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Des universités privées bientôt en Algérie

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  • Des universités privées bientôt en Algérie

    Après la publication du décret exécutif fixant le cahier de charges
    Le Gouvernement a fixé les conditions de création des universités privées.

    Il a prêté un intérêt particulier au CV du « signataire de la demande de création d’une université privée ». Le Gouvernement a demandé la présentation d’un cahier de charges qui stipule que le ministre désigne son représentant dans le Conseil Scientifique de cette université privée.

    Même si l’expérience des universités privées soit récente en Algérie, et qu’elle intervient après celle des écoles et des lycées, le projet de loi qui l’a encadrée s’est basé sur la loi d’orientation de l’Enseignement Supérieur, qui soumet la création d’une entreprise privée pour la formation professionnelle à des conditions bien déterminées.


    Le projet de loi a fixé un délai de deux mois au maximum pour répondre à la demande d’octroi de cette autorisation, toutefois, le ministère a décidé d’observer une droit de réserve sur ce dossier à condition que la décision finale soit être prise dans un délai ne dépassant pas les quatre mois.

    Par ailleurs, les Français ont exprimé leur volonté d’investir dans le secteur de l’Enseignement Supérieur en Algérie. Ils encouragent l’approche entre les méthodes pédagogiques des deux universités Algérienne et Française pendant que les Américains évitent d‘ouvrir des universités américaines privées en Algérie.

    Eu égard aux paris d’investissement dans le domaine de l’Enseignement Supérieur, la décision du ministre Hraoubia a créé un front intérieur qui refuse ce qu’il qualifie de « privatisation de l’université». Les mouvements estudiantins ont refusé la discrimination entre les étudiants algériens et estimé que la nouvelle loi vient pour briser la gratuité de l’enseignement et créer une discrimination entre les diplômés des universités publiques et ceux des universités privées, ainsi que la discriminations qui va résulter de cette politique dans le monde du travail.


    - El Khabar

  • #2
    Bonne chose pour nous éviter la médiocrité ambiante qui règne depuis des années dans nos universités. Pour ceux qui ont les moyens d'ouvrir des universités privés, les compétences locales seront au rendez vous pour mettre leurs expériences au service de ce projet.

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    • #3
      Bonsoir

      Je ne suis pas certaine que ça soit la solution la mieux indiquée, vraiment pas !


      La solution à la médiocre du secteur public, n'est certainement pas le privé payant !

      Proposition à débattre sur le fond, le contenu et le contenant. Le savoir n'est pas une prestation de service, mais plus exactement l'un des devoirs de la une nation envers ses citoyens, faut pas faire d'amalgame.

      C'est une fuite en avant, une derésponsabilisation des pouvoir publiques des missions qui sont les leurs !

      Un mélange du genre, on ne remplace pas le public par le privé, les deux doivent converger vers les mêmes buts.
      “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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      • #4
        Oui mais l'Algérie n'a pas les moyens de faire de la qualité et la quantité à la fois, puisqu'elle ne veut d'aucune façon limiter la démocratisation de l'université.
        Alors, il est bon de laisser le privé faire ce qu'elle ne peut pas faire: la qualité.
        Et peut-être qu'il y aura effet d'émulation chez le secteur public.

        A condition bien sûr que ce nouveau secteur privé se montre à la hauteur car secteur privé ne veut pas dire forcément qualité.

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        • #5
          Code PHP:
          Je ne suis pas certaine que ça soit la solution la mieux indiquéevraiment pas La solution à la médiocre du secteur public, n'est certainement pas le privé payant ! 
          Je suis tout à fait de ce point de vue! Il faut d'abord améliorer la situation dans les Universités publiques par une bonne politique de l'enseignement et de la recherche, et celà ne passe pas par les Privatisations, car une Université privée payante s'inscrit dans l'économie du Marché, or les Universités publiques sont des sites stratégiques d'une politique globale d'un pays!!

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          • #6
            Il faut d'abord améliorer la situation dans les Universités publiques par une bonne politique de l'enseignement et de la recherche
            Quand tu as plus d'un million d'étudiants qui rentrent à l'université, ça prendra au bas mot, dix fois le budget que l'Algérie consent au secteur, pour le mettre à la moyenne de ce qui se fait dans les universités dignes de nom.

            Donc, faut pas rêver le bon enseignement et la recherche sérieuse ont des coûts que l'Algérie n'a pas, vu les gigantesques effectifs
            Dernière modification par Bachi, 12 septembre 2008, 23h24.

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            • #7
              Bonsoir l'imprévisible, A cause d'une massification de l'offre de formation en raison des résultats gonflés du bac, un système basée uniquement sur la quantité et les chiffres trompeurs, un recrutement des enseignants sur la base des liens familiaux avec les doyens et autres responsables, une désignation des responsables sur la base de critères qui n'ont rien de professionel ou de scientifique, un manque flagrant des équipements et des bibliothèques classiques et virtuelles, l'université vit dans la médiocrité et la violence et la corruption des responsables.
              Mon souci concerne surtout les compétences nationales et elles sont nombreuses qui ne trouvent pas le climat pour améliorer va qualité de la formation graduée et post graduée dans nos universités. La substance grise non renouvelable au lieu d'être utilisée au service du développement et de la formation des générations futures se perd dans un environnement hostiles qui poussent beaucoup à s'exiler ou en subir les dépassement de tous genres pour ceux qui choisissent de rester. Alors vaut mieux travailler pour son propre compte non pas par amour du privé mais pour sauver la formation supérieure.

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              • #8
                Le savoir n'est pas une prestation de service, mais plus exactement l'un des devoirs de la une nation envers ses citoyens, faut pas faire d'amalgame.

                C'est une fuite en avant, une derésponsabilisation des pouvoir publiques des missions qui sont les leurs !
                Je suis d'accord avec vous pour peu que les pouvoirs publiques font quelques choses pour améliorer la situation catastrophique de nos universités.
                Si la loi de l'université privée est passée vite fait, cela veut dire que les pouvoirs publiques se déresponsabilisent de leur devoir envers nos enfants, sinon il n'auront jamais laissé la situation s'empirer d'année en année. Mais en attendant, il est préférable d'entrer en compétition avec les universités publiques pour utiliser les compétences qui ont les capacités d'offrir une formation de qualité.

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                • #9
                  mais ils s'en foutent de l'universite c'est de la pur politique d'ailleur je suis sur que leur gosses ils les envoient etudier a l'etranger (hihi je c c'est un secret de polichinelle) alors le niveau universitaire ils s'en foutent absolument
                  PARLER EST UN BESOIN,ECOUTER EST UN ART.

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