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La préfecture de Gironde a lancé, mardi 26 août, un appel à la vigilance du fait de la présence de méduses potentiellement dangereuses sur le littoral.
Cette mesure fait suite "à l'hospitalisation, lundi au centre hospitalier d'Arcachon, de huit baigneurs victimes de brûlures cutanées et de malaises résultant d'un contact avec des méduses", a indiqué la préfecture dans un communiqué. Les blessés ont pu sortir de l'hôpital quelques heures après leur admission.
L'espèce présente sur le littoral girondin a été identifiée par l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer) d'Arcachon comme étant la physalia physalis. Cette méduse, surnommée "le guerrier portugais", est reconnaissable à sa couleur bleutée lorsqu'elle est immergée et est dotée de très longs filaments pouvant atteindre plusieurs mètres. Le contact avec cet animal provoque des lésions cutanées urticantes très douloureuses.
Les "guerriers portugais" auraient été poussés, depuis le printemps, vers le nord par les vents dominants, selon le site de Libération à Bordeaux. Une reconnaissance aérienne effectuée par un hélicoptère de la gendarmerie a confirmé leur présence en grappes d'une trentaine de spécimens, à 500 m de la côte à hauteur de Soulac, Hourtin, Carcans, du Cap-Ferret et des passes sud du bassin d'Arcachon. Entre cinq et dix d'entre eux seraient passées à l'intérieur du bassin.
Par le Monde
Cette mesure fait suite "à l'hospitalisation, lundi au centre hospitalier d'Arcachon, de huit baigneurs victimes de brûlures cutanées et de malaises résultant d'un contact avec des méduses", a indiqué la préfecture dans un communiqué. Les blessés ont pu sortir de l'hôpital quelques heures après leur admission.
L'espèce présente sur le littoral girondin a été identifiée par l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer) d'Arcachon comme étant la physalia physalis. Cette méduse, surnommée "le guerrier portugais", est reconnaissable à sa couleur bleutée lorsqu'elle est immergée et est dotée de très longs filaments pouvant atteindre plusieurs mètres. Le contact avec cet animal provoque des lésions cutanées urticantes très douloureuses.
Les "guerriers portugais" auraient été poussés, depuis le printemps, vers le nord par les vents dominants, selon le site de Libération à Bordeaux. Une reconnaissance aérienne effectuée par un hélicoptère de la gendarmerie a confirmé leur présence en grappes d'une trentaine de spécimens, à 500 m de la côte à hauteur de Soulac, Hourtin, Carcans, du Cap-Ferret et des passes sud du bassin d'Arcachon. Entre cinq et dix d'entre eux seraient passées à l'intérieur du bassin.
Par le Monde
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