Bonjour, beaucoup d'épiceries ont disparu, des bistrots aussi, pas mal de cinémas de quartier ont été remplacé par des supérettes, enfin tout ce qui faisait le charme de Paris, à cause des Franchises Ed, Franprix, Mc Do, etc.
Est-ce un mal ou un bien ?
PARIS - L'âge d'or de l'"arabe du coin" est révolu "Pendant des décennies, à Paris, l''Arabe du coin' fut synonyme d'épicerie de quartier encombrée de fruits et légumes, de vins et de liqueurs, de produits laitiers et de sucreries, de bouquets de fleurs, de produits et de conserves de supermarché, pour des achats de dernière minute, le soir, quand les autres magasins sont fermés", note The New York Times.
Le grand journal américain s'intéresse à cette véritable institution de la capitale française qu'est "l'épicier arabe du coin", ces petites échoppes qui se sont pour certaines transmises de père en fils, immigrés originaires d'Afrique du Nord venus en France en quête d'une vie meilleure. La plupart des magasins sont tenus par des Tunisiens et des Marocains, rapporte The New York Times.
Or, remarque le journal, ces épiceries sont en déclin. Elles n'ont pas souffert de l'actualité des attentats à Londres et en Egypte qui ont marqué cet été, explique le quotidien new-yorkais, "mais bien plus du Franprix [une chaîne de supérettes] de l'autre côté de la rue". Le quotidien souligne en effet la concurrence sérieuse posée par la multiplication de "supermarchés franchisés, qui ouvrent sept jours sur sept et cassent les prix".
Source compléte
http://www.nytimes.com/2005/08/19/in...e/19paris.html
Est-ce un mal ou un bien ?
PARIS - L'âge d'or de l'"arabe du coin" est révolu "Pendant des décennies, à Paris, l''Arabe du coin' fut synonyme d'épicerie de quartier encombrée de fruits et légumes, de vins et de liqueurs, de produits laitiers et de sucreries, de bouquets de fleurs, de produits et de conserves de supermarché, pour des achats de dernière minute, le soir, quand les autres magasins sont fermés", note The New York Times.
Le grand journal américain s'intéresse à cette véritable institution de la capitale française qu'est "l'épicier arabe du coin", ces petites échoppes qui se sont pour certaines transmises de père en fils, immigrés originaires d'Afrique du Nord venus en France en quête d'une vie meilleure. La plupart des magasins sont tenus par des Tunisiens et des Marocains, rapporte The New York Times.
Or, remarque le journal, ces épiceries sont en déclin. Elles n'ont pas souffert de l'actualité des attentats à Londres et en Egypte qui ont marqué cet été, explique le quotidien new-yorkais, "mais bien plus du Franprix [une chaîne de supérettes] de l'autre côté de la rue". Le quotidien souligne en effet la concurrence sérieuse posée par la multiplication de "supermarchés franchisés, qui ouvrent sept jours sur sept et cassent les prix".
Source compléte
http://www.nytimes.com/2005/08/19/in...e/19paris.html
Commentaire