de la France
Verbatim :: Vendredi, 12 septembre 2008 . 9:54 t.u. ::
Dr Jacques Kotoujansky, 5 rue Sengenwald 67000 Strasbourg j.kot [email protected] Gynécologue-obstétricien - Ancien interne des Hôpitaux Praticien attaché et ex-chef de service à l’Hôpital Civil d’Obernai (Bas-Rhin) D.E.A. de Physique - Diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques de Strasbourg Ex-responsable (1998-2007) pour l’Alsace du Mouvement Pour la France (MPF)* Membre du Rassemblement pour l’Indépendance de la France (RIF)* Membre de Debout La République (DLR)** Conseiller municipal et délégué à l’intercommunalité de Lasson (Yonne)
Strasbourg, le 10 septembre 2008
Madame, Monsieur,
Au moment où le Parlement, après la mort de dix de nos soldats, doit débattre de l’engagement militaire français en Afghanistan, il est plus que jamais d’actualité de s’interroger sur les événements qui, dans la conscience universelle, fondent la notion de « terrorisme international », lequel est censé justifier cet engagement. La figure emblématique de cette notion est celle des attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis, avec leurs 2997 victimes.
La géopolitique, sous l’empire de la version officielle des attentats, a pris une orientation marquée par la « lutte contre le terrorisme ». Aujourd’hui, dans notre pays, le Livre Blanc sur la défense et la sécurité nationale fait de celle-ci et du « renseignement » censé la soutenir, un impératif prioritaire, accompagné par la réduction (contestée) des effectifs des armées et illustré par l’engagement en Afghanistan dans une coalition dominée par l’US Army. Si la version officielle du « Nine-Eleven » (9/11) est une imposture, le paradigme que soutient la doxa officielle est, en partie, sans justification.
Plutôt que dans le « terrorisme international », ne faut-il pas alors chercher la clé des événements dans le pétrole, ses gisements et son transport, et dans le projet impérial d’une oligarchie ? Défendre, avec la vie de nos soldats, la liberté et la paix, cela passe par l’examen critique du 9/11.
Combien il eût été préférable que les réalités en fussent dites par de grandes voix, légitimées par le suffrage universel et l’exercice des responsabilités ! Mais, hélas !, il est regrettable que les plus hautes autorités de l’État fondent leurs décisions sur la version officielle des attentats, comme il l’est aussi que la presse française n’ait pas produit de veritable enquête sur le 9/11.
Qu’ont donc obtenu les supposés « terroristes » du 9/11 ? L’inverse de ce qu’ils étaient censés vouloir : la militarisation des États-Unis (EU), leur main-mise sur l’Afghanistan, sur l’Irak, demain peut être sur l’Iran, et les progrès, lents mais indéniables, vers une solution du conflit israélo-palestinien. Quand, en 1946, les terroristes juifs de l’Irgoun firent exploser une aile de l’hôtel King David à Jérusalem, ils obtinrent, plus tard, le départ du mandataire britannique de Palestine. Quand, en 1983, des terroristes, sans doute commandités par la Syrie, firent exploser les cantonnements français et américains à Beyrouth, ils obtinrent le départ de la force internationale d’interposition. Quand l’Iran voulut obtenir satisfaction dans l’affaire Eurodif, ou la Libye au Tchad, ils eurent, sans doute, recours au terrorisme. Le terrorisme d’État, dirigé contre un autre État, existe. Mais le terrorisme, en somme indépendant, à effet inversé est une nouveauté. C’est un premier indice de l’imposture, un second étant le suicide prémédité de dix-neuf pirates par groupes de cinq, qui est une impossibilité psychologique.
En 2005, le général Leonid Ivashov, ancien chef d’état-major interarmes de Russie, en poste le 11 septembre 2001, a écrit - et a dit publiquement à Bruxelles, à la conférence Axis for Peace, 17-18 novembre 2005 - ceci : « Le terrorisme international n’existe pas. Le terrorisme contribue à (…) la soumission des États à une oligarchie mondialisée. (…) L’objet principal de la nouvelle élite mondiale est la réalité (…) culturelle et historique, le système existant des relations entre les États, l’ordre mondial national et étatique de la civilisation humaine, l’identité nationale. (…) Si l’on analyse dans ce contexte les événements du 11 Septembre 2001 aux États-Unis, on peut en tirer les conclusions suivantes :
1/ Les commanditaires de ces attentats sont les cercles politiques et les milieux d’affaires qui avaient intérêt à déstabiliser l’ordre mondial (…) les initiateurs en furent des oligarques et des politiciens qui leur sont soumis.
2/ Seuls les services secrets (…) sont capables de planifier (…) une opération d’une telle ampleur. D’une manière générale, ce sont les services secrets qui créent, financent et contrôlent les organisations extrémistes. (…)
3/ Oussama ben Laden et « al- Qaïda » ne peuvent être ni les organisateurs ni les exécutants des attentats du 11 Septembre. Ils n’en ont pas les moyens (…) Par conséquent, une équipe de professionnels a dû être formée et les kamikazes arabes jouent le rôle de figurants pour masquer l’opération. Cette opération a aussi joué le jeu de l’élite politique et économique des États-Unis qui aspire également à la domination globale. » Un militaire de ce rang parlerait-il aussi nettement sans la certitude de ce qu’il avance ?
Verbatim :: Vendredi, 12 septembre 2008 . 9:54 t.u. ::
Dr Jacques Kotoujansky, 5 rue Sengenwald 67000 Strasbourg j.kot [email protected] Gynécologue-obstétricien - Ancien interne des Hôpitaux Praticien attaché et ex-chef de service à l’Hôpital Civil d’Obernai (Bas-Rhin) D.E.A. de Physique - Diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques de Strasbourg Ex-responsable (1998-2007) pour l’Alsace du Mouvement Pour la France (MPF)* Membre du Rassemblement pour l’Indépendance de la France (RIF)* Membre de Debout La République (DLR)** Conseiller municipal et délégué à l’intercommunalité de Lasson (Yonne)
Strasbourg, le 10 septembre 2008
Madame, Monsieur,
Au moment où le Parlement, après la mort de dix de nos soldats, doit débattre de l’engagement militaire français en Afghanistan, il est plus que jamais d’actualité de s’interroger sur les événements qui, dans la conscience universelle, fondent la notion de « terrorisme international », lequel est censé justifier cet engagement. La figure emblématique de cette notion est celle des attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis, avec leurs 2997 victimes.
La géopolitique, sous l’empire de la version officielle des attentats, a pris une orientation marquée par la « lutte contre le terrorisme ». Aujourd’hui, dans notre pays, le Livre Blanc sur la défense et la sécurité nationale fait de celle-ci et du « renseignement » censé la soutenir, un impératif prioritaire, accompagné par la réduction (contestée) des effectifs des armées et illustré par l’engagement en Afghanistan dans une coalition dominée par l’US Army. Si la version officielle du « Nine-Eleven » (9/11) est une imposture, le paradigme que soutient la doxa officielle est, en partie, sans justification.
Plutôt que dans le « terrorisme international », ne faut-il pas alors chercher la clé des événements dans le pétrole, ses gisements et son transport, et dans le projet impérial d’une oligarchie ? Défendre, avec la vie de nos soldats, la liberté et la paix, cela passe par l’examen critique du 9/11.
Combien il eût été préférable que les réalités en fussent dites par de grandes voix, légitimées par le suffrage universel et l’exercice des responsabilités ! Mais, hélas !, il est regrettable que les plus hautes autorités de l’État fondent leurs décisions sur la version officielle des attentats, comme il l’est aussi que la presse française n’ait pas produit de veritable enquête sur le 9/11.
Qu’ont donc obtenu les supposés « terroristes » du 9/11 ? L’inverse de ce qu’ils étaient censés vouloir : la militarisation des États-Unis (EU), leur main-mise sur l’Afghanistan, sur l’Irak, demain peut être sur l’Iran, et les progrès, lents mais indéniables, vers une solution du conflit israélo-palestinien. Quand, en 1946, les terroristes juifs de l’Irgoun firent exploser une aile de l’hôtel King David à Jérusalem, ils obtinrent, plus tard, le départ du mandataire britannique de Palestine. Quand, en 1983, des terroristes, sans doute commandités par la Syrie, firent exploser les cantonnements français et américains à Beyrouth, ils obtinrent le départ de la force internationale d’interposition. Quand l’Iran voulut obtenir satisfaction dans l’affaire Eurodif, ou la Libye au Tchad, ils eurent, sans doute, recours au terrorisme. Le terrorisme d’État, dirigé contre un autre État, existe. Mais le terrorisme, en somme indépendant, à effet inversé est une nouveauté. C’est un premier indice de l’imposture, un second étant le suicide prémédité de dix-neuf pirates par groupes de cinq, qui est une impossibilité psychologique.
En 2005, le général Leonid Ivashov, ancien chef d’état-major interarmes de Russie, en poste le 11 septembre 2001, a écrit - et a dit publiquement à Bruxelles, à la conférence Axis for Peace, 17-18 novembre 2005 - ceci : « Le terrorisme international n’existe pas. Le terrorisme contribue à (…) la soumission des États à une oligarchie mondialisée. (…) L’objet principal de la nouvelle élite mondiale est la réalité (…) culturelle et historique, le système existant des relations entre les États, l’ordre mondial national et étatique de la civilisation humaine, l’identité nationale. (…) Si l’on analyse dans ce contexte les événements du 11 Septembre 2001 aux États-Unis, on peut en tirer les conclusions suivantes :
1/ Les commanditaires de ces attentats sont les cercles politiques et les milieux d’affaires qui avaient intérêt à déstabiliser l’ordre mondial (…) les initiateurs en furent des oligarques et des politiciens qui leur sont soumis.
2/ Seuls les services secrets (…) sont capables de planifier (…) une opération d’une telle ampleur. D’une manière générale, ce sont les services secrets qui créent, financent et contrôlent les organisations extrémistes. (…)
3/ Oussama ben Laden et « al- Qaïda » ne peuvent être ni les organisateurs ni les exécutants des attentats du 11 Septembre. Ils n’en ont pas les moyens (…) Par conséquent, une équipe de professionnels a dû être formée et les kamikazes arabes jouent le rôle de figurants pour masquer l’opération. Cette opération a aussi joué le jeu de l’élite politique et économique des États-Unis qui aspire également à la domination globale. » Un militaire de ce rang parlerait-il aussi nettement sans la certitude de ce qu’il avance ?
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