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Un Boeing de la compagnie nationale Air Algérie, assurant la liaison Marseille/Chlef a atterri, jeudi, à l’aéroport international de Chlef avec une fissure au niveau de l’un des pare-brises de la cabine de pilotage, avons-nous appris sur place.L’atterrissage, avec près de 150 passagers à bord, s’est déroulé toutefois sans encombre.
Cependant, pour la phase retour, la situation a été toute autre, puisque l’appareil a été immobilisé pendant près de quatre heures sur le tarmac de l’aéroport et a dû annuler son vol à destination de Marseille.
Pendant tout ce temps, les 160 passagers à destination de la ville française étaient à l’intérieur de l’avion, en train d’attendre un éventuel départ ou une solution alternative. Informés de bouche à oreille de l’incident technique, certains passagers, dont une famille, ont quitté précipitamment l’appareil, se désistant ainsi de leur place. « Nous avons eu vraiment peur lorsque nous avons appris la nouvelle. A mon avis, l’équipage a pris un grand risque en décollant avec un pare-brise brisé », nous a indiqué un des voyageurs ayant renoncé à ce vol.
Ce n’est qu’à 17h15 que le Boeing a repris son vol, malgré l’avarie, mais cette fois en direction de l’aéroport d’Alger où il devait subir, dit-on, les réparations nécessaires. Les passagers, quant à eux, ont embarqué à bord d’un autre appareil à destination de Marseille.
Aux dernières nouvelles, ils sont arrivés dans la soirée à l’aéroport Marignane en poussant un grand soupir de soulagement. A noter qu’aucune explication officielle n’a été fournie sur l’origine de l’incident et l’état exact du pare-brise. Ce que l’on sait, c’est que ce dernier a subi une importante déchirure qui a été constatée à temps par les membres de l’équipage.
Par El Watan
Cependant, pour la phase retour, la situation a été toute autre, puisque l’appareil a été immobilisé pendant près de quatre heures sur le tarmac de l’aéroport et a dû annuler son vol à destination de Marseille.
Pendant tout ce temps, les 160 passagers à destination de la ville française étaient à l’intérieur de l’avion, en train d’attendre un éventuel départ ou une solution alternative. Informés de bouche à oreille de l’incident technique, certains passagers, dont une famille, ont quitté précipitamment l’appareil, se désistant ainsi de leur place. « Nous avons eu vraiment peur lorsque nous avons appris la nouvelle. A mon avis, l’équipage a pris un grand risque en décollant avec un pare-brise brisé », nous a indiqué un des voyageurs ayant renoncé à ce vol.
Ce n’est qu’à 17h15 que le Boeing a repris son vol, malgré l’avarie, mais cette fois en direction de l’aéroport d’Alger où il devait subir, dit-on, les réparations nécessaires. Les passagers, quant à eux, ont embarqué à bord d’un autre appareil à destination de Marseille.
Aux dernières nouvelles, ils sont arrivés dans la soirée à l’aéroport Marignane en poussant un grand soupir de soulagement. A noter qu’aucune explication officielle n’a été fournie sur l’origine de l’incident et l’état exact du pare-brise. Ce que l’on sait, c’est que ce dernier a subi une importante déchirure qui a été constatée à temps par les membres de l’équipage.
Par El Watan
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