmètre autour d'un bâtiment officiel par exemple. Un coup médiatique sans équivalent.
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