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Bouteflika devrait briguer un troisième mandat en Algérie

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  • Bouteflika devrait briguer un troisième mandat en Algérie

    Sauf surprise de dernière minute ou dégradation brutale de son état de santé, le président Bouteflika devrait briguer un troisième mandat à l’occasion des présidentielles d’avril 2009, a appris TSA de source bien informée. Après plusieurs mois de tractations, un consensus semble s’être dégagé parmi les décideurs du pays en faveur de cette option. La révision de la Constitution sera effectuée via la voie parlementaire avant la fin de l’année en cours, probablement en novembre, selon la même source. Elle autorisera notamment le chef de l’Etat à briguer un troisième mandat et instaurera un régime présidentiel, en supprimant notamment le poste de chef du gouvernement. Prévu initialement, le poste de vice-président n'a pas été retenu dans le nouveau texte.

    « Il y aura peut-être un Premier ministre, mais pas un chef de gouvernement. La différence est que le Premier ministre ne sera pas nécessairement issu de la majorité à l’Assemblée nationale», selon la même source. «D’ailleurs, le président Bouteflika a commencé à préparer le terrain, en nommant Ahmed Ouyahia à la tête du gouvernement en remplacement d’Abdelaziz Belkhadem. Or, le parti de M. Ouyahia n’est pas majoritaire», souligne la même source.

    Reste un détail qui n’a toujours pas été résolu : comment gérer la situation dans le cas d’une « cohabitation » entre le président et une Assemblée qui ne lui serait pas favorable ? Aux Etats-Unis, le président possède un véto face au Sénat. Mais une telle option n’a pas été retenue en Algérie. « M. Bouteflika pourrait utiliser les ordonnances présidentielles entre les différentes sessions du Parlement pour faire passer ses projets de loi. C’est l’option la plus plausible. Mais des blocages pourraient survenir», selon la même source.

    Pour légitimer la révision de la Constitution, la présidence prépare déjà ses arguments. Parmi eux : tous les prédécesseurs élus de M. Bouteflika ont modifié la Constitution, souvent très profondément «alors que l’actuel président n’a demandé qu’à changer deux articles ». Sur le plan international, le président sortant peut déjà compter sur le soutien de son homologue français Nicolas Sarkozy. Ce dernier le recevra en effet en visite d’Etat en France quelques semaines avant le premier tour des présidentielles de 2009.

  • #2
    Reste un détail qui n’a toujours pas été résolu : comment gérer la situation dans le cas d’une « cohabitation » entre le président et une Assemblée qui ne lui serait pas favorable ?
    Question inutile quand il y a aucune transparence...quand c'est dictatorial. pfff!
    La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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    • #3
      Trouvé sur le net:

      proposition révolutionnaire: ajouter un article qui permettrait aux parlementaires d'élire le président de la république! ceci permettra d'économiser beaucoup de pognon, d'éviter les situations du passé (3/4 des électeurs ne votent pas) et d'être sûr que le président est élu à l'unanimité (pas de besoin de bourrer les urnes)! n'est ce pas la meilleure manière de clouer le bec à tous ceux qui n'aiment pas fakhamatouhou et les mercenaires qui lui servent de cour??
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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      • #4
        Il y aura peut-être un Premier ministre, mais pas un chef de gouvernement. La différence est que le Premier ministre ne sera pas nécessairement issu de la majorité à l’Assemblée nationale», selon la même source. «D’ailleurs, le président Bouteflika a commencé à préparer le terrain, en nommant Ahmed Ouyahia à la tête du gouvernement en remplacement d’Abdelaziz Belkhadem. Or, le parti de M. Ouyahia n’est pas majoritaire», souligne la même source*
        trouver la contradiction

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        • #5
          trouver la contradiction
          Regardons la source surtout... TSA est un habitué de ce genre de contradictions...
          La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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          • #6
            Sur le plan international, le président sortant peut déjà compter sur le soutien de son homologue français Nicolas Sarkozy. Ce dernier le recevra en effet en visite d’Etat en France quelques semaines avant le premier tour des présidentielles de 2009.
            boutef se soigne au val de grace, normal qu'ils vont souvent se croiser. Mais le commun des mortels se demande s'il n'ya que la france pour nous soutenir, l'afrique compte pas mal de dictatures, sont-elles moins crédibles?
            saarko aime bien les dictateurs: kadhafi, al assad, Ben ali, moubarak et n'est guere embarassé de leur maintien tant que les interets de la france sont protégés.
            Dernière modification par zmigri, 03 septembre 2008, 17h07.

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            • #7
              C'est déprimant d'apprendre ça. J'en ai marre:22:

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              • #8
                ohhhhh pour une surprise ca c'est une grosse surprise !!!!!!!!!

                hihihihih
                TSA vient de devoiler le plus grand secret de polichinelle de l algerie !!!!!!!!!
                moi aussi je suis degouté
                PARLER EST UN BESOIN,ECOUTER EST UN ART.

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                • #9
                  Moha

                  En fait, il existe un espèce de livre qu'on appelle constitution, certes devenu inutile aujourd'hui en algérie mais toujours existant, avant que "boutef brigue un 3ème mandat", avant que le peuple algérien souffre encore 5ans, avant que la misère, le chômage, les harragas n'augmentent encore un peu, il faut que missiou boutchelika ouvre ce livre très difficile à ouvrir, et fasse des ratures dessus. Pour cela, il faut le consentement du peuple. Et je ne vois vraiment pas comment en 6 mois boutef, annoncera sa décision, organisera un référendum, modifira la constitution, et mènera une campagne, lui qui a l'habitude de faire une chose tous les 5 mois. Mais qui sait, l'algérie est très innovatrice et peut être qu'elle innovera en matière de dictature.:22:

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                  • #10
                    Pour légitimer la révision de la Constitution, la présidence prépare déjà ses arguments. Parmi eux : tous les prédécesseurs élus de M. Bouteflika ont modifié la Constitution, souvent très profondément «alors que l’actuel président n’a demandé qu’à changer deux articles ».
                    Tout un argument, indeed...
                    Bof !
                    Et puis pourquoi un régime tel qu'on connait devrait argumenter?
                    Face à qui au juste?

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                    • #11
                      moha,

                      Si il le fait, il va tout simplement modifier la constitution à l'assemblée: une caisse d'enregistrement. Espérons qu'il ne le fera pas, et que TSA a tout faux.

                      ∑ (1/i²) = π²/6
                      i=1

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                      • #12
                        Moha

                        Si l'on pouvait compter sur la neutralité des députés, l'assemblée au vu du peuple refuserait de la modifier, mais même à l'assemblée, cela est censé prendre du temps.:22:

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                        • #13
                          Definitivement Boutef a besoin d'un troisieme mandat pour achever l'Algerie qui agonise

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                          • #14
                            Cdn

                            ..nuance l'ami je dirait plutot "l'algerie que lui agonise " pauvre algerie et pauvre de nous
                            PARLER EST UN BESOIN,ECOUTER EST UN ART.

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