Les rumeurs ayant circulé à Oran depuis le début du ramadhan et faisant état de la commercialisation de la viande de sanglier ont fait réagir, samedi dernier, lors du briefing hebdomadaire, le wali d'Oran.
Ce dernier a demandé des explications au directeur du Commerce qui tout en démentant la rumeur, a assuré que ses services de contrôle de la qualité ont mené une enquête à travers les différents marchés d'Oran. Cette investigation n'a rien divulgué, devait préciser le directeur du Commerce de la wilaya d'Oran.
De son côté, l'Union des commerçants (UGCAA) a enquêté, notamment au niveau de marchés hebdomadaires connus pour la prédominance de l'informel et où la viande commercialisée vient en grande partie de l'abattage clandestin.
Aucun indice n'a été découvert, rassure le secrétaire du bureau de wilaya de l'UGCAA qui a précisé que l'alerte avait été donnée suite à la découverte sur les hauteurs du Murdjajo de restes de carcasses de sangliers.
Notre interlocuteur indique que cela n'est pas nouveau du fait que des personnes se sont spécialisées dans l'abattage de sangliers, devenus très nombreux au point où ils atteignent même les zones d'habitations, à la recherche de nourriture.
Selon toujours notre source, une fois les bêtes tuées, seules certaines parties sont prélevées et ce, sur commande de certains ressortissants étrangers.
- Le Quotidien d’Oran
Ce dernier a demandé des explications au directeur du Commerce qui tout en démentant la rumeur, a assuré que ses services de contrôle de la qualité ont mené une enquête à travers les différents marchés d'Oran. Cette investigation n'a rien divulgué, devait préciser le directeur du Commerce de la wilaya d'Oran.
De son côté, l'Union des commerçants (UGCAA) a enquêté, notamment au niveau de marchés hebdomadaires connus pour la prédominance de l'informel et où la viande commercialisée vient en grande partie de l'abattage clandestin.
Aucun indice n'a été découvert, rassure le secrétaire du bureau de wilaya de l'UGCAA qui a précisé que l'alerte avait été donnée suite à la découverte sur les hauteurs du Murdjajo de restes de carcasses de sangliers.
Notre interlocuteur indique que cela n'est pas nouveau du fait que des personnes se sont spécialisées dans l'abattage de sangliers, devenus très nombreux au point où ils atteignent même les zones d'habitations, à la recherche de nourriture.
Selon toujours notre source, une fois les bêtes tuées, seules certaines parties sont prélevées et ce, sur commande de certains ressortissants étrangers.
- Le Quotidien d’Oran
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