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Nelson Mandela en visite privé au Maroc

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  • Nelson Mandela en visite privé au Maroc

    RABAT (AP) - L'ancien président sud-africain Nelson Mandela est en visite privée au Maroc alors que les relations entre les deux pays sont en crise depuis 2004 à cause de leur différend sur le Sahara-Occidental, a-t-on appris mercredi de sources diplomatiques.

    Un communiqué de la Fondation Nelson Mandela, parvenu à l'Associated Press, précise que l'ancien dirigeant est l'hôte au Maroc du prince saoudien Bandar ben Sultan, l'ancien ambassadeur du royaume wahhabite à Washington qui séjourne souvent au Maroc.

    Les deux hommes qui, précisait-on, "ont déjà travaillé, dans le passé, sur des initiatives de paix", ont réaffirmé lors de leurs entretiens "leur conviction que la négociation d'un règlement de paix politique sous l'égide des Nations unies est le meilleur moyen de résoudre les différends et les conflits entre les nations". Aucune précision n'a été fournie sur la nature de ces conflits.

    L'Afrique du Sud avait échoué l'an dernier à jouer les médiateurs dans le conflit du Sahara-Occidental avant de décider de reconnaître la République arabe sahraouie démocratique (RASD), proclamée par le Front Polisario qui revendique l'indépendance de ce territoire. En signe de protestation, le Maroc avait rappelé son ambassadeur à Pretoria.

    Nelson Mandela, qui séjourne dans un hôtel privé à Rabat, n'a eu pour l'instant aucun entretien avec les officiels marocains, précisait-on à l'ambassade sud-africaine à Rabat.

    Le Maroc et le Polisario se disputent, depuis 1975, la souveraineté sur le Sahara-Occidental, une ex-colonie espagnole annexée par le Maroc qui la considère comme faisant partie de son "territoire historique". L'ONU tente, sans succès, depuis 1991 d'y organiser un référendum d'autodétermination.

    Arrivé à Rabat en provenance d'Arabie saoudite où il a présenté ses condoléances aux autorités saoudiennes suite au décès du roi Fahd, Nelson Mandela pourrait quitter vendredi le Maroc.

    © La Presse Canadienne, 2005

  • #2
    le maroc est un pays calme qui accepte tt le monde

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    • #3
      il porte quel numero dans la liste des 10 M de touristes qu'attend le Maroc ?!

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      • #4
        pour cette années ... il doit être + ou - 4.100.000 ...Cette année en tout cous, ils tentent les 6 millions ... cela semble presque fait.
        Par contre la croissance des entrés est de 8%
        Avec ce rythme, nous sommes dans les 6,5M en 2006 ... 7M en 2007 ... 7,6M en 2008 ... 8,2M en 2009 ... 8,9M en 2010.

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        • #5
          Ca explique alors alors pourquoi le gouvernement parle maintenant de 2012 et non de 2010
          Ups on est hors sujet !!

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          • #6
            faux riati en 2004 le Maroc a accueilli 5.5 millions de touristes pour cette année il en prévoit plus de 6 millions

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            • #7
              *****
              *****
              Dernière modification par nassim, 26 août 2005, 00h07. Motif: Trollisme. La récidive ne sera pas tolérée.

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              • #8
                je ss d'acord avec toi qu'il ya des phenomenes negatives dans le cadre du devloppement du tourisme au maroc , mais c'est normal dans tt les transitions il ya des degats comme dans le domaine democratique.
                le torisme est une secteur sratigique pour le maroc , aussi le maroc a de savoir fair dans ce domaine.
                il y 600.000 emploi direct et plus de 4 mil de dollars pour l'economie marocain

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                • #9
                  redalinho
                  faux riati en 2004 le Maroc a accueilli 5.5 millions de touristes pour cette année il en prévoit plus de 6 millions


                  riati
                  pour cette années ... il doit être + ou - 4.100.000 ...Cette année en tout cas, ils tentent les 6 millions ... cela semble presque fait.
                  Par contre la croissance des entrés est de 8%
                  Avec ce rythme, nous sommes dans les 6,5M en 2006 ... 7M en 2007 ... 7,6M en 2008 ... 8,2M en 2009 ... 8,9M en 2010.



                  Il me semble qu'on a dit la même chose

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                  • #10
                    Respectez le sujet du topic, SVP.

                    La question qui ressort de ce topic n'est pas l'enviable bonne santé du tourisme au Maroc, mais de savoir si la visite de Nelson Mandela soit de nature à tenter une médiation entre le Maroc et le Polisario.

                    Car faut-il le rappeler, l'Afrique du Sud a reconnu la RASD, l'ennemi juré du Maroc.
                    L'Afrique du Sud avait échoué l'an dernier à jouer les médiateurs dans le conflit du Sahara-Occidental avant de décider de reconnaître la République arabe sahraouie démocratique (RASD), proclamée par le Front Polisario qui revendique l'indépendance de ce territoire. En signe de protestation, le Maroc avait rappelé son ambassadeur à Pretoria.

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                    • #11
                      Mandela est en visite touristique comme n'importe quel touriste, en plus il n'est pas un représentant officiel de son pays ... et dans tout les cas c'est une visite privée.


                      La question qui ressort de ce topic n'est pas l'enviable bonne santé du tourisme au Maroc, mais de savoir si la visite de Nelson Mandela soit de nature à tenter une médiation entre le Maroc et le Polisario.

                      Je pense que l'Afrique du sud n'est pas qualifiée à mener cette prétendu médiation tout simplement à cause de sa non neutralité dans l'affaire. Tout comme l'Algérie, le Yemen et la Syrie.
                      Je pense aussi que l'intervention américainne a conforté le Maroc, puisque Bush refuse le Chef du Polisario comme interlocuteur, tout en s'adresse à l'Algérie en tant que la deuxième partie du conflit (y a pas de troisième partie).
                      Les propos de l'emissaire de Bush et le message de Bush à Boutef illustre parfaitement cette nouvelle tendance.

                      Bonne vacances Mandela.

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                      • #12
                        si l'afrique du sud a reconnu la rasd, ce n'est mullement faire plaisir à l'algérie où pour ce cher principe d'autodermination des peuples, mais seulement pour faire dresser le maroc contre l'algérie d'une part, faire plaisir à ses multinationnales pétrole et nucluaires d'autre part,occupé l'algérie dans ce problème, et s'accaparer tout seul le leadership tout seul en afrique, son unique concurent est occupé avec le maroc; on ne fait rien pour rien l'interet d'abord ...que pensez-vous

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                        • #13
                          allez voir les indices économique de l'Afrique du sud ... une continuelle décadence ... Bonne route Mebeké ou ché plus comment il s'appel.

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                          • #14
                            Le caractère de la visite de Nelson Mandela n'a rien de privé: éffectivement les relations entre l'Afrique du Sud et le Maroc se sont considérablement dégradées depuis la reconnaissance par l'Afrique du Sud de la République Arabe Sahraouie Démocratique...le Maroc est allé même jusqu'à rappeler son ambassadeur en Afrique du Sud...

                            L'Afrique du Sud,ne voulant pas perdre pied en Afrique du Nord en faveur des Etats-Unis d'Amérique, a dépêché un "ambassadeur officieux" en éspèrant relancer la coopération avec le Maroc...

                            Personnellement je pense que la reprise de relations diplomatiques complètes ce fera avec des concessions essentiellement sud-africaines.

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                            • #15
                              http://www.elwatan.com/2005-08-28/2005-08-28-25215

                              La population algérienne vit, en effet, dans la misère économique dans ses manifestations les plus dégradantes. On l’a entraînée, en l’espace de quelques années, vers les abysses de la pauvreté et de l’insuffisance. Le taux de chômage avoisine les 20 % (année 2004). Près de 8 millions (année 2002), soit 7 778 000, sont des célibataires de plus de 20 ans et n’ont aucune perspective de pouvoir fonder un foyer, à cause notamment de la crise du logement et du problème de l’emploi. Environ 600 000 élèves sont exclus, chaque année, du système scolaire ou l’abandonnent par manque de moyens. Tout cela a fini par créer cet environnement propice à la prolifération des maux sociaux avec un accroissement et une brutalité inégalées, comme le divorce, les conflits familiaux, le suicide, la drogue, la mendicité, la prostitution. Nul ne peut nier que la misère économique est le terreau fertile sur lequel se développe la prostitution. Cette prostitution qui sévit massivement dans toutes nos villes et même nos petits villages - qui ont du mal à la dissimuler - est l’un des résultats de la catastrophe sociale et de la ruine économique qu’impliquent les politiques d’ajustement structurel, les privatisations, le libre-échange à sens unique ; bref, la mondialisation et ses effets sur l’accroissement des inégalités sociales. Désormais, aujourd’hui, ces malheureuses font partie de la mosaïque des gens de la rue. Elles y passent la plus grande partie de leur temps, elles disent qu’elles y travaillent. Les scènes de contact et les palabres entre la fille de joie et son client sont repérables à vue d’œil, même s’ils sont attablés dans un café. Il ne faut pas plus de quelques minutes pour que le marché soit conclu ou, dans le cas contraire, le présumé client s’en aille poursuivre sa chasse ailleurs. Ces femmes ont un quotidien qui n’a rien de commun avec le nôtre et leur vie a des lois et des codes différents de ceux que nous connaissons. Parmi les sept femmes qui ont bien voulu nous parler, nous vous livrons le témoignage de trois d’entre elles. Fifi (Fatima), à peine vingt ans, campe face à un hôtel. Cheveux taillés courts et teintés blonds, habillée d’un jean moulé à taille basse, tee-shirt blanc très court faisant apparaître son nombril et une bonne partie de son ventre. Hypermaquillée, elle scrute les automobilistes de ses grands yeux noirs. Fifi a bien voulu nous parler de son histoire, après s’être assurée de notre personne et de notre objectif. Son regard à la fois grave et morose donne l’impression que cette jeune femme voudrait vider tout ce qu’elle a sur le cœur. Elle nous confie que son moral est rarement bon. Elle est pessimiste, a du mal à se concentrer et, comme le veut son âge, veut tout et tout de suite. Malgré son énergie, elle a souvent envie de pleurer, est inquiète et nerveuse, se fait des reproches, se sent déprimée et désespérée en pensant à l’avenir. D’ailleurs, elle pense tout le temps au suicide et en a fait deux tentatives. Elle avoue avoir souvent des excès de colère, elle crie fort, frappe et casse. Quand elle parle de santé, elle évoque son mal de tête et les troubles du sommeil (endormissement difficile, réveil nocturne, fatigue accumulée) et ajoute qu’elle n’a jamais consulté de médecin. « Je n’ai pas choisi de vivre dans la rue ni de vendre ma chair. C’est le seul lieu où j’ai trouvé refuge lorsque j’ai été forcée de quitter la maison familiale. ça fait maintenant plus de 4 ans que j’exerce ce métier. » Elle ne dit rien sur les motivations de sa décision de quitter la maison familiale. Son corps frêle a appris à résister aux nuits glaciales de l’hiver. Son regard profond et les cernes qu’elle arrive à peine à camoufler par un épais maquillage sont les témoins de ces longues années d’errance et de souffrance. « Il est difficile pour moi de tolérer le regard des autres qui est plein de mépris. J’aurais souhaité une autre vie. » « Au quotidien, j’ai du mal à me regarder dans la glace, je me déteste, je ne sais pas de quoi sera fait demain. Ce que je fais ici, ça me ronge intérieurement, de la même manière qu’une maladie, ça me bouffe physiquement et ça m’enfonce dans la détresse. De temps en temps, il m’arrive de rigoler, d’avoir le sourire, mais on ne l’a pas vraiment au fond de soi. » Elle nous a affirmé être là (face à l’hôtel) depuis plus de deux heures et avoir déjà accompli trois passes et récolté 3400 DA. Le prix qu’elle prend pour chaque passe varie entre 500 DA et un plafond qui peut atteindre 2000, voire 3000 DA, selon les circonstances et les clients. La liaison sexuelle se déroule le plus souvent dans la voiture du client. Quant aux clients, elle affirme qu’ils sont de toutes les professions, de tous âges et de tous les horizons. Ils disent payer pour assouvir leurs fantasmes, sans égard ni scrupules. Ils ne sont pas nécessairement « étrangers » à la ville, nous confient la plupart des filles interviewées. On trouve, parmi eux, des maçons qui vivent dans leur chantier de travail, loin de leur famille, de plus en plus de Chinois, des quinquagénaires, des marchands ambulants et quelques amateurs de l’acte rapide. Le client tourne, regarde, choisit, discute les prix. Toujours à propos des clients, elle dit qu’« ils sont toujours avides de nouveauté. Lorsqu’une nouvelle personne arrive sur le trottoir, elle a un succès immédiat. Ils veulent plus de beauté, plus de jeunesse et ils veulent tous l’essayer ». En ce qui concerne la peur, elle dit : « Avec certains clients, on ne sait jamais ce qui peut nous arriver. C’est tous les jours. Quand on monte dans un véhicule, quand on se retrouve attachée pour satisfaire les fantasmes des hommes. Le type peut faire ce qu’il veut. » La peur est toujours omniprésente. D’abord, celle du client et de sa toujours possible violence, celle de la police et celle, surtout, d’être reconnue par des parents, voisins, amis. Peur de l’avenir enfin. Qui souhaite vieillir dans la prostitution ? Le second témoignage est celui de Zouzou (Zohra) rencontrée dans un cabaret du littoral de l’Ouest algérois. « J’avais 16 ans quand j’ai commencé à me prostituer. Après, c’est devenu une habitude. Je ne pourrais pas dire pourquoi. » A l’époque, Zouzou ne vivait plus chez ses parents. « J’étais partie de chez moi pour être libre. » Zouzou n’en dira pas plus. Elle ne veut pas parler de ce qu’elle a vécu dans sa famille. « Quand on est jeune et qu’on a envie d’acheter des robes, on voit qu’on va gagner de l’argent. On ne sait pas que c’est destructeur. On le saura après, mais on ne veut pas l’admettre. Et quand le pli est pris, on continue. Le problème, c’est l’argent. On se laisse manger par l’argent. On parle de la drogue. Mais l’argent, c’est de la drogue. » Zouzou lâche ses réflexions par bribes. « Vous en connaissez, vous, une p... qui ne prend pas d’alcool, pas de drogue ou de cachetons ? » « Contrairement à la clientèle de la prostitution de la rue, quand ils sont là (les clients), il faut les faire boire au maximum. Un verre de whisky à 600 DA, une bouteille à 5000 DA. Le verre de whisky, il faut le descendre et vite demander au client de nous en reverser un autre. Pour aider, on peut enlever le soutien-gorge et tolérer une caresse. Pendant tout ce temps, on boit aussi, évidemment, une fois que le type est bien gai, on peut demander autant de bouteilles qu’on veut. Quand on sature, on amène une autre fille pour nous aider à boire. Le patron donne un pourcentage sur chaque bouteille consommée par le client. » « Les clients, on leur dit les choses qu’ils ont envie d’entendre. Des mensonges. En réalité, ils sont moches. Ils nous racontent leur vie. Ils sont mariés. Et quand ils veulent aller plus loin, la passe est rarement inférieure à 3000 DA. L’acte se déroule dans l’une des 4 chambres situées au-dessus et qui nous servent également de lieu d’hébergement (pour les filles qui y travaillent). Les hommes, ce qu’ils ne peuvent faire avec leur femme, ils viennent nous le demander. Ils croient qu’ils peuvent nous faire ce qu’ils voient dans les films pornos. On gagne de l’argent, mais à quel prix ! On perd sa dignité, on n’a plus envie d’hommes. Parmi les clients, il y a les obsédés, mais pas tant que ça. On a de tout. Des cadres, des médecins, des militaires. Enormément de types qui aiment les gamines. Nous travaillons le soir et nous dormons toute la matinée. De ce fait, notre vie est forcément différente des autres personnes dites normales. » Enfin, le troisième témoignage, celui de Hassiba, l’une des victimes des réformes économiques, cette jeune mère de deux enfants, avec ses mèches blondes toujours dans les yeux, raconte sans haine comment elle a commencé à tapiner : « J’étais très heureuse avec mon mari et mes deux enfants. La fermeture de l’entreprise a été le début des problèmes. Le salaire, notre seule ressource, nous avait permis de vivre décemment. Puis ce fut la cassure. Aux problèmes financiers se sont ajoutés ceux liés à l’environnement, avec au bout le divorce. En charge de mes deux enfants, je devais subvenir à leurs besoins essentiels. Ce qui m’a contrainte à vendre mon corps malgré le dégoût que j’éprouve. Préalablement, j’avais cherché du travail, mais partout où je me présentais, la seule réponse était des propositions malhonnêtes. N’étaient mes deux filles, il y a longtemps que je me serais suicidée. Cela a été très dur, bien sûr, mais je n’avais pas le choix. Et même en prenant la pilule pour ne pas avoir d’enfant, je me suis retrouvée enceinte deux fois....

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