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Des caméras de télésurveillance devant certaines écoles

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  • Des caméras de télésurveillance devant certaines écoles

    La police décidée a sécuriser Ramadhan et rentrée scolaire Des caméras devant certaines écoles

    Ces mesures peuvent être visibles, comme la multiplication du nombre de barrages, moins visibles, les caméras de télésurveillance discrètes, le déploiement d’agents civils et autres.

    Les mesures de sécurité ont été renforcées pour assurer la sécurité des personnes et des biens au cours de ce mois sacré.

    Ces mesures peuvent être visibles, comme la multiplication du nombre de barrages, moins visibles, les caméras de télésurveillance discrètes, et le déploiement d’agents civils et autres. Les lieux publics et autres endroits très fréquentés, dont les marchés, sont étroitement et discrètement surveillés contre toute tentative d’attentat terroriste.

    L’arrestation, en 2007, par les services de sécurité, de l’«émir» de la seriat d’Alger du GSPC et ses deux acolytes, ainsi que la saisie de centaines de kilogrammes de matières explosives, a permis aux services concernés de prendre en considération certains aspects dans l’élaboration d’une stratégie allant dans le sens de faire face et de mettre en échec les tentatives de cette organisation terroriste.

    Une stratégie qui prendra en compte les méthodes de l’organisation d’Abou Mossaâb Abdelouadoud qui n’hésite pas à cibler des écoles pour faire le maximum de victimes.

    Il est vrai que lors de cette arrestation, les services de sécurité ont, rappelle-t-on, récupéré 800 kilogrammes de matières explosives prêtes à être utilisées, trois bombres prêtes à l’emploi et une vingtaine de détonateurs qui, selon les aveux de l’«émir» de la seriat d’Alger, arrêté, Fateh Bouderbala, alias Abdelfatah Abou Bassir, allaient être utilisés sans discernement, au cours du mois sacré de ramadhan, «dans plusieurs attentats spectaculaires» qui ne feraient qu’augmenter la très longue liste des victimes du terrorisme.

    Les services de sécurité ont découvert deux cartables bourrés d’explosifs, ainsi qu’un lance-roquettes. Rappeler cette affaire, aujourd’hui, incite à ne pas baisser de vigilance, au cours de ce mois sacré ni à la rentrée scolaire qui aura lieu dans moins de deux semaines. La rentrée scolaire interviendra, cette année, au cours de ce mois.

    Des établissements scolaires, à Alger, ainsi que d’autres établissements, seront étroitement surveillés, pour faire échouer toute nouvelle tentative de cette organisation terroriste de remettre sur pied son plan macabre mis en échec par les services de sécurité l’année dernière.

    Une éventuelle tentative d’attentats terroristes, après les coups sévères infligés par les forces de l’ANP au GSPC. Cette organisation terroriste, comme une bête blessée, tente de convaincre qu’elle garde toujours sa capacité de nuisance, d’où l’embuscade tendue par le GSPC contre une patrouille de l’ANP, à Batna, assassinant 7 militaires et en blessant 14 autres.

    La riposte de l’ANP aux attentats terroristes perpétrés par le GSPC ne s’est pas faite attendre, éliminant de nombreux «émirs» de cette organisation terroriste. Parmi ceux-ci, Samir Sayoud, alias Mossaâb, Sid Ali Rachid, alias Ali Dix, Harek Zoheir, alias Sofiane Fassila, Abdelhamid Hamzaoui, alias Abou Tourab.

    Pour empêcher les terroristes de prendre de nouvelles initiatives meurtrières, les forces de l’ANP procèdent à des opérations de ratissage dans certains monts de Batna où sévit un groupe du GSPC, dont des vétérans se trouvent depuis plusieurs années dans les maquis terroristes.

    Ils avaient pour «officier exégète», un certain Abou Abdallah Messaoud, selon une source crédible.


    - PressDZ
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