Le bar-restaurant le Sébaou sis au lieudit Tirstatine (à 3 km d’Azazga), a été incendié et saccagé, dans la nuit du dimanche à lundi, par des villageois, après avoir livré un violent affrontement avec les gérants, apprend-on de sources sécuritaires.
Quatre blessés sont à déplorer, dont un gravement touché au niveau de la tête, annonce la Protection civile.
L’origine de ce drame a commencé par une altercation provoquée, vers 22h, à l’intérieur de cet établissement par certains clients, probablement, en état d’ébrieté.
La bagarre s’est propagée à l’extérieur, et les bagarreurs ont commencé à échanger, à haute voix, des obscénités et des jets de pierres. Le vacarme et la projection des projectiles, qui a trop duré, a fini par réveiller, les propriétaires des maisons avoisinantes, qui se sont mêlés pour disperser la foule…
Peine perdue, puisque l’affrontement a pris plus d’ampleur, lorsque les locataires ont fait appel à leurs proches et mobilisèrent le village.
Selon la police, les hostilités entre ces villageois et les gérants a duré jusqu’à 1h.
Après avoir pu maîtriser la situation, les riverains assiègèrent l’établissement pour l’incendier. Quelques clients et des gérants qui sont restés “piégés” à l’intérieur ont tiré des coups de sommation pour faire peur à leurs “adversaires”.
“Une fois que l’établissement a été vidé de ses “hôtes”, les riverains ont mis le feu au premier étage et ont saccagé cinq véhicules qui se trouvaient au rez-de-chaussée de l’immeuble.
La colère des citoyens ne s’est pas arrêtée à ce stade, puisqu’ils ont sur le champ barricadé la route menant vers Azazga.
Arrivées, aux environs de 8h, les forces de sécurité ont ouvert une enquête sur cette affaire et ont conduit les blessés à l’hôpital d’Azazga.
Les sources locales nous apprennent que les habitants de l’amont Tirsatine se sont toujours plaints de ce bar.
L’altercation des clients qui s’est produite n’était que la goutte qui a fait déborder le vase, rapporte nos sources.
Il est à signaler que jusqu’à présent aucune personne n’a été appréhendée par la police.
Quatre blessés sont à déplorer, dont un gravement touché au niveau de la tête, annonce la Protection civile.
L’origine de ce drame a commencé par une altercation provoquée, vers 22h, à l’intérieur de cet établissement par certains clients, probablement, en état d’ébrieté.
La bagarre s’est propagée à l’extérieur, et les bagarreurs ont commencé à échanger, à haute voix, des obscénités et des jets de pierres. Le vacarme et la projection des projectiles, qui a trop duré, a fini par réveiller, les propriétaires des maisons avoisinantes, qui se sont mêlés pour disperser la foule…
Peine perdue, puisque l’affrontement a pris plus d’ampleur, lorsque les locataires ont fait appel à leurs proches et mobilisèrent le village.
Selon la police, les hostilités entre ces villageois et les gérants a duré jusqu’à 1h.
Après avoir pu maîtriser la situation, les riverains assiègèrent l’établissement pour l’incendier. Quelques clients et des gérants qui sont restés “piégés” à l’intérieur ont tiré des coups de sommation pour faire peur à leurs “adversaires”.
“Une fois que l’établissement a été vidé de ses “hôtes”, les riverains ont mis le feu au premier étage et ont saccagé cinq véhicules qui se trouvaient au rez-de-chaussée de l’immeuble.
La colère des citoyens ne s’est pas arrêtée à ce stade, puisqu’ils ont sur le champ barricadé la route menant vers Azazga.
Arrivées, aux environs de 8h, les forces de sécurité ont ouvert une enquête sur cette affaire et ont conduit les blessés à l’hôpital d’Azazga.
Les sources locales nous apprennent que les habitants de l’amont Tirsatine se sont toujours plaints de ce bar.
L’altercation des clients qui s’est produite n’était que la goutte qui a fait déborder le vase, rapporte nos sources.
Il est à signaler que jusqu’à présent aucune personne n’a été appréhendée par la police.
Drôle de situation ou la population se prend en main face à la prolifération des bars sauvages en kabylie qui sont devenues le repéres de voyous venues des 4 coins du pays. Ces lieus sont devenues aussi, des lieus de débauches.
L'abscence des forces de l'ordre durant ces 4 dernierres années à aggravé le probléme.
La question qui se pose a -t-on le droit de se substituer aux forces de l'ordre ?
D'autre part, je commprend le désaroi de la population qui a peur pour leurs familles, face à ces nids de delinquence qui se trouvent aux bas de ces eux.
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