Le secrétaire général du Font de libération nationale (FLN) a osé avant-hier l'infranchissable indiquant que «si le Président n’est pas convaincu pour briguer un autre mandat, nous le convaincrons».
Abdelaziz Belkhadem qui s'exprimait lors d’une conférence de presse, tenue tard dans la journée d’avant-hier, à l’occasion de la clôture de l’université d’été du FLN à Blida, semble jouer le tout pour le tout. Il annonce, une nouvelle fois, l’imminence de la révision de la Constitution qui devrait intervenir, selon lui, dès la prochaine rentrée parlementaire.
Sur la manière dont devrait intervenir cette révision, le secrétaire général du FLN rappelle que la voie référendaire s’avérerait nécessaire si les amendements concernent l’équilibre des instances décisionnelles. Dans le cas contraire, ce sera la voie parlementaire qui sera privilégiée. Il reste que «c’est au Président, et à lui seul d’en décider», relève-t-il.
Belkhadem n'hésite pas à fabuler : «C’est un appel de l’Algérie profonde et comme vous l’avez constaté, ce sont les militants du FLN qui viennent de réitérer leur volonté de voir le président de la République procéder à cette révision qui lui permettra de briguer un 3e mandat», a-t-il indiqué.
Et pour lever le voile sur les incertitudes quant à la volonté du Président de procéder à la révision de la Constitution pour postuler à un autre mandat, Belkhadem assure que la révision aura bel et bien lieu et que «le FLN tient toujours ses promesses et va relever le défi», indiquant que «si le Président n’est pas convaincu pour briguer un autre mandat, nous le convaincrons».
Et pour justifier le report, à plusieurs reprises du conseil national de son parti, Abdelaziz Belkhadem a avancé l’argument financier. «Dans un souci relatif aux dépenses que peut engendrer la tenue de deux réunions, nous avons décidé de faire coïncider la tenue du conseil national avec celle du congrès extraordinaire pour adresser un appel officiel à Bouteflika pour postuler à un 3e mandat», a-t-il affirmé en précisant que ces deux événements auront lieu «dès l’annonce de la révision de la Constitution».
L. M. (Sce : J.I.)
Abdelaziz Belkhadem qui s'exprimait lors d’une conférence de presse, tenue tard dans la journée d’avant-hier, à l’occasion de la clôture de l’université d’été du FLN à Blida, semble jouer le tout pour le tout. Il annonce, une nouvelle fois, l’imminence de la révision de la Constitution qui devrait intervenir, selon lui, dès la prochaine rentrée parlementaire.
Sur la manière dont devrait intervenir cette révision, le secrétaire général du FLN rappelle que la voie référendaire s’avérerait nécessaire si les amendements concernent l’équilibre des instances décisionnelles. Dans le cas contraire, ce sera la voie parlementaire qui sera privilégiée. Il reste que «c’est au Président, et à lui seul d’en décider», relève-t-il.
Belkhadem n'hésite pas à fabuler : «C’est un appel de l’Algérie profonde et comme vous l’avez constaté, ce sont les militants du FLN qui viennent de réitérer leur volonté de voir le président de la République procéder à cette révision qui lui permettra de briguer un 3e mandat», a-t-il indiqué.
Et pour lever le voile sur les incertitudes quant à la volonté du Président de procéder à la révision de la Constitution pour postuler à un autre mandat, Belkhadem assure que la révision aura bel et bien lieu et que «le FLN tient toujours ses promesses et va relever le défi», indiquant que «si le Président n’est pas convaincu pour briguer un autre mandat, nous le convaincrons».
Et pour justifier le report, à plusieurs reprises du conseil national de son parti, Abdelaziz Belkhadem a avancé l’argument financier. «Dans un souci relatif aux dépenses que peut engendrer la tenue de deux réunions, nous avons décidé de faire coïncider la tenue du conseil national avec celle du congrès extraordinaire pour adresser un appel officiel à Bouteflika pour postuler à un 3e mandat», a-t-il affirmé en précisant que ces deux événements auront lieu «dès l’annonce de la révision de la Constitution».
L. M. (Sce : J.I.)
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