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La Banque d’Algérie a rendu public, hier, un communiqué dans lequel l’institution a expliqué les différents contours de la politique de taux de change en Algérie. Ainsi, selon le document, le conseil d’administration du FMI, qui a examiné en février dernier les résultats de la consultation de 2007, considère que «la politique de taux de change est en phase avec la stabilité externe», ajoutant que «le taux de change effectif réel demeure proche de son niveau d’équilibre, tout en prenant en compte les difficultés d’estimation dans les cas des pays exportateurs de pétrole». Dans la foulée, le conseil relevant de l’institution monétaire internationale a encouragé «les autorités à continuer à gérer le taux de change de manière flexible, tout en mettant en œuvre des politiques visant à accroître la productivité et la diversification économique».
Globalement, le conseil «a accueilli, selon le communiqué de la BA, favorablement les performances économiques encourageantes de l’Algérie au cours des dernières années reflétant des réformes orientées vers le marché et des politiques macroéconomiques prudentes dans un environnement externe favorable. La croissance hors hydrocarbures s’est accélérée, l’emploi s’est accru et les pressions inflationnistes sont sous contrôle». Le document fait état aussi d’une «situation budgétaire et extérieure [qui] demeurent fortes et l’ambitieux programme d’investissements des autorités [qui] a commencé à améliorer l’infrastructure et les conditions de vie». S’agissant de la question du taux de change, la Banque d’Algérie a indiqué qu’elle «poursuit, en 2008, la stabilisation du taux de change effectif, dans un contexte international caractérisé par la volatilité sur les marchés financiers, monétaires et des changes».
La BA a estimé également que les différentes études et évaluations de la politique du taux de change, selon les différentes approches méthodologiques élaborées tant par la Banque d’Algérie que par les services du FMI, ont démontré que le taux de change effectif réel du dinar est proche, depuis 2003, de son niveau d’équilibre de long terme. Enfin, il convient de préciser que «le taux de change effectif réel, selon la BA, est un indicateur synthétique englobant les échanges commerciaux de l’Algérie avec quinze de ses principaux partenaires commerciaux représentant 88% des échanges globaux».
source : La Tribune
Globalement, le conseil «a accueilli, selon le communiqué de la BA, favorablement les performances économiques encourageantes de l’Algérie au cours des dernières années reflétant des réformes orientées vers le marché et des politiques macroéconomiques prudentes dans un environnement externe favorable. La croissance hors hydrocarbures s’est accélérée, l’emploi s’est accru et les pressions inflationnistes sont sous contrôle». Le document fait état aussi d’une «situation budgétaire et extérieure [qui] demeurent fortes et l’ambitieux programme d’investissements des autorités [qui] a commencé à améliorer l’infrastructure et les conditions de vie». S’agissant de la question du taux de change, la Banque d’Algérie a indiqué qu’elle «poursuit, en 2008, la stabilisation du taux de change effectif, dans un contexte international caractérisé par la volatilité sur les marchés financiers, monétaires et des changes».
La BA a estimé également que les différentes études et évaluations de la politique du taux de change, selon les différentes approches méthodologiques élaborées tant par la Banque d’Algérie que par les services du FMI, ont démontré que le taux de change effectif réel du dinar est proche, depuis 2003, de son niveau d’équilibre de long terme. Enfin, il convient de préciser que «le taux de change effectif réel, selon la BA, est un indicateur synthétique englobant les échanges commerciaux de l’Algérie avec quinze de ses principaux partenaires commerciaux représentant 88% des échanges globaux».
source : La Tribune