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En voilà une bonne nouvelle, faire l'amour et pas la guerre (enfin plus d'études et moins de guerre).
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PARIS (Reuters) - Les casernes de quinze villes françaises destinées à la fermeture dans le cadre d'un plan de réduction et de regroupement des armées seront transformées en logements pour les étudiants.
Un protocole d'accord doit être signé ce vendredi entre le ministre de la Défense Hervé Morin et la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse, ont dit les ministères concernés, confirmant une information du Figaro.
Les quinze villes concernées d'ici 2010 sont Arras, Valenciennes, Caen, Versailles, Reims, Paris, Metz, Nancy, Nantes, La Rochelle, Bordeaux, Limoges, Montpellier, Toulouse et Marseille. La liste pourra être élargie.
Hervé Morin a précisé sur Canal+ que l'idée était de favoriser les villes à fort besoin de logement étudiant et que le principe pourrait être étendu à d'autres types de logements.
"Nous allons faire le même travail avec (la ministre du Logement) Christine Boutin et avec les entreprises auxquelles j'ai écrit", a-t-il dit, assurant qu'une grande entreprise lui avait déjà annoncé une implantation dans une caserne libérée avec 400 emplois à la clef.
Les temps nécessaires aux opérations foncières - les terrains seront transférés aux collectivités locales - et aux aménagements permettent d'envisager une première mise à disposition de logements à partir de 2010 seulement.
La procédure a déjà été utilisée dans le passé lors de fermetures d'unités militaires, mais cette fois le mouvement devrait prendre une ampleur particulière compte tenu du poids de la réforme de la carte militaire.
Ce plan annoncé en juillet prévoit la fermeture de 83 unités militaires à partir de 2009, notamment dans le nord et dans l'est de la France. Il a soulevé des protestations des élus locaux qui voient partir une source d'emplois et d'activités et demandent des compensations.
Le projet permet aussi de commencer à résoudre la crise du logement étudiant. La flambée des loyers et des prix rend pénible la recherche d'un toit pour les étudiants, compte tenu de la faiblesse du parc de logements universitaires.
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PARIS (Reuters) - Les casernes de quinze villes françaises destinées à la fermeture dans le cadre d'un plan de réduction et de regroupement des armées seront transformées en logements pour les étudiants.
Un protocole d'accord doit être signé ce vendredi entre le ministre de la Défense Hervé Morin et la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse, ont dit les ministères concernés, confirmant une information du Figaro.
Les quinze villes concernées d'ici 2010 sont Arras, Valenciennes, Caen, Versailles, Reims, Paris, Metz, Nancy, Nantes, La Rochelle, Bordeaux, Limoges, Montpellier, Toulouse et Marseille. La liste pourra être élargie.
Hervé Morin a précisé sur Canal+ que l'idée était de favoriser les villes à fort besoin de logement étudiant et que le principe pourrait être étendu à d'autres types de logements.
"Nous allons faire le même travail avec (la ministre du Logement) Christine Boutin et avec les entreprises auxquelles j'ai écrit", a-t-il dit, assurant qu'une grande entreprise lui avait déjà annoncé une implantation dans une caserne libérée avec 400 emplois à la clef.
Les temps nécessaires aux opérations foncières - les terrains seront transférés aux collectivités locales - et aux aménagements permettent d'envisager une première mise à disposition de logements à partir de 2010 seulement.
La procédure a déjà été utilisée dans le passé lors de fermetures d'unités militaires, mais cette fois le mouvement devrait prendre une ampleur particulière compte tenu du poids de la réforme de la carte militaire.
Ce plan annoncé en juillet prévoit la fermeture de 83 unités militaires à partir de 2009, notamment dans le nord et dans l'est de la France. Il a soulevé des protestations des élus locaux qui voient partir une source d'emplois et d'activités et demandent des compensations.
Le projet permet aussi de commencer à résoudre la crise du logement étudiant. La flambée des loyers et des prix rend pénible la recherche d'un toit pour les étudiants, compte tenu de la faiblesse du parc de logements universitaires.
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