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Dernier virage avant la fin des vacances et les encombrements sont de plus en plus pesants aux postes frontaliers algéro-tunisiens avec des départs et des arrivées massifs de touristes algériens. Mais à l'approche du Ramadhan et de la rentrée sociale, les retardataires ayant choisi la destination préférée des Algériens ne s'en prendront qu'à eux-mêmes, pour ce qui est des prix pratiqués actuellement, contrairement à ceux qui ont passé des séjours au mois de juillet où les prix des services étaient abordables.
En effet, les villes les plus prisées comme Nabeul, Hammamet et Sousse ont une hausse substantielle dans les prix des prestations de service comme les hôtels, qui affichent complet et à des prix qui ont grimpé de 30% puisque la nuitée dans un hôtel de deux à trois étoiles qui était de l'ordre de 500 dinars tunisiens est passée à 800 DT. Quant aux hôtels de cinq étoiles avec une vue sur mer, la nuitée a atteint les 1.200 DT.
Quant aux appartements et studios qu'affectionnent de nombreuses familles aux revenus modestes, les prix de la location sont passés de 500 à 700 DT et peuvent atteindre les 1.000 DT quand on a les pieds dans l'eau.
Même la restauration quelle qu'en soit la qualité connaît une flambée des prix alors que des denrées comme le riz demeurent introuvables sauf dans les lieux chics. Situation qui a obligé plus d'un parmi les familles à se rabattre sur des villes et des localités jamais visitées comme Mahdia, Grombalia ou Bizerte. Par contre, certains jeunes, histoire de joindre l'utile à l'agréable à l'image d'Ahmed et de Zinou, leur quête est de trouver un passeur du côté de Tabarka afin de gagner les côtes italiennes, les eaux nationales algériennes étant sous surveillance des gardes-côtes de la marine nationale. Sauf que la chose n'est pas aussi facile qu'on le croit avec des services de sécurité tunisiens qui veillent eux aussi au grain, ayant l'oeil et l'ouïe sur tout mouvement ou comportement suspect.
Certaines familles approchées sur les raisons qui les incitent à aller en Tunisie, diront que c'est la quiétude et le repos qu'elles cherchent avec ce goût de vacances qu'elles ne trouvent pas sur notre littoral.
Enfin, comme à l'accoutumée, les uns et les autres pensent à changer plus tard de destination même si le plein de touristes a été fait du côté de la Tunisie avec une moyenne de 5.000 véhicules qui transitent chaque par les postes frontaliers d'Oum Theboul et El-Ayoun.
- Le Quotidien d’Oran
En effet, les villes les plus prisées comme Nabeul, Hammamet et Sousse ont une hausse substantielle dans les prix des prestations de service comme les hôtels, qui affichent complet et à des prix qui ont grimpé de 30% puisque la nuitée dans un hôtel de deux à trois étoiles qui était de l'ordre de 500 dinars tunisiens est passée à 800 DT. Quant aux hôtels de cinq étoiles avec une vue sur mer, la nuitée a atteint les 1.200 DT.
Quant aux appartements et studios qu'affectionnent de nombreuses familles aux revenus modestes, les prix de la location sont passés de 500 à 700 DT et peuvent atteindre les 1.000 DT quand on a les pieds dans l'eau.
Même la restauration quelle qu'en soit la qualité connaît une flambée des prix alors que des denrées comme le riz demeurent introuvables sauf dans les lieux chics. Situation qui a obligé plus d'un parmi les familles à se rabattre sur des villes et des localités jamais visitées comme Mahdia, Grombalia ou Bizerte. Par contre, certains jeunes, histoire de joindre l'utile à l'agréable à l'image d'Ahmed et de Zinou, leur quête est de trouver un passeur du côté de Tabarka afin de gagner les côtes italiennes, les eaux nationales algériennes étant sous surveillance des gardes-côtes de la marine nationale. Sauf que la chose n'est pas aussi facile qu'on le croit avec des services de sécurité tunisiens qui veillent eux aussi au grain, ayant l'oeil et l'ouïe sur tout mouvement ou comportement suspect.
Certaines familles approchées sur les raisons qui les incitent à aller en Tunisie, diront que c'est la quiétude et le repos qu'elles cherchent avec ce goût de vacances qu'elles ne trouvent pas sur notre littoral.
Enfin, comme à l'accoutumée, les uns et les autres pensent à changer plus tard de destination même si le plein de touristes a été fait du côté de la Tunisie avec une moyenne de 5.000 véhicules qui transitent chaque par les postes frontaliers d'Oum Theboul et El-Ayoun.
- Le Quotidien d’Oran