Tweet
L’hôpital Nedir-Mohamed de Tizi-Ouzou sera doté avant la fin de l’année en cours, d’un nouveau scanner, d’un IRM, d’un mamographe, d’une Table basculante et d’un tensiomètres osseux.
C’est ce qu’a indiqué son directeur M. Mansouri lors d’un point de presse animé hier au niveau de son établissement, présisant que ce nouveau matériel est déjà acquis. “L’installation de ces appareils a été retardé pour des raisons d’ordre purement techniques” a-t-il expliqué. M. Mensouri a souligné que l’installation de ce matériel nécessite un espace assez conséquent en donnant l’exemple de l’IRM, ( Imagerie de résonnance magnétique) qui pèse, a-t-il estimé, pas moins de 6 tonnes et qui produit une pression “terrible”.
Le même responsable a affirmé que des espaces seront libérés pour l’implantation de ce matériel utra-sophistiqué constitué donc d’un mamorgaphe qui est un appareil qui sert à la détection de cancer de sein, d’un tensiomètre osseux, un apareil qui pèse la densité osseuse, d’une table basculante qui est une sorte de détecteur de maladie de différentes nature ainsi que d’un nouveau scanner.
Organisée parallèlement aux portes ouverts sur les produits pharmaceutiques, et leur distribution au niveau du CHU, cette conférence a également débattu sur ce même thème relatif aux médicaments.
Et dans ce registre, le directeur de l’hôpital Nedir-Mohamed a affirmé qu’aucune pénurie de médicaments n’est à signaler.
“ Nous possédons tous les médicaments de n’importe quelle molécule que peut demander le citoyen. Tous les médicaments sont disponibles au niveau de notre pharmacie” a-t-il lancé. M. Mansouri a mis, en outre en relief le mode de fonctionnement de la pharmacie de son hôpital. “ Nous avons un stock régulier de 6 milliards de centimes représentant une couverture de trois mois. Aussi nous avons créé ce qu’on appelle un ballon d’urgences qui permet un stock de 90 jours.Il constitue une réserve de médicament qu’on utilise qu’en cas d’une extrême urgence, en cas du déclenchement du plan orsec.” a expliqué le même directeur qui a fait état d’un budget de 130 milliards de centimes alloué pour uniquement l’acquisition des produits pharmaceutiques, cette année. Un budget qui n’était que de 23 milliards en 2003. “
Cela prouve que le CHU de Tizi-Ouzou a retrouvé sa vocation d’antan qui était limité dans ses fonctions à un quelconque centre de santé” affirmé encore M. Mansouri. Ce dernier a indiqué par ailleurs que son établissement qui a réalisé 12 greffes rénales et a implanté 270 paces-macker, innovera très prochainement en procédant à des implantations de défibrilateurs pour les malades cardiaques. “ Le défibrilateur permet même e contre carrer les crises cardiaques” a-t-il expliqué. Il est à noter que le pace-macker est un appareil qu’on implanté pour régler l’activité cardiaque du malade. Intervenant au cours du même point de presse, le sous-directeur de la pharmacie de l’hôpital Nedir-Mohamed a indiqué le CHU compte deux unités pharmaceutiques qui sont régulièrement approvisionnées.
“Nous sommes quatre pharmaciens qui travaillent au niveau du CHU. Je peux vous assurer que tous les malades sont pris en charge de manière assez satisfaisante et ce, suivant un programme bien défini. Aujourd’hui nous pouvons prendre en charge toutes les pathologies”, s’est-il félicité.
Par la Dépêche de Kabylie
C’est ce qu’a indiqué son directeur M. Mansouri lors d’un point de presse animé hier au niveau de son établissement, présisant que ce nouveau matériel est déjà acquis. “L’installation de ces appareils a été retardé pour des raisons d’ordre purement techniques” a-t-il expliqué. M. Mensouri a souligné que l’installation de ce matériel nécessite un espace assez conséquent en donnant l’exemple de l’IRM, ( Imagerie de résonnance magnétique) qui pèse, a-t-il estimé, pas moins de 6 tonnes et qui produit une pression “terrible”.
Le même responsable a affirmé que des espaces seront libérés pour l’implantation de ce matériel utra-sophistiqué constitué donc d’un mamorgaphe qui est un appareil qui sert à la détection de cancer de sein, d’un tensiomètre osseux, un apareil qui pèse la densité osseuse, d’une table basculante qui est une sorte de détecteur de maladie de différentes nature ainsi que d’un nouveau scanner.
Organisée parallèlement aux portes ouverts sur les produits pharmaceutiques, et leur distribution au niveau du CHU, cette conférence a également débattu sur ce même thème relatif aux médicaments.
Et dans ce registre, le directeur de l’hôpital Nedir-Mohamed a affirmé qu’aucune pénurie de médicaments n’est à signaler.
“ Nous possédons tous les médicaments de n’importe quelle molécule que peut demander le citoyen. Tous les médicaments sont disponibles au niveau de notre pharmacie” a-t-il lancé. M. Mansouri a mis, en outre en relief le mode de fonctionnement de la pharmacie de son hôpital. “ Nous avons un stock régulier de 6 milliards de centimes représentant une couverture de trois mois. Aussi nous avons créé ce qu’on appelle un ballon d’urgences qui permet un stock de 90 jours.Il constitue une réserve de médicament qu’on utilise qu’en cas d’une extrême urgence, en cas du déclenchement du plan orsec.” a expliqué le même directeur qui a fait état d’un budget de 130 milliards de centimes alloué pour uniquement l’acquisition des produits pharmaceutiques, cette année. Un budget qui n’était que de 23 milliards en 2003. “
Cela prouve que le CHU de Tizi-Ouzou a retrouvé sa vocation d’antan qui était limité dans ses fonctions à un quelconque centre de santé” affirmé encore M. Mansouri. Ce dernier a indiqué par ailleurs que son établissement qui a réalisé 12 greffes rénales et a implanté 270 paces-macker, innovera très prochainement en procédant à des implantations de défibrilateurs pour les malades cardiaques. “ Le défibrilateur permet même e contre carrer les crises cardiaques” a-t-il expliqué. Il est à noter que le pace-macker est un appareil qu’on implanté pour régler l’activité cardiaque du malade. Intervenant au cours du même point de presse, le sous-directeur de la pharmacie de l’hôpital Nedir-Mohamed a indiqué le CHU compte deux unités pharmaceutiques qui sont régulièrement approvisionnées.
“Nous sommes quatre pharmaciens qui travaillent au niveau du CHU. Je peux vous assurer que tous les malades sont pris en charge de manière assez satisfaisante et ce, suivant un programme bien défini. Aujourd’hui nous pouvons prendre en charge toutes les pathologies”, s’est-il félicité.
Par la Dépêche de Kabylie
Commentaire