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Les urgences, un vrai traumatisme pour les patients

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  • Les urgences, un vrai traumatisme pour les patients

    C’est à chaque fois la peur au ventre qu’on se dirige vers le service des urgences dans les établissements hospitaliers.

    En plus de la douleur, on se prend à appréhender l’accueil et la prise en charge, ou plutôt l’absence de prise en charge, de la part du personnel médical et paramédical.

    Un vrai traumatisme, aussi bien pour le patient que pour son entourage lorsqu’il s’agit de transporter un malade vers les urgences.

    L’état des lieux est déjà chaotique durant les autres mois de l’année dans la plupart de ces services, et la situation empire pendant le Ramadhan, mois où les problèmes gastriques se multiplient du fait du déséquilibre alimentaire et des excès.

    Il n’y a pas un soir où ces structures ne soient pas envahies par des personnes se plaignant de maux divers, pratiquement tous liés à des ennuis plus ou moins sérieux du tube digestif.

    Mais le personnel est incapable, en nombre, en moyens et en volonté, de faire face au nombre important de personnes souffrantes.

    Le malade se retrouve très souvent livré à l’indifférence de paramédicaux dont le seul souci est de s’en débarrasser au plus vite.

    Ceux qui prennent leur métier et leur mission à cœur sont vite débordés par le flux de patients qu’on leur envoie fatalement, connaissant leur sérieux.

    Chaque soir, un spectacle désolant s’offre au regard. Des infirmiers qui peuplent les couloirs sans rien faire, des médecins de garde que l’on cherche en vain, et des malades souffrant le martyre et dont l’écœurement ne fait qu’aggraver le mal.

    La sonnette d’alarme a été tirée maintes fois, sans que la situation ait pu connaître la moindre amélioration.

    Chacun des ministres qui se sont succédé à la tête du secteur de la santé a assuré qu’il en ferait une de ses priorités, mais les urgences restent le nœud qu’on n’arrive pas à défaire et constituent la bête noire des patients et de leurs familles.

    - La Tribune

  • #2
    gros probleme

    le systeme etant tellement sclerosé;que rien ne fonctionne ;on m a dis que par exemple;faire un don de linge et couvertures ;
    pour palier au manque catastrophique d hygiene ne servirait a rien puisque le personnel a pris l habitude de se partager le moindre bien qui leur tombe sous la main
    en plus ca se dit ''bon musulman''
    bravo!

    Commentaire

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