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Le gouverneur d'Alaska Sarah Palin colistière de McCain

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  • Le gouverneur d'Alaska Sarah Palin colistière de McCain

    DAYTON (Etats-Unis) - Le gouverneur d'Alaska Sarah Palin, 44 ans, a été choisie vendredi par le candidat républicain John McCain pour être sa colistière à la Maison Blanche, a confirmé à l'AFP un responsable de l'équipe de campagne de M. McCain.

    (©AFP / 29 août 2008 16h51)

    il marque un bon coup la
    Dernière modification par nacer-eddine06, 29 août 2008, 16h03.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Sarah Palin (née en 1964), est une femme politique américaine, membre du Parti républicain, maire de Wasilla, Alaska de 1996 à 2002 et plus jeune gouverneur élue de l'Alaska depuis le 4 décembre 2006. Le 29 août 2008, les médias américains annoncent que John McCain, candidat républicain à l'élection présidentielle, l'a choisie pour colistière[1] et candidate au poste de vice-président des États-Unis. Elle devient alors la seconde femme après Geraldine Ferraro en 2004 à être candidate à la vice-présidence et serait la première vice-présidente si John McCain était élu.





    Biographie [modifier]

    Sarah Palin quitte l'université de l'Idaho avec un diplôme en journalisme. En 1996, elle est élue maire de de la ville de Wasilla en Alaska. Au cours de son mandat qui dure jusqu'en 2002, elle devient présidente de l'association des maires d'Alaska. En 2002, Palin se présente comme candidate républicaine au poste de lieutenant-gouverneur mais elle est battue de justesse par Loren Leman (27% contre 29%).

    Quand le gouverneur élu Frank Murkowski abandonne son siège de sénateur au Congrès des États-Unis, Palin est un temps considérée comme la candidate naturelle pour reprendre ce poste mais le nouveau gouverneur lui préfère sa propre fille, Lisa Murkowski. En 2003, Frank Murkowski lui offre un poste à la commission des réserves gazières et pétrolières de l'Alaska, dont elle démissionne en 2004 pour protester contre le manque d'éthique des chefs républicains de l'Alaska, et notamment le président Randy Ruedrich, également membre de la commission.

    Lors des primaires républicaines pour l'élection du gouverneur en 2006, elle parvient à imposer sa candidature face à plusieurs candidat dont Frank Murkowski, le gouverneur sortant. Elle remporte 51% des suffrages contre 30% pour John Binkley et 19% pour l'ancien gouverneur. Considérée comme une républicaine conservatrice, pro-life (hostile à l'avortement), membre de la National Rifle Association, partisane de la construction d'un pipeline pour transporter le gaz naturel à travers l'Alaska, elle focalise sa campagne électorale lors des élections pour le poste de gouverneur sur les problèmes de transports, d'éducation et de sécurité publique.

    Le 7 novembre 2006, elle est élue gouverneur républicaine de l'Alaska avec 49% des voix contre 41% au démocrate Tony Knowles, ancien gouverneur, et 10% au candidat indépendant, Andrew Halcro. Son colistier, élu au poste de lieutenant-gouverneur est Sean Parnell.

    Mariée, elle a cinq enfants.

    A la surprise générale, elle est choisie comme colistière de John McCain le 29 Aout 2008 .

    Dernière modification par nacer-eddine06, 29 août 2008, 16h59.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

    Commentaire


    • #3
      Portrait: Joe Biden, colistier d'Obama à la conquête du pouvoir

      C'est bien c'est vrai, un bon point pour lui
      mais qu'est ce que tu penses de Bidon le colistier d'Obama??
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      DENVER (Etats-Unis), 27 août (Xinhua) -- Le sénateur du Delaware Joe Biden a été officiellement désigné mercredi soir candidat à la vice-présidence lors de la convention nationale du parti démocrate à Denver.

      Né le 20 novembre 1942 à Scranton, en Pennsylvanie, M. Biden est né dans une famille catholique de quatre enfants. A l'âge de 10 ans, il a déménagé avec sa famille à New Castle, au Delaware, où son père a travaillé comme vendeur de voitures.

      Il est diplômé en droit de l'université de Syracuse.

      M. Biden, politiquement engagé comme indépendant en 1970, a été encouragé à disputer le conseil de New Castle en tant que candidat démocrate. Deux ans après, il a été élu sénateur à l'âge de 29 ans, ce qui a fait de lui le plus jeune sénateur du pays.

      Il en est actuellement à son sixième mandat au Sénat et assure depuis plusieurs années la présidence de la Commission judiciaire et celle de la Commission des relations étrangères du Sénat.

      Malgré son importante influence dans la branche législative, M. Biden a échoué deux fois dans la course à la Maison Blanche.

      Sa campagne pour devenir candidat démocrate à la Maison Blanche en 1987 a dû s'interrompre après qu'il eut été accusé d'avoir copié le discours d'un homme politique britannique. Il envisageait de reprendre la course quatre ans plus tard, mais il s'est trouvé devant l'impossibilité de collecter des fonds suffisants.

      Lors des primaires démocrates de 2008, M. Biden fut l'un des premiers à abandonner la course faute de soutien.

      Il a depuis été cité comme colistier potentiel de Barak Obama en raison de sa riche expérience dans les affaires étrangrères et de la défense pour compléter les faiblesses de M. Obama dans ces domaines.

      Issu d'une famille d'ouvriers, M. Biden peut également aider le candidat démocrate à obtenir plus de votes des cols bleus.

      Biden est connu pour son malheur personel. Juste un mois avant son investiture au Congrès, son ancienne épouse et sa fille de 13 ans ont été tuées, et ses deux fils grièvement blessés lors d'un accident de route.

      Durant cette période difficile, il a voulu démissionner de ses fonctions au Sénat pour s'occuper de ses enfants, mais a été finalement persuadé de rester. En janvier 1973, il a pris ses fonctions dans une chambre de l'hôpital où l'un de ses fils recevait les soins médicaux.
      Cinq ans plus tard, il s'est marié à son deuxième épouse Jill, avec qui il a une fille. Jusqu'à présent, il fait la navette quotidienne entre sa résidence au Delaware et Washington.

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      • #4
        Ces élections présidentielles au USA présentent un semblant changement dans l´apparence par rapport aux élections précédentes, mais dans le fond rien ne changera avec les deux candidats.

        L´un des deux candidats est comme s´il n´existe pas ( Mccain ou makayen en arabe) puisque ses collegues neo-cons avec Bush ont imprégné la politique neoconservatrice des républicains pour que le Bushisme restera vivant pour une longue période, et en plus avec une colistière pâle (Sarah Palin) ca ne changera pas grand chose coté républicain.

        L´autre même avec sa soit-disant Baraka de ses grands-parents (Oba et Oma), il n´est pas encore sure d´être élu, et même s´il seras élu, il perdra sa Baraka avec un colistier bidon!


        Bref la meilleur alternative a mon avie est ce que G.W.Bush prenne le modèle chez certains présidents en fonction dans ce monde (suivez mon regard :-)) et procéder immédiatement par un changement de la constituion pour continuer encore un 3eme mandat. Le monde s´est habitué avec les conneries des néo-con et c´est pas la peine de les substituer avec d´autre conneries des bidons et pales qui pretendent une baraka qui n´existe pas.

        Commentaire


        • #5
          Les contradictions de Joe Biden colistier d obama

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          Obama a choisi pour colistier le sénateur Joe Biden. Catholique, mais pro-avortement, celui-ci s’est distingué par son soutien au gouvernement de Bush lors de la guerre en Irak, même s’il fut l’une des critiques les plus virulentes après coup. Connu pour son franc-parler, il est, pour de nombreux bloggeurs démocrates, un moindre mal :

          “Tant pis pour le changement…Biden est sénateur depuis 36 ans, il a été élu en 1972, quand Barack Obama avait 11 ans, ce qui fait de lui, pour le meilleur comme pour le pire, un habitué de Washington. Obama avait besoin de quelqu’un qui renforcerait l’idée de changement tout en amenant de l’expérience. Il n’a pas pu trouver une personne qui réunirait ces deux critères alors il a du en sacrifier un.”

          Joe Biden, une sacrée faconde ? Quelques extraits :

          - Barack Obama “est le premier Afro-Américain consensuel qui s’exprime bien, qui soit brillant, propre sur lui et beau garçon”, dit le sénateur au début de la course à l’investiture démocrate. On devine la gêne. Faudrait-il comprendre qu’avant Obama, il n’y avait que des Afro-Américain sale, moche et peu éduqués ?

          - “Si les démocrates pensent que nous pouvons nommer un candidat pouvant gagner (l’élection présidentielle) sans que cette personne ne soit blindée en ce qui concerne la sécurité nationale et la politique étrangère, je crois qu’ils commettent une erreur tragique”. Obama est néanmoins sur le point d’être élu.

          - “Je pense qu’il peut être prêt (à être président) mais je ne pense pas qu’il le soit maintenant. La présidence n’est pas quelque chose qui s’apprend sur le tas”. Il parle d’Obama, bien sûr.

          - “John McCain (le candidat républicain) est un ami personnel, un grand ami, et je serais honoré de me présenter contre lui ou avec lui (pour la présidence), le pays n’en serait que mieux servi”. Il paraît que les Républicains ont déjà repris la phrase dans un spot publicitaire…Dans le genre, “Biden, notre grand ami…”

          Bref, avec des amis pareils, plus besoin d’ennemis…Les petites phrases ne font pas tout. Mais il n’a pas peur des contradictions. Déjà, la contradiction de ces idées “catholiques” et pro-avortement ne présageait rien de bon.

          j en pense pas moins que cet article

          C'est bien c'est vrai, un bon point pour lui
          mais qu'est ce que tu penses de Bidon le colistier d'Obama??
          lapsus revelateur
          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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          • #6
            ha ha ha
            C'est que j'ai suivi son discours hier et j'ai pas remarqué c phrases, vraiment on n'entend que ce qu'on veut


            MICHEL GERSON
            "Le discours de Joe Biden fut également efficace, au moins au début. Son histoire personnelle est émouvante, c’est celle du combat de la classe ouvrière, qui se fait démolir, se relève et va casser la figure à la petite brute qui l’a tabassée. Cette histoire touche une frange de la population qu’Obama, le cérébral, a du mal à atteindre. Et le récit de sa propre histoire mène en douceur au discours économique en faveur de la classe moyenne. Cette première moitié du discours de Biden, spectacle irrésistible mais prononcé avec sincérité, a laissé peu de temps aux applaudissements.

            Mais, dans la partie de son discours consacrée à la politique étrangère, Joe Biden s’est soudain mis au niveau des États-Unis d’Amérique, il est devenu plus pompeux que sincère. Et il a tenté une manœuvre très délicate : attaquer son ami John McCain sur le terrain de la politique étrangère. Il fut peu convaincant. Le jugement de John McCain sur les grandes questions – critiquer la manière dont Donald Rumsfeld a initialement géré la guerre en Irak, et soutenir le renforcement des troupes en Irak (auquel Obama était opposé) – paraît aujourd’hui plutôt bon. Très peu d'Américains voteront Obama parce qu’ils pensent qu’il saura gérer une crise comme celle de la Géorgie mieux que McCain."


            MICHEAL WALDMAN
            "Joe Biden a fait un bon discours, mais rien d’exceptionnel. Il est meilleur quand il est plus humain, quand il fait dans le sentimentalisme, comme on dit à Scranton. Les histoires de famille, les valeurs léguées par les parents, la notion selon laquelle le travail apporte la dignité et pas seulement un salaire, tout cela dit en toute franchise et de manière assez émouvante. Nul ne doute que lorsque Joe Biden y va fort, il croit chaque mot qu’il dit. (Lorsqu’il raconte l’histoire de sa mère lui disant de casser la figure à ceux qui le cherchent, on pouvait voir sa mère sur l’écran en train de dire à son voisin assis à côté d’elle, "C’est vrai ! ") Il sera un candidat très persuasif, qui sera drôle à voir.

            La partie concernant la politique fut un peu plus… sénatoriale. Les propos de Biden concernant la politique étrangère étaient passionnés, et impressionnants. Il n’a, en revanche, fait que survoler les problèmes de politique intérieure. Il a voulu attaquer McCain (ce que Liberman et Edwards n’avaient pas osé faire contre George W. Bush). Mais la longue liste de sujets sur lesquels "John McCain avait tort et Barack Obama avait raison" ne constitue pas une analyse inoubliable. La métaphore qu’il ne cesse de répéter, qui se base sur l’avertissement que lui a donné son père, selon laquelle le pays a besoin de se relever lorsqu’il est à terre, a eu de l’effet, mais elle ne constitue pas une théorie expliquant où en est le pays économiquement, et ce que l’État peut faire dans cette situation."

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