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Les hormones au service de la chimiothérapie.

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  • Les hormones au service de la chimiothérapie.

    Bonjour,

    Les recherches continuent dans le domaine de la cancérologie (comme tous les domaines d’ailleurs), et tout ce qu’on pourrait découvrir pour diminuer la douleur, accélérer la guérison et améliorer les résultats pour les traitements et autres…..ou juste pour alléger les souffrances serait bon.
    En se basant sur « trouver le chemin direct et le plus court qui peut acheminer le traitement vers les Cellules cancéreuses sans avoir a passer par d’autres voies (et qui généralement influent indirectement sur l’organisme par les effets indésirables qui apparaissent tôt ou tard) « on s’est rendu compte, et a pris en considération le rôle important que pourraientt jouer certaines hormones.


    Pour améliorer l’efficacité des traitements contre le cancer tout en diminuant leurs effets secondaires indésirables, les scientifiques cherchent tous les ‘’transporteurs’’ capables d’acheminer le médicament directement et uniquement sur les cellules cancéreuses. L’équipe de Tamara Minko a décidé de mettre à profit le rôle de certaines hormones impliquées dans la prolifération des cellules cancéreuses.

    Il a été démontré que certaines tumeurs cancéreuses, notamment du sein, des ovaires ou de la prostate, produisaient en abondance des récepteurs à une hormone sécrétée par l’hypothalamus, appelée LHRF (facteur de libération de l’hormone lutéinisante). Ce mécanisme favoriserait la prolifération cellulaire. Certaines chimiothérapies ont donc pour objectif de bloquer la LHRF.

    Minko (Rutgers, New Jersey) et ses collègues ont eux décidé de s’en servir de convoyeur. Ces chercheurs ont attaché la LHRF à une molécule qui tue les cellules en empêchant la réplication de leur ADN afin que ce médicament arrive jusqu’aux récepteurs des cellules cancéreuses. Chez les souris ainsi traitées, le nombre de cellules mortes dans les tumeurs était 20% supérieur à celui obtenu chez les souris traitées uniquement avec le médicament.

    Associée à la LHRF, la chimiothérapie atteint moins de cellules saines, soulignent les auteurs dans les PNAS. Quant aux femelles, elles ont engendré autant de rejetons que les souris n’ayant reçu aucun traitement, une donnée importante sachant que les traitements contre le cancer peuvent réduire la fertilité.

    http://sciences.nouvelobs.com/sci_20050823.OBS7248.html
    Dernière modification par Thirga.ounevdhou, 25 août 2005, 17h02.

  • #2
    Bonsoir thirga
    J ai eu a voir beaucoup de jeunes enfants souffrant des effets secondaires de leurs chimio et ce n'est pas beau à voir, espèrant que de telles recherchent aboutissent à quelque chose de concret.
    Merci pour l'article

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    • #3
      Bonjour Don_Corleonne,

      Ces enfant souffrent déjà de la maladie, en plus de ça ils souffrent des effets secondaires…ils vivent avec des complexes avec leurs jeunes ages, c’est très dur.
      Merci pour cette pensée que vous aviez pour eux...

      Bonne journée.

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      • #4
        Je me pose la question, est ce qu'il n'y a pas un moyen de diminuer les effets secondaires de la chimio?

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