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Peines de prison pour supporters de foot racistes à Strasbourg

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  • Peines de prison pour supporters de foot racistes à Strasbourg

    DNA 2 septembre 2008 A Strasbourg. Si la victime était d'une autre nationalité et l'agresseur musulman combien aurait il pris dans sa gueule....



    en italiques, le reste est un commentaire de la Feuille de Chou
    Comme « une meute de loups »

    Quatre supporters du Racing ont été condamnés hier par le tribunal correctionnel de Strasbourg pour l’agression de quatre jeunes d’origine maghrébine, vendredi soir aux abords du stade de la Meinau à Strasbourg. Le « meneur » du groupe est le seul à avoir écopé de prison ferme.


    A guichets fermés. Dans la salle des comparutions immédiates, plus la moindre place disponible sur les bancs réservés au public. De nombreux habitués des travées de la Meinau sont venus assister au procès de leurs camarades, dont plusieurs membres du groupuscule néonazi Elsass Korps. (mais que fait la police?) Service d’ordre en conséquence.
    Alignés à la barre, les quatre prévenus âgés de 18 à 23 ans expliquent qu’ils se connaissent peu, « juste de vue ». (
    ben voyons!) Tous fréquentent régulièrement la tribune populaire ouest du stade de la Meinau. Vendredi dernier, ils ont assisté au match entre le Racing et Châteauroux.
    A l’issue de la rencontre, ils ont quitté le stade par la rue de l’Extenwoerth, au milieu d’un groupe d’une trentaine de supporters. Avançant en cortège, ces sympathisants d’extrême droite se sont mis à proférer cris de singe, insultes racistes et saluts nazis. (
    déjà plusieurs délits; que fait la police?) Une vingtaine d’entre eux se sont soudain jetés sur quatre jeunes gens d’origine maghrébine qui s’éloignaient de la Meinau. Plusieurs coups sont portés aux victimes dont l’une a été ouverte sur le dessus du crâne.
    Les policiers qui assistent à la scène interviennent immédiatement. (
    enfin!)Quatre individus sont plaqués au sol et interpellés. Le reste de la bande s’enfuit en courant vers l’avenue de Colmar. Mais Benjamin Krieger, (son avocat aurait dû plaider la fatalité d’un nom prédestiné…)21 ans, incite ses collègues à en découdre avec les forces de l’ordre. « Il était hors de question de laisser des prisonniers entre les mains des policiers », précise le vice-procureur Thierry Massa. (compte rendu maladroit du journaliste; le Proc. ne reprend tout de même pas à son compte les propos du nazillon!) Le meneur est arrêté à son tour.
    « Difficile à gérer »

    Le jeune Mulhousien nie les injures et les coups : « J’étais à l’arrière du groupe quand les interpellations ont eu lieu. » Il était pourtant en possession du téléphone portable de la victime. Arborant un tatouage « SS » sur la nuque, (c’est un délit) Benjamin Krieger est décrit par le directeur de la sécurité du Racing comme un « élément difficile à gérer », le « meneur d’un groupe d’extrême droite ». Me Sophie Jaeger invoque une « crise identitaire » (”crise identitaire“! De l’acné juvénile?) et assure qu’il veut se faire enlever certains tatouages. (et son idéologie nazie, il compte l’éradiquer par lobotomie?)
    Les autres aussi minimisent (
    lâches! ils font moins les fiers? surtout en surnombre que devant des Arabes ou des Noirs) leur responsabilité. « J’étais sur lui, mais je ne me souviens pas (un trou de mémoire?) lui avoir tapé dessus », indique ce militaire (en Afghanistan!) de 23 ans domicilié à Ostwald.
    Pour le représentant du parquet, ces « cris de haine et de mépris sont tout à fait inadmissibles », de même que cette agression « d’une meute de loups ». (
    c’est insulter ces amis des moutons) Thierry Massa requiert cinq ans d’emprisonnement dont la moitié ferme à l’encontre du meneur, et une peine mixte contre ses trois coprévenus, dont les casiers sont encore vierges.
    Le tribunal a condamné Benjamin Krieger à quatre ans de prison dont un ferme, avec maintien en détention. Les trois autres supporters sont ressortis libres du palais, (
    cool!) avec une peine de huit mois d’emprisonnement avec sursis. Tous ont interdiction de pénétrer à l’intérieur ou aux abords d’une enceinte où se déroule une manifestation sportive pendant au moins deux ans.
    Antoine Bonin


    Un cinquième individu, mineur, également interpellé vendredi soir, devra s’expliquer devant le juge des enfants.

    Édition du Mar 2 sept. 2008
    Philippe Ginestet : « Nous lutterons inlassablement »

    (bla bla)

    Par la voix de son directeur général, Jean-Luc Herzog, le Racing s’estime « globalement satisfait des sanctions exemplaires prises contre des individus qui viennent au stade non pas pour le foot, mais pour y mener des opérations coup de poings. »
    Philippe Ginestet met l’accent sur les « mesures de prévention et de surveillance prises en amont qui permettent de minimiser les risques, étant entendu que le risque zéro n’existe pas. » Selon le président du club strasbourgeois, ces interpellations « démontrent que les forces de l’ordre sont vigilantes et efficaces, tant à l’intérieur qu’aux abords de la Meinau. » (
    ben, elles ont un peu tardé à intervenir, non?)
    S’il se dit « attristé (
    c’est tout?) au plus haut point » par ces incidents, (euphémisme) Philippe Ginestet ne tient pas à ce que l’opprobre soit jeté sur l’ensemble du club. « Fort heureusement, Strasbourg ne s’illustre que rarement (ce n’est pas la première fois!) à travers ce genre de phénomènes. »
    Jean-Luc Herzog parle même « d’épiphénomène, (
    toi-même!) puisque cela concerne quelques personnes, et surtout pas la majorité du public. » Le directeur général souhaite que « les condamnations donnent à réfléchir » aux possibles fauteurs de troubles.
    « La Meinau est un lieu de convivialité et de partage où des gens de toutes les couleurs viennent encourager des joueurs de tous les horizons, conclut le président Ginestet. Nous lutterons inlassablement pour ne pas laisser s’implanter les mauvais germes. » (
    ils sont pourtant bien présents, et pas depuis hier)

    Séb.K.
    Y des personnes qui battissent des ponts pour contrer ceux qui construisent des murs..
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