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Editoriaux de Nadia Salah et le Maroc qui bouge

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  • Editoriaux de Nadia Salah et le Maroc qui bouge

    Je l’aime bien Nadia Salah et j’irais même jusqu’à dire que je trouve ses éditoriaux économiques assez censés. Aussi quelle a été ma surprise quand j’ai lu sa déclaration au journal Le Monde : “Jamais, depuis trente ans, je n’ai vu le Maroc courir à une telle vitesse!”

    Non pas parce que je suis habité par une pulsion nihiliste. Mais parce que je suis un lecteur régulier de Madame Salah et il se trouve que sa déclaration au quotidien du soir français n’a rien à avoir à ce qu’elle n’a cessé d’écrire sur la première colonne de son quotidien. Schizophrénie quand tu nous tienne. Voici des morceaux choisis tous vérifiables sur les archives de l’Economiste et je vous laisse juge !

    -Il y a presque deux mois, le 12/06/2008 , dans un édito intitulé « Au feu! » Madame Salah est à deux doigts de décréter l’apocalypse économique :
    Au feu!
    La balance courante est redevenue déficitaire. La nouvelle est grave, très grave.
    Pendant des années, il y avait assez d’excédents de la balance des services pour combler le trou du commerce extérieur. Autrement dit, le tourisme, les investissements étrangers et les envois des expatriés (et où figurent sans doute les recettes du kif!) étaient suffisants pour que le Maroc se paye ce qu’il lui fallait comme pétrole, blé, machines… Et, soulignons-le, c’est cet excédent qui a permis au pays de commencer à vivre comme une nation presque normale, c’est-à-dire gagnant collectivement assez de devises pour permettre un réel assouplissement des échanges, condition première pour avoir des chances de survie dans un monde globalisé.
    (….)Et c’est bien à cause de cela que la situation s’est à ce point dégradée. Maintenant, il y a le feu à la maison..
    - Il y a trois mois, le 15/05/2008, c’est un bilan dur et sans concession que dresse madame Salah au gouvernement marocain . Elle dit :
    Peu d’engagements ou de plannings clairs sur les gains de parts de croissance, sur une compétitivité à stimuler.
    Il y a certes quelques chantiers ambitieux de modernisation à suivre de près comme pour l’Agriculture. Pour le reste, circulez, il n’y a rien à voir! Ou du moins très peu. Le tourisme continue de surfer sur le bilan Douiri. Et encore osons espérer que les délais soient respectés! Les finances publiques bruissent quelques signaux d’inquiétude, l’Energie, n’en parlons pas, c’est un plan d’urgence dans l’urgence.
    - Le 25/06/2008, il ya deux mois donc, elle fait un constat catastrophique du pouvoir décisionnaire marocain. Elle dit :
    On a re-concentré ces dix dernières années les pouvoirs d’ukases politiques chez les fonctionnaires des Finances alors qu’on avait mis quinze ans à rendre fluides les décisions budgétaires… Où que l’on se tourne, c’est partout ce paysage décisionnaire dépassé et hypercentralisé.
    - Une semaine avant, le 20/06/2008, c’est un réquisitoire digne des plus sévères des procureurs qui est prononcé contre le « Maroc qui perd ». Elle dit :
    Depuis 1996, chaque année, le Maroc a perdu une part de sa place, déjà bien réduite, dans le commerce mondial. Au bout de douze ans, la perte est devenue considérable. Le plus grave dans cette affaire, c’est que cette perte se compte directement en pertes d’emplois: en effet, quand on a un commerce déficitaire, cela signifie ipso facto que l’on exporte des emplois (…)l’économie marocaine est restée en deçà de ces opportunités comme si elle n’avait pas osé saisir la chance qui se présentait.
    Au cours de ces dix dernières années, le Maroc a conduit deux politiques économiques en complète contradiction l’une avec l’autre. D’un côté, il a multiplié les accords de libre-échange sans s’occuper de la compétitivité des entreprises, tandis que de l’autre, il a poussé son économie vers la consommation avec des subventions massives, des déficits budgétaires et un taux de change surévalué. Le résultat est simple: la consommation locale a soutenu les productions étrangères… Le Maroc est donc entré dans la phase la plus dangereuse: il a commencé à pomper ses réserves pour continuer à s’approvisionner.
    -
    Le 02/05/2008 , elle résume la situation du pays au lendemain de la fête du travail :
    Jamais la conjoncture n’a été aussi mauvaise: hausse des prix, deux incendies qui montrent le peu d’intérêt que l’on porte à la sécurité au travail, et des semaines de dialogue social où les syndicats ont largement tenu le devant de la scène médiatique.
    Tous ces problèmes demeurent, mal exprimés, mal conceptualisés, donc mal portés et mal pris en charge. C’est le terreau idéal pour les poussées de violences, sans but autre que de taper et casser… Poussées de violences que les forces de l’ordre devront réprimer en tapant et cassant aussi.
    - Le 14/02/2008 dans un édito intitulé « Indignité » elle dresse un constat d’échec et dénonce les indignes conditions de vie de millions de Marocains. Elle dit :
    Parmi les écoles rurales, 63% n’ont pas d’électricité: que veut dire le programme d’initiation aux nouvelles technologies de l’information que nos ministres, dûment accompagnés de caméras, inaugurent régulièrement?! Comment les ministres de l’Education nationale ont-ils pu avoir l’indignité de ces mascarades quand ils savaient parfaitement que deux écoles sur trois n’ont pas d’électricité!
    Malheureusement, ce n’est pas le pire. 76% des écoles rurales n’ont pas l’eau potable et, tenez-vous bien, 81% n’ont pas de sanitaire.
    - Le 05/02/2008, Madame Salah se fende d’un édito intitulé : « Echec à 99,3% »
    A Ifrane, seulement 0,7% des enfants qui finissent leur première année d’école primaire ont réellement acquis le niveau qu’ils doivent avoir. Autant dire personne! A ce stade d’échec, ce ne sont pas les enfants ou leurs parents qui sont en cause. C’est bien l’école elle-même et son corps d’enseignants qui sont responsables d’un tel naufrage. Et pour parler en termes de système éducatif, inutile de se cacher derrière son petit doigt : inutile de mettre sur le compte des jeunes et de leur famille ce qui est de l’unique responsabilité du ministère et donc des gouvernements qui se sont succédé jusqu’ici.
    Ainsi, partout, dans le Royaume, la majorité de ces recrutés politiques vont scrupuleusement reproduire le syndrome d’Ifrane, c’est-à-dire un taux d’échec à 99,3%!
    - Le 31/01/2008 , madame Salah prend l’Algérie et la Tunisie à témoin :

    Pour une même classe d’âge, l’Algérie a deux fois plus de jeunes dans ses universités et ses grandes écoles que n’en a le Maroc. Et, proportionnellement, la «petite» Tunisie, elle, en a trois fois plus!
    Qui des trois pays du Maghreb a le plus de chance face à la complexité de la globalisation ? Qui en a le moins?
    Pas la peine de faire un dessin…
    Quand le Maroc a fêté son cinquantenaire, il aurait dû faire une mention spéciale pour ses cinquante années de totale incompétence en matière d’éducation. Cinquante ans de politique et de polémiques. Cinquante ans de réformes et de réajustement… Cinquante ans de commissions nationales ou royales, de colloques et d’autres Cosef… pour finir bon dernier, très loin derrière les autres pays de la classe Maghreb qui n’est pourtant pas brillante!
    - Le 17/1/2008, c’était son premier édito de l’année 2008, Madame Salah présente ses vœux à ses lecteurs en titrant sa colonne : « Désespérant! »

    Comparons un peu. En Algérie, 24% des jeunes entre 19 et 23 ans, l’âge de l’enseignement supérieur, sont à l’école; en Tunisie, ils sont 36%. Et au Maroc? Ils ne sont que 12%, la moitié moins qu’en Algérie, le tiers de ce qui existe en Tunisie!
    Ceci veut dire que le Maroc est trois fois moins bien équipé que son principal concurrent, la Tunisie, pour faire son profit de la globalisation et de la compétition sur les compétences. Le Maroc est deux fois moins bien pourvu que l’Algérie, un pays qui a assez de pétrole et de gaz pour se moquer de son niveau de compétitivité mondiale.
    A la lecture de la déclaration de la rédactrice en chef de l’Economiste au journal le Monde et ses éditos publiés depuis le début de cette année, je me permets de lui poser une question, une toute petite question : Madame Salah quand vous trompez-vous ? Hier ou aujourd’hui ? Sur les colonnes du Monde ou sur les colonnes de l’Economiste ?

  • #2
    A la lecture de la déclaration de la rédactrice en chef de l’Economiste au journal le Monde et ses éditos publiés depuis le début de cette année, je me permets de lui poser une question, une toute petite question : Madame Salah quand vous trompez-vous ? Hier ou aujourd’hui ? Sur les colonnes du Monde ou sur les colonnes de l’Economiste ?

    C'est simple il suffit de lui écrire un mail,je pense qu'il y' a le lien sur le site de l'économiste je ne sait pas si elle lira ta bouteille lancée a la mer sur FA,d'autre part je ne prends pas le journal l'économiste au sérieux,des articles a l'emporte pièce, l'économiste prêche pour le changement au maroc alors qu'ils doivent commencer par faire le changement chez eux,un site web obsolète qui utilise des technos vielles de 10 ans,et des articles pas très élaborés

    Le fait que nadia salah dise que le maroc va mal ne veut pas dire que le maroc aille mal,le fait que l'économiste n'est pas sérieux ne veut pas dire que la presse marocaine n'est pas sérieuse,le fait que nadia salah ait des contradictions dans ses articles ne veut pas dire qu'au maroc on cherche a cacher les vérités bonne ou mauvaise,cela veut dire tout simplement que nadia salah se trompe pas plus que ça.

    Tous les chiffres sur l'état économique et social du maroc sont publiques,c'est l'interprétation qui compte on peut interpréter un déficit commercial aigu comme une faiblesse du tissu productif marocain comme on peut l'interpréter comme un besoin de s'équiper,etc etc .....

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    • #3
      d'autre part je ne prends pas le journal l'économiste au sérieux l'économiste prêche pour le changement au maroc alors qu'ils doivent commencer par faire le changement chez eux,un site web obsolète qui utilise des technos vielles de 10 ans,et des articles pas très élaborés
      tu sais ce que tu es en train de dire?
      l economiste n est pas serieux seulement à cause de sa forme presentatrice sur le web? ou parcque tu es contre le changement?


      Tous les chiffres sur l'état économique et social du maroc sont publiques,c'est l'interprétation qui compte on peut interpréter un déficit commercial aigu comme une faiblesse du tissu productif marocain comme on peut l'interpréter comme un besoin de s'équiper,etc etc .....
      donnes ns alors ton interpretation à toi, puisque l economiste n est pas serieux, peut etre qu on decouivrera en toi une lumiere pour le Maroc et tous les pays de la region!

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      • #4
        Non pas parce que je suis habité par une pulsion nihiliste.Pas vrai!


        Jawzia




        Déçu qu'elle n'enfonce pas le Maroc même à l'international.

        En tout cas tu as du suer pour compiler tout cela

        En fait ,elle fait le contraire de ce que font certains des ses collègues algeriens qui encensent à domicile Boutef et ses mentors en ce qui concerne la politique du pays mais attendent d'être réfugiés à l'extérieur pour les descendre.

        Ce que j'en conclu c'est que la liberté d'expression est véritable aux Maroc et que les journalistes marocains osent dire ce qui va mal et mettent leur nif de coté( pas comme certains) pour faire des comparaisons (défavorables pour le Maroc) en citant les avancées des pays voisins.

        Il faut couper en deux un journaliste algérien pour qu'il dise du bien du Maroc.
        Dernière modification par chicha51, 31 août 2008, 22h45.

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        • #5
          lol, le probleme que tu as n'est pas avec nadia salah ou avec l'economiste, le probleme que tu as c'est d'entendre des personnes credibles dire ce qui ne va pas mais aussi ce qui va...

          Commentaire


          • #6
            Sujets ! le topic traite du Maroc.

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            • #7
              Peux-tu afficher ici ce qu'elle a dit au Monde?

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              • #8
                oui j'aimerais bien lire ce que tu lui reproches aussi.

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                • #9
                  @ Chicha,

                  Tu es le specialiste du detournement de sujets concernant le Maroc.

                  Vas y !!!

                  Casse le sujet de Jawzia avec des arguments plutot que de noyer le topic avec la meme sauce anti algerienne. Defends ton bled ( si c'est ca qui motive tes longues journees sur FA) dignement plutot que de comparer avec l'Algerie au premier post.

                  Commentaire


                  • #10
                    Defends ton bled ( si c'est ca qui motive tes longues journees sur FA) dignement plutot que de comparer avec l'Algerie au premier post.
                    oui, ca devient lassant ces link forcés avec l algerie comme pour aider quequ un de sortir de l impasse!

                    Commentaire


                    • #11
                      bof jawzia ne presente pas d'arguments vu qu'il ne prend meme pas la peine de poster l'article en question, allez je le fais a sa place, parce que sinon on ne le lira jamais cet article...

                      Le Maroc s'industrialise et s'enrichit, mais déficits et inégalités se creusent
                      LE MONDE | 09.08.08 | 14h36 • Mis à jour le 10.08.08 | 18h44


                      RABAT ENVOYÉE SPÉCIALE

                      En dépit d'un contexte international très défavorable, l'économie marocaine se porte plutôt bien. Tout le monde l'admet au Maroc, mais les analyses divergent quant à la durée de ce qu'on qualifie à Rabat de "boom économique".

                      Selon le ministère marocain de l'économie et des finances, la croissance sera de 6,8 % en 2008, et devrait continuer dans les quatre années à venir à peu près au même rythme, le taux d'inflation ne dépassant pas 3 %. Ainsi, espère-t-on à Rabat, le revenu par habitant passerait de 2 650 dollars en 2007 à 4 150 dollars en 2012.

                      "Jamais, depuis trente ans, je n'ai vu le Maroc courir à une telle vitesse ! Une classe moyenne est en train d'émerger. Il a été vendu plus de 100 000 voitures neuves l'année dernière, contre 10 000 il y a quinze ans", souligne Nadia Salah, éditorialiste et directrice du quotidien L'Economiste.

                      Un retournement de situation est-il possible ? Beaucoup le craignent, tout en admettant que l'économie marocaine sort peu à peu de sa dépendance de l'agriculture (15 % du PIB mais 40 % de la population active). Mais la situation reste fragile. Pas de pluie, et le PIB peut tomber d'un coup à 2,4 %, comme en 2007.

                      En raison de la diversification progressive du tissu productif (industries, accueil d'entreprises délocalisées, télécommunications, bâtiment, tourisme), la croissance hors agriculture est à présent de 5,7 % par an. Reste que le déficit de la balance commerciale s'accroît. S'il a été contenu cette année, c'est grâce à l'envolée du prix des phosphates. Sans cette manne providentielle, le pays aurait difficilement résisté à l'explosion des importations (biens d'équipement surtout), à la hausse des denrées alimentaires, et à celle, vertigineuse, de l'or noir (dont le royaume importe la totalité de ses besoins).

                      Certes, le Maroc a bénéficié, il y a quelques mois, d'un don de 800 millions de dollars des pays du Golfe, mais il s'agissait d'une bouée de sauvetage. La facture pétrolière du royaume a augmenté en un an de près de 69 %.

                      Dans la même période, le prix des phosphates marocains, lui, passait fort heureusement de 40 dollars à 250 dollars la tonne. Le royaume est le premier producteur du monde de ce minerai indispensable à la production des engrais, qui croît au rythme de la demande alimentaire.

                      L'expérience du milieu des années 1970, qui avait vu chuter le prix des phosphates après une hausse spectaculaire, conduit les observateurs à la prudence. De plus, les concurrents potentiels du Maroc sont nombreux : Arabie saoudite, Jordanie, Tunisie et même Algérie. Si le prix des phosphates marocains grimpe trop, les réserves des voisins pourraient se révéler attractives.

                      AFFAIRISME ET FRUSTRATION
                      L'autre caverne d'Ali Baba du Maroc, ce sont les recettes fiscales. "On nous rackette !" grognent les patrons d'entreprise. En un an, l'impôt sur les sociétés a presque doublé. La méthode employée est contestable et "fausse les règles du jeu et de la transparence", selon Larbi Jaïdi, l'un des économistes les plus en vue du pays, membre du comité scientifique du Centre marocain de conjoncture. "Une année, on ponctionne les banques, une autre année les assurances, l'année d'après, un autre secteur... On utilise la fiscalité comme un bâton et un gisement où puiser en fonction des besoins du moment. Ce n'est pas sain", regrette-t-il.

                      C'est en tout cas dans ces "niches" providentielles que pioche l'Etat pour alimenter la caisse de compensation. En quatre ans, le budget annuel de cette caisse, qui subventionne le pétrole à la pompe et certains produits tels que la bonbonne de gaz, l'huile et la farine, est passé de 4 milliards de dirhams à 40 milliards. "C'est intenable", s'inquiètent tous les économistes, comparant la caisse au rocher de Sisyphe.

                      Chacun admet qu'une réforme est indispensable, d'autant que la caisse de compensation ne bénéficie pas à ceux à qui elle est destinée : les plus démunis. En subventionnant l'essence ou la bonbonne de gaz, l'Etat aide surtout les riches. Selon la Banque mondiale, "les populations les plus pauvres ne reçoivent que 10 % des subventions".

                      Le gouvernement hésite à se lancer dans cette réforme. Si le prix du pétrole continue de baisser, il va être tenté de repousser l'échéance à une date indéterminée, tant il craint les remous sociaux. Un peu partout dans le pays, les jacqueries, manifestations contre la vie chère, sit-in des "diplômés chômeurs", se multiplient. Le climat est à la frustration. La population a le sentiment que l'embellie actuelle ne lui est pas destinée. Seuls en profiteraient les nouveaux riches qui spéculent dans l'immobilier, ou les affairistes qui gravitent dans l'entourage du roi.

                      Si on enregistre une baisse relative de la pauvreté, les inégalités, elles, ne se réduisent pas. C'est en matière d'éducation et de santé qu'elles sont les plus criantes. Les "diplômés chômeurs" sont un symptôme de ce Maroc à deux vitesses qui, pour l'heure, perdure et même se reproduit.
                      Florence Beaugé
                      Dernière modification par ayoub7, 31 août 2008, 22h59.

                      Commentaire


                      • #12
                        En tout cas tu as du suer pour compiler tout cela
                        Pas vraiment !!! En fait j'ai oublié de mentionner que c'est repris de chez "le blog de Larbi". Donc Merci à lui pour ce travail de compilation fort pertinent.

                        Déçu qu'elle n'enfonce pas le Maroc même à l'international.
                        Au delà ce qu'on pourrait apprendre des editoriaux de Nadia Salah, c'est cette incapacité marocaine, que l'on constate aussi sur ce Forum, d'evoquer les problèmes "marocains" en dehors de la sphère marocaine.

                        bof jawzia ne presente pas d'arguments vu qu'il ne prend meme pas la peine de poster l'article en question
                        Pour avoir repris un billet de Larbi, je ne me sentais pas le besoin d'argumenter. Avoir omis de le mentionner pouvait effectivement induire en erreur en m'imputant les commentaires de Larbi.
                        Dernière modification par jawzia, 31 août 2008, 23h02.

                        Commentaire


                        • #13
                          voila l'article qui "choque" jawzia, un article plus que balancé... tout cela pour une phrase

                          Au delà ce qu'on pourrait apprendre des editoriaux de Nadia Salah, c'est cette incapacité marocaine, que l'on constate aussi sur ce Forum, d'evoquer les problèmes "marocains" en dehors de la sphère marocaine.
                          pff si a la lecture de cet article tu trouves que les problemes du maroc ne sont pas evoques, c'est que tu n'as meme pas pris la peine de lire l'article en question mon ami... Arretes les copier-coller des blogs sans lire de quoi il s'agit.

                          incapacite marocaine de constater et d'evoquer les problèmes "marocains" en dehors de la sphère marocaine ?

                          C'est plutot l'incapacite qu'ont certains a comprendre que tout simplement le maroc a ses problemes mais qu'il avance et quand un c'est cite dans un journal etranger comme Le Monde, qui est a priori legendairement anti-marocain, il ne sert a rien de piquer une crise.
                          Dernière modification par ayoub7, 31 août 2008, 23h12.

                          Commentaire


                          • #14
                            Après lecture de l'article qui la citait, moi, non plus, je ne comprends pas le retournement...
                            Mais bof et rebof !...Hormis quelques uns, nos analystes ne connaissent pas la cohérence.

                            Commentaire


                            • #15
                              Déçu qu'elle n'enfonce pas le Maroc même à l'international.


                              Au delà ce qu'on pourrait apprendre des editoriaux de Nadia Salah, c'est cette incapacité marocaine, que l'on constate aussi sur ce Forum, d'evoquer les problèmes "marocains" en dehors de la sphère marocaine.
                              Jawzia
                              ...............................



                              Tu fais très bien le travail avec certains qui se reconnaitront.

                              On a eu un répit durant tes vacances mais là quand même tu fais tout un tintamarre pour une petite phrase positive de Nadia Salah ( ce qui ne veut pas dire qu'elle a retourné sa veste) prise sur un longue article qui est loin d'encenser le Maroc.

                              Commentaire

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