Le GSPC a revendiqué, dans un enregistrement audio diffusé avant-hier par la chaîne de télévision satellitaire Al Jazeera, les récents attentats terroristes perpétrés en Algérie.
Le texte de cette revendication a été lu par un certain Salah Abou Mohamed, présenté comme étant le «responsable de l’information» de cette organisation terroriste. Dans cet enregistrement, l’organisation d’Abou Mossaâb Abdelouadoud a reconnu l’importance de l’opération réussie par l’ANP, éliminant, il y a environ deux semaines, douze terroristes, dont trois «émirs» identifiés jusque-là à Béni Douala, dans la wilaya de Tizi Ouzou. «C’est une opération de renseignements. Le véhicule les transportant a été piégé et explosé à distance», lance le «responsable de l’information» du GSPC. Il ajoute que les attentats terroristes perpétrés ces derniers jours «sont une réponse à l’ANP et aux services de sécurité» qui ont réussi cette opération antiterroriste, en menaçant de reprendre ces attentats «à chaque fois que l’ANP et les services de sécurité mènent une opération» contre cette organisation terroriste.
Par ces propos, il est clair, cette organisation terroriste aux abois exprime son inquiétude par rapport à la détermination de l’ANP et des services de sécurité d’en finir avec le terrorisme en Algérie. Le GSPC tente de s’éviter de nouvelles frappes en menaçant de s’en prendre aux citoyens si l’ANP et les services de sécurité continuent à décapiter son organisation. Des propos qui veulent dire, en autre langage mais même signification, que «si vous continuez à abattre nos éléments et émirs, nous nous en prendrons aux citoyens», comme cela a été le cas avec ces derniers attentats. Ignoble chantage. Une sorte de «trêve» à sens unique que le GSPC tente d’imposer à l’ANP et aux services de sécurité, par la terreur et en prenant la population en otage.
Une «trêve» qui consisterait à empêcher l’ANP et les services de sécurité de mener toute nouvelle opération antiterroriste contre ce qui reste du GSPC qui, lui, pourra continuer à semer mort et désolation sans qu’il ne soit combattu. Le summum de la lâcheté du GSPC qui menace de continuer à s’en prendre à la population s’il est harcelé. Les «émirs» font passer des bébés pour des gendarmes et policiers.
Comble de l’ironie, cette même organisation terroriste tente de faire croire au contraire, vis-à-vis de l’opinion nationale et internationale, lorsque le «responsable de l’information» de cette organisation terroriste déclare, à qui veut le croire, que «les kamikazes n’ont pas ciblé les civils», assassinant une deuxième fois les victimes de ses attentats. Pourtant, des enfants, des femmes et des personnes âgées, comptent parmi les victimes de ces attentats suicide, ce qui est facilement vérifiable au niveau des structures hospitalières, auprès de leurs familles ou parmi les témoins. Après les avoir assassinés, le GSPC méprise ses victimes.
Le «responsable de l’information» du GSPC s’interroge, dans sa tentative de convaincre, «les gendarmes et policiers (assassinés dans ces attentats terroristes), sont-ils des civils innocents ?». Ce que ce «responsable de l’information» du GSPC n’ignore pas et évite de le reconnaître, c’est que des bébés comptent parmi les victimes. Ces bébés sont-ils, comme il le prétend, des «gendarmes et policiers ?». Il ne dit mot, d’autre part, sur les bus transportant des dizaines de passagers touchés de plein fouet dans ces attentats suicide.
Dans sa tentative de tromper l’opinion publique nationale et internationale, le GSPC annonce, dans cette revendication, avoir tué, lors d’un des attentats terroristes de Bouira, des ressortissants «canadiens envahisseurs». Ce qui est faux lorsqu’on sait que les ressortissants canadiens sont venus travailler dans ce pays et non pour l’envahir, et qu’il n’ y a aucun ressortissant canadien assassiné dans ces attentats. Ce sont douze ressortissants algériens employés dans une entreprise canadienne qui ont été assassinés par les sbires de Abou Mossaâb Abdelouadoud.
La haine avec laquelle le GSPC a perpétré ces attentats dénote de l’importance, dans cette organisation, des douze terroristes abattus par l’ANP à Béni Douala. Trois d’entre eux ont été identifiés. Il s’agit d’un certain Tahar, «émir» de katibat Ennour, l’une des plus importantes katibas du GSPC, et de Abou Kouthama, «responsable des finances» de cette organisation, les autres étant en cours d’identification. Ces attentats terroristes prouvent que l’opération antiterroriste de Béni Douala a été menée avec une efficacité telle qu’elle provoque la peur et la panique chez les «émirs» du GSPC. Cette organisation terroriste annonce, dans cet enregistrement, la fin de cette série d’attentats terroristes décidés après l’élimination de ces douze terroristes que cette organisation terroriste qualifie d’«expédition de la vengeance» à la date du 21 août en cours.
Journal: Le Jour d'Algérie
Le texte de cette revendication a été lu par un certain Salah Abou Mohamed, présenté comme étant le «responsable de l’information» de cette organisation terroriste. Dans cet enregistrement, l’organisation d’Abou Mossaâb Abdelouadoud a reconnu l’importance de l’opération réussie par l’ANP, éliminant, il y a environ deux semaines, douze terroristes, dont trois «émirs» identifiés jusque-là à Béni Douala, dans la wilaya de Tizi Ouzou. «C’est une opération de renseignements. Le véhicule les transportant a été piégé et explosé à distance», lance le «responsable de l’information» du GSPC. Il ajoute que les attentats terroristes perpétrés ces derniers jours «sont une réponse à l’ANP et aux services de sécurité» qui ont réussi cette opération antiterroriste, en menaçant de reprendre ces attentats «à chaque fois que l’ANP et les services de sécurité mènent une opération» contre cette organisation terroriste.
Par ces propos, il est clair, cette organisation terroriste aux abois exprime son inquiétude par rapport à la détermination de l’ANP et des services de sécurité d’en finir avec le terrorisme en Algérie. Le GSPC tente de s’éviter de nouvelles frappes en menaçant de s’en prendre aux citoyens si l’ANP et les services de sécurité continuent à décapiter son organisation. Des propos qui veulent dire, en autre langage mais même signification, que «si vous continuez à abattre nos éléments et émirs, nous nous en prendrons aux citoyens», comme cela a été le cas avec ces derniers attentats. Ignoble chantage. Une sorte de «trêve» à sens unique que le GSPC tente d’imposer à l’ANP et aux services de sécurité, par la terreur et en prenant la population en otage.
Une «trêve» qui consisterait à empêcher l’ANP et les services de sécurité de mener toute nouvelle opération antiterroriste contre ce qui reste du GSPC qui, lui, pourra continuer à semer mort et désolation sans qu’il ne soit combattu. Le summum de la lâcheté du GSPC qui menace de continuer à s’en prendre à la population s’il est harcelé. Les «émirs» font passer des bébés pour des gendarmes et policiers.
Comble de l’ironie, cette même organisation terroriste tente de faire croire au contraire, vis-à-vis de l’opinion nationale et internationale, lorsque le «responsable de l’information» de cette organisation terroriste déclare, à qui veut le croire, que «les kamikazes n’ont pas ciblé les civils», assassinant une deuxième fois les victimes de ses attentats. Pourtant, des enfants, des femmes et des personnes âgées, comptent parmi les victimes de ces attentats suicide, ce qui est facilement vérifiable au niveau des structures hospitalières, auprès de leurs familles ou parmi les témoins. Après les avoir assassinés, le GSPC méprise ses victimes.
Le «responsable de l’information» du GSPC s’interroge, dans sa tentative de convaincre, «les gendarmes et policiers (assassinés dans ces attentats terroristes), sont-ils des civils innocents ?». Ce que ce «responsable de l’information» du GSPC n’ignore pas et évite de le reconnaître, c’est que des bébés comptent parmi les victimes. Ces bébés sont-ils, comme il le prétend, des «gendarmes et policiers ?». Il ne dit mot, d’autre part, sur les bus transportant des dizaines de passagers touchés de plein fouet dans ces attentats suicide.
Dans sa tentative de tromper l’opinion publique nationale et internationale, le GSPC annonce, dans cette revendication, avoir tué, lors d’un des attentats terroristes de Bouira, des ressortissants «canadiens envahisseurs». Ce qui est faux lorsqu’on sait que les ressortissants canadiens sont venus travailler dans ce pays et non pour l’envahir, et qu’il n’ y a aucun ressortissant canadien assassiné dans ces attentats. Ce sont douze ressortissants algériens employés dans une entreprise canadienne qui ont été assassinés par les sbires de Abou Mossaâb Abdelouadoud.
La haine avec laquelle le GSPC a perpétré ces attentats dénote de l’importance, dans cette organisation, des douze terroristes abattus par l’ANP à Béni Douala. Trois d’entre eux ont été identifiés. Il s’agit d’un certain Tahar, «émir» de katibat Ennour, l’une des plus importantes katibas du GSPC, et de Abou Kouthama, «responsable des finances» de cette organisation, les autres étant en cours d’identification. Ces attentats terroristes prouvent que l’opération antiterroriste de Béni Douala a été menée avec une efficacité telle qu’elle provoque la peur et la panique chez les «émirs» du GSPC. Cette organisation terroriste annonce, dans cet enregistrement, la fin de cette série d’attentats terroristes décidés après l’élimination de ces douze terroristes que cette organisation terroriste qualifie d’«expédition de la vengeance» à la date du 21 août en cours.
Journal: Le Jour d'Algérie
Commentaire