Depuis l'indépendance, et malgré les timides tentatives d'industrialisation des années 70, l'Algérie s'est spécialisée dans l'exportation d'hydrocarbures (Pétrole et Gaz). Les exportations hors hydrocarbures ont toujours été négligeables. Pire, l'Algérie ne produit même pas pour satisfaire les besoins de son marché national: denrées alimentaires de base (lait/blé/pomme de terre) notamment.
Rien n'est significativement développé, ni le secteur agricol, ni le secteur industriel. L'Algérire dépend totalement de ses importations. Et c'est avec le pétrole et le gaz que la facture est payée. La défaillance du secteur agricole est plus grave que celle du secteur industriel car un pays qui n'assure pas un minimum d'autosuffisance alimentaire n'est pas un pays souverain: un simple embargo préicpiterait son peuple dans la famine.
Mais la situation est loin d'être dramatique pour tous. Il y 'en a à qui ça profite bien: Les nouvelles fortunes de l'Algérie, les barons de l'import-export, pardon... de l'import-import et tous ceux qui gravitent autour de ces gens là..
Aucun gouvernement, à ce jour, n'a été capable de pondre des lois allant dans le sens de la réduction de la facture des importations en augmentant la production nationale (secteur privé ou publique) et non pas en rationnant les algériens, évidemment. A un gouvernement incompétent succède toujours un gouvernement encore plus incompétent pour le plus grand bonheur... des barons de l'import-import.
Et le terrorisme les aide un peu. La terreur interdit tout mouvement civil de contestation et tout débat politique de fond, donc toute possibilité de changement politique significatif. Un bon exemple de l"utilité" du terrorisme est la kabylie, la seule partie du pays où a été amorcé un véritable mouvement social de contestation stoppé net par la flambée du terrorisme. On peut dire qu'Al Qaïda au Maghreb tombe à pic! Et elle ne fait pas que des malheureux
Le terrorisme combiné à la mauvaise gouvernance du pays, c'est la garantie du statu quo, i.e. la perpétuelle dépendance de l'Algérie de ses importations avec son corollaire, la garantie des revenus des barons de l'importation.
On a l'habitude de taxer de hizb franssa (le parti de la France), ceux qui oeuvrent contre les intérêts du pays. Ce sont des traîtres. n'est-ce pas?
Je suis d'accord avec cette définition.
Rien n'est significativement développé, ni le secteur agricol, ni le secteur industriel. L'Algérire dépend totalement de ses importations. Et c'est avec le pétrole et le gaz que la facture est payée. La défaillance du secteur agricole est plus grave que celle du secteur industriel car un pays qui n'assure pas un minimum d'autosuffisance alimentaire n'est pas un pays souverain: un simple embargo préicpiterait son peuple dans la famine.
Mais la situation est loin d'être dramatique pour tous. Il y 'en a à qui ça profite bien: Les nouvelles fortunes de l'Algérie, les barons de l'import-export, pardon... de l'import-import et tous ceux qui gravitent autour de ces gens là..
Aucun gouvernement, à ce jour, n'a été capable de pondre des lois allant dans le sens de la réduction de la facture des importations en augmentant la production nationale (secteur privé ou publique) et non pas en rationnant les algériens, évidemment. A un gouvernement incompétent succède toujours un gouvernement encore plus incompétent pour le plus grand bonheur... des barons de l'import-import.
Et le terrorisme les aide un peu. La terreur interdit tout mouvement civil de contestation et tout débat politique de fond, donc toute possibilité de changement politique significatif. Un bon exemple de l"utilité" du terrorisme est la kabylie, la seule partie du pays où a été amorcé un véritable mouvement social de contestation stoppé net par la flambée du terrorisme. On peut dire qu'Al Qaïda au Maghreb tombe à pic! Et elle ne fait pas que des malheureux
Le terrorisme combiné à la mauvaise gouvernance du pays, c'est la garantie du statu quo, i.e. la perpétuelle dépendance de l'Algérie de ses importations avec son corollaire, la garantie des revenus des barons de l'importation.
On a l'habitude de taxer de hizb franssa (le parti de la France), ceux qui oeuvrent contre les intérêts du pays. Ce sont des traîtres. n'est-ce pas?
Je suis d'accord avec cette définition.
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