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Sur cette vidéo une personne sous le pseudo de "leveilley" a ajouté ce commentaire avec une petite traduction que je trouve intéressante.
"YA DIF ALLAH" cette qacida de cheikh djilâli mthired de marrakech,l'un des plus grands poetes du maroc.Ce grand poéte a vécu entre XVII et XIX siecles,et a marqué de son genie creatif l,évolution de l,art poetique populaire au maroc.quand au sujet de la qacida lui-même,le poete nous raconte les péripéties de la visite inattenduqui lui a rendue,en plein nuit,un personnage mysterieux.Bien emmitouflé dans ses vêtement et ses voiles,taciturne,et qui,pressé de questions,tente de se faire passer pour un etudiant coranique étranger a la ville,enquête d'hospitalité pour la nui.Mais,rapidement,la sagacité et l'intuition de l'amoureux le demasquent.Et ô bonheur suprême c,est la bien aimée elle-mêmequi surgit comme un astre de dessous les voiles.
chanté et rendue célebre par le Cardinal perfectionné par Notre ZAHI national un chef-d'oeuvre ingterpreté par deux grand monsieurs de la chanson algerienne.
Demandez-moi ce qui m'est arrivé, ô gens de l'amour, dans la nuit d'hier, ô honorables personnes. J'avais fermé portes et fenêtres et poussé les verrous, et je m'étais mis au lit dans l'attente du sommeil. j'etais à moitié endormi et ma lumière s'était éteinte quand j'ai entendu frapper à la porte de chez moi. Qui vient frapper dans le drnier tiers de cette nuit si longue et si froide, me suis-je demandé? J'ai rejeté ma couverture, et je me suis levé, déconcentré, ne sachant que faire, puis je me suis emparé du sabre. J'ai dit "au nom du"Vivant",du"Haut",sauve-nous ô"Salut"et je me suis avancé. J'ai ouvert la porte mais je n'ai pas pu distinguer celui que j'avais en face de moi"l'hospitalité,pour l'amour de dieu,m'a-t-il lancé,a brule pourpoint"je lui ai demandé qui il était, mais il n'a pas daigné me répondre ,et s'est precipité a l'interieur comme une flèche.
Ô hote de Dieu,reponds-moi, Ecoute-moi bien ne sois pas timide,rends-moi mon salut.
"Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
Socrate.
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