Rice encense Bouteflika
Au cours de son périple maghrébin ayant suscité beaucoup d’enthousiasme et perçu tel un événement d’envergure, notamment politique dans la région de l’Afrique du Nord, Condoleezza Rice, quant à elle, a été fascinée par ce fait désormais indéniable : la sagesse de Bouteflika.
Assurément, cette sapience du chef de l’Etat algérien que Mme Rice découvre comme par enchantement, au moment où elle a été reçue au siège de la présidence de la République, lui restera pour longtemps gravée dans son esprit.
La secrétaire d’Etat a d’ailleurs tenu à faire part de cette impression que lui a laissée le président Bouteflika en des termes qui, sûrement, feront date.
«Bouteflika est un grand homme d’Etat et un sage de la région, non seulement en ce qui concerne le Maghreb, dont il est un grand connaisseur, mais bien au-delà», a fait savoir de prime abord la Secrétaire d’Etat US, au sortir de l’audience que lui a accordée le président de la République.
Il va sans dire que telle remarque, Condoleezza Rice s’en est abstenue d’en faire aussi bien lors de sa présence en Libye, en Tunisie et au Maroc dans le cadre bien évidemment de ce périple, sans doute le dernier dans la région en sa qualité de porte-flambeau de la politique étrangère américaine.
Ces propos élogieux de Mme Rice se rapportant à la maturité politique de Abdelaziz Bouteflika et revalorisant sa stature de diplomate aguerri viennent s’ajouter a ceux, aussi dithyrambiques, que la secrétaire d’Etat US a eu à déjà à déclarer au sujet de l’Algérie.
C’était au mois de mai dernier quant Mme Rice avait qualifié notre pays de «leader de la sécurité régionale et internationale ». En terme de lutte anti-terroriste, Condoleezza Rice et le président Bouteflika ont d’ailleurs réaffirmé ce samedi la volonté de combattre le terrorisme et de développer leur coopération dans ce domaine.
«Nous avons parlé de notre grand intérêt dans la lutte contre le terrorisme et la coopération dans ce domaine», a déclaré Mme Rice, exprimant sa «tristesse devant la mort d’Algériens innocents» lors des récents attentats qui ont frappé l’Algérie.
Au sujet des anciens d’anciens prisonniers de Guantanamo, Condoleezza Rice se dit optimiste quant à une solution idoine à ce problème règlement des plus souples. «Je crois que nous avons de bonnes relations avec l’Algérie sur cette question et nous espérons pouvoir aller de l’avant», avaitelle noté.
ALGER-WASHINGTON : UN AXE STRATÉGIQUE
Alger et Washington sont en passe de savourer une lune de miel faite pour s’inscrire davantage dans le temps. Condoleezza Rice qui a qualifié «d’excellents » ses entretiens avec le président Bouteflika a très vite enchaîné en mettant l’accent sur «les très fortes relations d’amitiés qui existent entre les Etats-Unis et l’Algérie et entre les deux peuples».
Lesquels rapports remontant loin dans le temps, vu que les USA étaient l’un des premiers pays à nommer un ambassadeur en Algérie, en 1962, juste au lendemain de l’indépendance.
Les relations algéro-américaines ont évolué ces dernières années, notamment en matière d’enseignement, d’échanges culturels, de coopération judiciaire et dans le domaine des affaires et de la coopération sécuritaire.
Mme Rice a eu à plaider, au cours de sa présence à Alger, en faveur de l’intensification et la diversification des liens économiques tissés entre les deux pays.
S’agissant des échanges commerciaux, leur volume a atteint le montant de 20 milliards de dollars, ce qui lace l’Algérie comme deuxième partenaire des USA et ce qui s’est traduit en outre par le nomination d’un attaché commercial par le ministère américain du Commerce au niveau de l’ambassade US à Alger.
- Pressdz
Au cours de son périple maghrébin ayant suscité beaucoup d’enthousiasme et perçu tel un événement d’envergure, notamment politique dans la région de l’Afrique du Nord, Condoleezza Rice, quant à elle, a été fascinée par ce fait désormais indéniable : la sagesse de Bouteflika.
Assurément, cette sapience du chef de l’Etat algérien que Mme Rice découvre comme par enchantement, au moment où elle a été reçue au siège de la présidence de la République, lui restera pour longtemps gravée dans son esprit.
La secrétaire d’Etat a d’ailleurs tenu à faire part de cette impression que lui a laissée le président Bouteflika en des termes qui, sûrement, feront date.
«Bouteflika est un grand homme d’Etat et un sage de la région, non seulement en ce qui concerne le Maghreb, dont il est un grand connaisseur, mais bien au-delà», a fait savoir de prime abord la Secrétaire d’Etat US, au sortir de l’audience que lui a accordée le président de la République.
Il va sans dire que telle remarque, Condoleezza Rice s’en est abstenue d’en faire aussi bien lors de sa présence en Libye, en Tunisie et au Maroc dans le cadre bien évidemment de ce périple, sans doute le dernier dans la région en sa qualité de porte-flambeau de la politique étrangère américaine.
Ces propos élogieux de Mme Rice se rapportant à la maturité politique de Abdelaziz Bouteflika et revalorisant sa stature de diplomate aguerri viennent s’ajouter a ceux, aussi dithyrambiques, que la secrétaire d’Etat US a eu à déjà à déclarer au sujet de l’Algérie.
C’était au mois de mai dernier quant Mme Rice avait qualifié notre pays de «leader de la sécurité régionale et internationale ». En terme de lutte anti-terroriste, Condoleezza Rice et le président Bouteflika ont d’ailleurs réaffirmé ce samedi la volonté de combattre le terrorisme et de développer leur coopération dans ce domaine.
«Nous avons parlé de notre grand intérêt dans la lutte contre le terrorisme et la coopération dans ce domaine», a déclaré Mme Rice, exprimant sa «tristesse devant la mort d’Algériens innocents» lors des récents attentats qui ont frappé l’Algérie.
Au sujet des anciens d’anciens prisonniers de Guantanamo, Condoleezza Rice se dit optimiste quant à une solution idoine à ce problème règlement des plus souples. «Je crois que nous avons de bonnes relations avec l’Algérie sur cette question et nous espérons pouvoir aller de l’avant», avaitelle noté.
ALGER-WASHINGTON : UN AXE STRATÉGIQUE
Alger et Washington sont en passe de savourer une lune de miel faite pour s’inscrire davantage dans le temps. Condoleezza Rice qui a qualifié «d’excellents » ses entretiens avec le président Bouteflika a très vite enchaîné en mettant l’accent sur «les très fortes relations d’amitiés qui existent entre les Etats-Unis et l’Algérie et entre les deux peuples».
Lesquels rapports remontant loin dans le temps, vu que les USA étaient l’un des premiers pays à nommer un ambassadeur en Algérie, en 1962, juste au lendemain de l’indépendance.
Les relations algéro-américaines ont évolué ces dernières années, notamment en matière d’enseignement, d’échanges culturels, de coopération judiciaire et dans le domaine des affaires et de la coopération sécuritaire.
Mme Rice a eu à plaider, au cours de sa présence à Alger, en faveur de l’intensification et la diversification des liens économiques tissés entre les deux pays.
S’agissant des échanges commerciaux, leur volume a atteint le montant de 20 milliards de dollars, ce qui lace l’Algérie comme deuxième partenaire des USA et ce qui s’est traduit en outre par le nomination d’un attaché commercial par le ministère américain du Commerce au niveau de l’ambassade US à Alger.
- Pressdz
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