PARIS, 27 août - RIA Novosti. Le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner n'a pas peur d'une nouvelle "guerre froide", si elle ne provoque pas de véritable conflit militaire, a affirmé mardi à Paris le ministre français des Affaires étrangères sur France 2.
"Si elle n'est que froide, ce n'est pas grave. On a peur d'une guerre et on n'en veut pas. Qu'elle soit chaude, on n'en veut pas", a poursuivi M. Kouchner, commentant les paroles du président russe Dmitri Medvedev.
Mardi, 26 août, M. Medvedev a noté que la Russie n'avait pas peur d'une "guerre froide", ajoutant que l'Occident doit comprendre les raisons qui ont poussé Moscou à reconnaître l'indépendance de l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud, s'il souhaite conserver de bonnes relations avec la Russie.
Plus tôt, Dmitri Medvedev avait signé des décrets sur la reconnaissance de l'indépendance de ces républiques autoproclamées. La France, assurant actuellement la présidence tournante de l'UE, avait jugé "regrettable" cette décision de Moscou.
"Si elle n'est que froide, ce n'est pas grave. On a peur d'une guerre et on n'en veut pas. Qu'elle soit chaude, on n'en veut pas", a poursuivi M. Kouchner, commentant les paroles du président russe Dmitri Medvedev.
Mardi, 26 août, M. Medvedev a noté que la Russie n'avait pas peur d'une "guerre froide", ajoutant que l'Occident doit comprendre les raisons qui ont poussé Moscou à reconnaître l'indépendance de l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud, s'il souhaite conserver de bonnes relations avec la Russie.
Plus tôt, Dmitri Medvedev avait signé des décrets sur la reconnaissance de l'indépendance de ces républiques autoproclamées. La France, assurant actuellement la présidence tournante de l'UE, avait jugé "regrettable" cette décision de Moscou.
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