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C’était juste un rêve.

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  • C’était juste un rêve.

    Bonjour,

    Le rêve s’est échappé
    Entre leurs mains s’est glissé
    il s’est brisé, il s’est cassé.
    Le rêve est terminé, a cessé.
    D’exister….. a jamais.

    C’était juste un rêve
    C’est mieux peut être
    Un rêve qui s’achève
    Bien avant de naître

    C’était juste un rêve
    C’est mieux comme ça
    Il fallait bien que ça arrive
    Dans tous les cas
    Il était l’origine et la source
    De toutes les inspirations,
    Et de toutes les forces
    Quelques soient les conditions
    Quelques soient les circonstances
    Toutes les belles choses, tout l’espoir
    Et Toutes les belles espérances
    Tout lui était relié, tout découlait de lui

    Ils auraient tellement souhaité
    L’approcher,
    De près le regarder,
    De leurs mains le toucher,
    Pour le réaliser.
    Mais, comme un oiseau, il s’est envolé
    De leurs pas s’est éloigné
    Dans l’horizon s’est effacé
    De leurs vues s’est caché
    Et tout seuls les a lésés.
    Pourront-t-ils encore rêver ?

    Bonne journee a tous.

    Thirga,
    Dernière modification par Thirga.ounevdhou, 22 août 2005, 10h52.

  • #2
    Thirga

    C'est trés émouvant de lire ton poème écrit avec délicatesse, et encore plus émouvant parfois de voir son propre rêve s'envolé ou emporté à jamais...thank you to share with us such beautifull verse...
    Page blanche

    Commentaire


    • #3
      un oiseau ça va et ça revient...ça ne s'installe jamais pour l'étérnité mais ça ne disprait aussi jamais pour toujours...Parfois, le nuage passe et cache ce bel oiseau de notre vu -et de notre vie!- mais heureusement k'un nuage ça repart aussitôt ke ça vient!

      un rêve est très souvent un idéal, un idéal n'est pas fait pour être vécu mais pour nourrir notre motivation et inspiration

      Un idéal c'est comme une étoile, on ne le touche jamais mais c'est par sa lumière ke l'on trace et avance dans notre chemin!

      je te souhaite le meilleur dans ce monde pour l'avenir...en attendant, je te souhaite une belle journée douce thirgha!
      "Au delà de la Terre, au delà de l'Infini, je cherchais à voir le Ciel et l'Enfer.Une voix solennelle m'a dit: "Le Ciel et l'Enfer sont en toi."

      Commentaire


      • #4
        @Thirga

        Les réves ne me manquent pas,
        mais ce que je réalise toujours sont,
        ce que je n´avais pas vraiment cru à réaliser.

        Je finis par ne pas réver,
        laisser le réve venir seul, à travers le destin.


        Merci pour le poême!

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        • #5
          Bonjour,

          Samirdavid : you well come. Tout le plaisir est pour moi de vous voire apprécier mon modeste poème.

          Omen : Je suis tout a fait d’accord, un rêve est fait pour être et rester un rêve. Il plus beaux dans le monde des rêve..il perd tout son idéalisme et son charme et s’il devient réalité.

          Algheriana :
          mais ce que je réalise toujours sont,
          ce que je n´avais pas vraiment cru à réaliser.
          Moi aussi je trouve mieux encore

          Mais on ne peut pas vivre sans rêver, sans espérer et attendre «le proverbe Arabe » Elli yetmenna …. »

          Merci encore et bonne journee a tous.

          Commentaire


          • #6
            Bonjour Thirga, Algeriana, Omen samirdavid,

            Le rêve s'est échappé
            Mais il ne s'est pas brisé
            Il s'est juste envolé
            il avait oublié qui il était
            Et puis on a voulus l'arracher
            on a voulus le détruire
            lui ne voulait que batir
            alors il s'est enfuit
            Quand le soleil baillera
            Et que le calme règnera
            Il attendra le moment propice
            Et de nouveau renaitra.


            Merci Thirga pour ce poème. Il est très doux et très agréable à lire.

            Belle soirée à tous

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            • #7
              Illusion ?

              Slt !


              Thirga, merci pour esquisse volatile !
              Tu ne parles surement pas de rêve nocturne
              ou diurne ! De prémonition !
              Tu parles d'espérance, de pensées affabulatoires...
              De déraison, d'utopie, de projet insensé...
              Il n'est pas interdit de rêver...
              Seulement, quand le rêve s'évanouit, la réalité
              est bien là ! Parfois amère et désagréable !
              Mais, c'est la vie ! Elle est ainsi, la coquine...
              Parfois même, la réalité dépasse la fiction !

              Amitié, ma douce Thirga !

              A+

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              • #8
                Bonjour Morjane et Goutdemiel,

                Merci beaucoup Morjane. Votre poème est comme le soleil du printemps qui suit une sombre, froide et longue nuit, il est si doux et fait chaud au cœur.

                Merci Goudemiel, vous avez tellement raison dans tout ce que vous dites.

                Merci encore et bonne journee.

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                • #9
                  Thirga

                  Moi aussi le rêve m'échappe, Thirga
                  le réveil est parfois brutal

                  Commentaire


                  • #10
                    le reveil même brutal ,est parfois utile pour se rendre compte que ce n'est qu'un rêve ,un cauchemer qu'ilfaut surpasser ,qu'il faut oublier
                    si comme te dire STP quand je t'apelles sachant que que tu viendras quand même

                    Commentaire


                    • #11
                      Le règne des mots dans un monde sans vie

                      Les sillouettes de ces mots qui s'envolent,
                      Les personnes que l'on range dans sa mémoire,
                      Les projets qui naissent, que l'on cajole,
                      Et ces êtres que l'on colle sur ce fond noir.

                      L'éveil des sens, quelle drole d'image,
                      Pour des notions, on prête la vie!
                      Les feux de l'action brillent sur cette page
                      Et ses acteurs, endormis, sont des sosies!

                      Ces vers de confusion qui m'insupportent
                      Prennent leur essence derrière cette porte,
                      Comme l'infusion qui noie cette clé dans ce sommeil
                      Pour inonder de sa saveur le pays des merveilles.

                      Les hommes rêvent de la vie en rose
                      En menant des combats de chaque couleur!
                      Les noms communs festoient en coeur,
                      Volant la vie aux âmes quand celles-ci se reposent!
                      Méditerranéen, terrien et j'ai rien!

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                      • #12
                        Salam tt le monde
                        Merci Thirga.ounevdhou. Ton poème est touchant.
                        Je pense que nous devons dormir pour rêver si non ce dernier s'échappe et se brise. Gardons espoir!!!
                        Agréable journée à tt le monde
                        On écrit pour rendre justice à la vérité.

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                        • #13
                          Un rêve

                          La corde nue et maigre,
                          Grelottant sous le froid
                          Beffroi,
                          Criait d'une voix aigre
                          Qu'on oublie au couvent
                          L'Avent.

                          Moines autour d'un cierge,
                          Le front sur le pavé
                          Lavé,
                          Par décence, à la Vierge
                          Tenaient leurs gros péchés
                          Cachés ;

                          Et moi, dans mon alcôve,
                          Je ne songeais à rien
                          De bien ;
                          La lune ronde et chauve
                          M'observait avec soin
                          De loin ;

                          Et ma pensée agile,
                          S'en allant par degré,
                          Au gré
                          De mon cerveau fragile,
                          Autour de mon chevet
                          Rêvait.

                          - Ma marquise au pied leste !
                          Qui ses yeux noirs verra,
                          Dira
                          Qu'un ange, ombre céleste,
                          Des choeurs de Jéhova
                          S'en va !

                          Quand la harpe plaintive
                          Meurt en airs languissants,
                          Je sens,
                          De ma marquise vive,
                          Le lointain souvenir
                          Venir !

                          Marquise, une merveille,
                          C'est de te voir valser,
                          Passer,
                          Courir comme une abeille
                          Qui va cherchant les pleurs
                          Des fleurs !

                          Ô souris-moi, marquise !
                          Car je vais, à te voir,
                          Savoir
                          Si l'amour t'a conquise,
                          Au signal que me doit
                          Ton doigt.

                          Dieu ! si ton oeil complice
                          S'était de mon côté
                          Jeté !
                          S'il tombait au calice
                          Une goutte de miel
                          Du ciel !

                          Viens, faisons une histoire
                          De ce triste roman
                          Qui ment !
                          Laisse, en tes bras d'ivoire,
                          Mon âme te chérir,
                          Mourir !

                          Et que, l'aube venue,
                          Troublant notre sommeil
                          Vermeil,
                          Sur ton épaule nue
                          Se trouve encor demain
                          Ma main !

                          Et ma pensée agile,
                          S'en allant par degré
                          Au gré
                          De mon cerveau fragile,
                          Autour de mon chevet
                          Rêvait !

                          - Vois-tu, vois-tu, mon ange,
                          Ce nain qui sur mon pied
                          S'assied !
                          Sa bouche (oh ! c'est étrange !)
                          A chaque mot qu'il dit
                          Grandit.

                          Vois-tu ces scarabées
                          Qui tournent en croissant,
                          Froissant
                          Leurs ailes recourbées
                          Aux ailes d'or des longs
                          Frelons ?

                          - Non, rien ; non, c'est une ombre
                          Qui de mon fol esprit
                          Se rit,
                          C'est le feuillage sombre,
                          Sur le coin du mur blanc
                          Tremblant.

                          - Vois-tu ce moine triste,
                          Là, tout près de mon lit,
                          Qui lit ?
                          Il dit : " Dieu vous assiste ! "
                          A quelque condamné
                          Damné !

                          - Moi, trois fois sur la roue
                          M'a, le bourreau masqué,
                          Marqué,
                          Et j'eus l'os de la joue
                          Par un coup mal visé
                          Brisé.

                          - Non, non, ce sont les nonnes
                          Se parlant au matin
                          Latin ;
                          Priez pour moi, mignonnes,
                          Qui mon rêve trouvais
                          Mauvais.

                          - Reviens, oh ! qui t'empêche,
                          Toi, que le soir, longtemps,
                          J'attends !
                          Oh ! ta tête se sèche,
                          Ton col s'allonge, étroit
                          Et froid !

                          Otez-moi de ma couche
                          Ce cadavre qui sent
                          Le sang !
                          Otez-moi cette bouche
                          Et ce baiser de mort,
                          Qui mord !

                          - Mes amis, j'ai la fièvre,
                          Et minuit, dans les noirs
                          Manoirs,
                          Bêlant comme une chèvre,
                          Chasse les hiboux roux
                          Des trous.

                          A.Musset
                          Page blanche

                          Commentaire


                          • #14
                            Bonsoir Thirga, ce n'est que ce jour que je découvre ce magnifique poème, je voulais te dire merci, notamment pour ces quelques mots, qui me parlent tout particulièrement :
                            C’était juste un rêve
                            C’est mieux peut être
                            Un rêve qui s’achève
                            Bien avant de naître


                            Je sais qu'un joli rêve en chasse un autre, certainement plus mauvais, tant que les rêves peuplent nos nuits, l'espoir d'un plus beau songe règne dans le coeur d'un être, empli de foi...

                            Commentaire


                            • #15
                              Mais les rêves continues à jamais,
                              sans cesse, nos esprits se laisse aller
                              vers un monde difficille à toucher
                              avec l'éspoire comme seul clé....


                              Bonsoir thirga, j'avais lu ton poéme le premier jour ou tu l'a écris, mais je n'avais pas eu le temps de t'écrire un petit mots, alors je le fais à présent.
                              Tu sais, mes rêves sont pleins d'étoiles et de magies, et quand je tombe dans mon imagination, je me surprend à sourire, à être heureuse de me voir un jour réussir ce dont j'ai envie!
                              Il ne faut jamais s'arretter de rever, même si parfois, on est déçu, rien ne se passe, mais les rêves, sont comme l'éspoire, ils nous font vivre, et nous font sortir de la réalité qu'est la vie.

                              Je vous souhaite à tous une belle nuit, et de beaux rêves bleu et légers.....

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