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De plus en plus de jeunes algériens s'adonnent à la plongée sous-marine à l'effet de découvrir la splendeur du monde inconnu des fonds marins. La plongée qui fut, il y a quelques années, l'apanage des professionnels, s'ouvre désormais à tous les férus de la mer qui souhaitent découvrir l'autre face de la mer et apprécier ses secrets extraordinaires.
Une quarantaine de clubs spécialisés et agrées au niveau national proposent des entraînements, selon la Fédération algérienne algérienne de sauvetage, de secourisme et des activités subaquatiques (FASSAS). "L'Espadon" compte parmi les plus anciens clubs à Alger qui s'est spécialisé dans la plongée sous-marine à la fin des années 1970.
Pour atteindre ce club situé au large de la mer (port d'Alger), une barque est destinée à transporter en quelques minutes les candidats et autres habitués du club.
Filets de pêche accrochés aux murs, poissons empaillés, étoiles de mer colorées et coquillages de différentes taille constituent les principaux éléments de décor de cet espace d'entraînement donnant sur la mer.
Le gérant de l'Espadon, M. Sidali Gherbi, a affirmé dans un entretien à l'APS,que son club assure la formation de plus de 40 plongeurs de différents niveaux d'autant que cette activité intéresse diverses catégories sociales.
Un groupe peut réunir des candidats âgés de 14 à 60 ans pour peu qu'ils soient en bonne santé et qu'ils ne présentent aucune contre-indication médicale, a-t-il ajouté. Au cours de leurs premières tentations de plongée, les stagiaires souvent pris de peur, deviennent l'espace de quelques moments les vedettes de scènes dignes de gags. Certains d'entre eux s'accrochent au moniteur et les moins téméraires finissent par renoncer à l'aventure.
En parfaits professionnels, les moniteurs tentent de maîtriser la situation en rassurant les stagiaires auxquels ils font gagner confiance.
C'est un loisir, un sport qui ne manque pas de risque et la peu est un sentiment légitime même quand il s'agit des plongeurs les mieux entraînés, a affirmé M. Gherbi ajoutant que ce sentiment est vite dépassé et oublié une fois que le candidat aura découvert les merveilles du fonds marins.
Mohamed. compte parmi les jeunes qui ont choisi ce sport. Il suit un stage dans ce domaine avec un cousin venu du Canada et qui se livre l'espace d'un congé annule à ce loisir.
Je ne connaissais pas l'existence de tels clubs en Algérie et je croyais que cette discipline se limitait aux professionnels, livre-t-il".
Pour ce natif d'une ville côtière, la plongée est une expérience très enrichissante en ce sens, dit-il, qu'elle vous permet de découvrir les mystères d'un règne totalement inconnu.
Par APS
Une quarantaine de clubs spécialisés et agrées au niveau national proposent des entraînements, selon la Fédération algérienne algérienne de sauvetage, de secourisme et des activités subaquatiques (FASSAS). "L'Espadon" compte parmi les plus anciens clubs à Alger qui s'est spécialisé dans la plongée sous-marine à la fin des années 1970.
Pour atteindre ce club situé au large de la mer (port d'Alger), une barque est destinée à transporter en quelques minutes les candidats et autres habitués du club.
Filets de pêche accrochés aux murs, poissons empaillés, étoiles de mer colorées et coquillages de différentes taille constituent les principaux éléments de décor de cet espace d'entraînement donnant sur la mer.
Le gérant de l'Espadon, M. Sidali Gherbi, a affirmé dans un entretien à l'APS,que son club assure la formation de plus de 40 plongeurs de différents niveaux d'autant que cette activité intéresse diverses catégories sociales.
Un groupe peut réunir des candidats âgés de 14 à 60 ans pour peu qu'ils soient en bonne santé et qu'ils ne présentent aucune contre-indication médicale, a-t-il ajouté. Au cours de leurs premières tentations de plongée, les stagiaires souvent pris de peur, deviennent l'espace de quelques moments les vedettes de scènes dignes de gags. Certains d'entre eux s'accrochent au moniteur et les moins téméraires finissent par renoncer à l'aventure.
En parfaits professionnels, les moniteurs tentent de maîtriser la situation en rassurant les stagiaires auxquels ils font gagner confiance.
C'est un loisir, un sport qui ne manque pas de risque et la peu est un sentiment légitime même quand il s'agit des plongeurs les mieux entraînés, a affirmé M. Gherbi ajoutant que ce sentiment est vite dépassé et oublié une fois que le candidat aura découvert les merveilles du fonds marins.
Mohamed. compte parmi les jeunes qui ont choisi ce sport. Il suit un stage dans ce domaine avec un cousin venu du Canada et qui se livre l'espace d'un congé annule à ce loisir.
Je ne connaissais pas l'existence de tels clubs en Algérie et je croyais que cette discipline se limitait aux professionnels, livre-t-il".
Pour ce natif d'une ville côtière, la plongée est une expérience très enrichissante en ce sens, dit-il, qu'elle vous permet de découvrir les mystères d'un règne totalement inconnu.
Par APS