Tweet
C'est le nombre de mines datant de la période coloniale détruites durant le mois d'août par l'armée algérienne dans les régions frontalières du nord-est et de l'ouest du pays, selon l'agence de presse algérienne APS, reprise par les quotidiens algériens Liberté et La Tribune.
L'opération de déminage se fonde sur des plans de pose délivrés solennellement par la France le 20 octobre 2007.
Durant la guerre d'Algérie (1954-1962), l'armée française avait installé les explosifs le long des lignes Challe et Morice, dont il ne reste à ce jour que quelques poteaux métalliques. Destinées à surveiller les frontières entre 1956 et 1962, ces zones électrifiées (plus de 5 000 volts, sur 1 500 km) devaient éviter toute porosité des frontières, empêchant les membres de l'Armée de libération nationale luttant pour l'indépendance de l'Algérie installés au Maroc et en Tunisie d'entrer en Algérie pour renforcer les effectifs internes.
Au total, selon l'APS, le nombre de mines découvertes et détruites depuis 2004 s'élève à 305 731, dont 253 892 mines antipersonnel, 50 726 mines antigroupes et 1 113 mines éclairantes.
L'opération de déminage se fonde sur des plans de pose délivrés solennellement par la France le 20 octobre 2007.
Durant la guerre d'Algérie (1954-1962), l'armée française avait installé les explosifs le long des lignes Challe et Morice, dont il ne reste à ce jour que quelques poteaux métalliques. Destinées à surveiller les frontières entre 1956 et 1962, ces zones électrifiées (plus de 5 000 volts, sur 1 500 km) devaient éviter toute porosité des frontières, empêchant les membres de l'Armée de libération nationale luttant pour l'indépendance de l'Algérie installés au Maroc et en Tunisie d'entrer en Algérie pour renforcer les effectifs internes.
Au total, selon l'APS, le nombre de mines découvertes et détruites depuis 2004 s'élève à 305 731, dont 253 892 mines antipersonnel, 50 726 mines antigroupes et 1 113 mines éclairantes.