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Questions aux Marocains : Conflit d'Octobre 1963

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  • Questions aux Marocains : Conflit d'Octobre 1963

    Ce petit sondage s'adresse EXCLUSIVEMENT a nos amis marocains de FA

    Selon mon ami GEASS, tout mouvement en dehors des frontieres marocaines serait desavoue par le peuple de ce pays, et si en 1963 cela arriva, c'est parceque la situation politique interne etait autre, et que personen n'avait droit a la parole.

    Alors, que pensez-vous (librement) de l'action entreprise par Hassan II et de ce qui se passa en Octobre 1963 ?

    1- L'attaque etait legitime, et il le fallait bien

    2- L'attaque etait legitime, mais il ne le fallait pas

    3- L'attaque etait totalement illegitime
    20
    Attaque legitime, et il le fallait bien
    40,00%
    8
    Attaque illegitime, mais il ne le fallait pas
    10,00%
    2
    L'action etait totalement illegitime
    50,00%
    10
    Dernière modification par Harrachi78, 15 septembre 2008, 00h06.
    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

  • #2
    Le mouvement des troupes marocaines sur le territoire algerien en 1963

    1/Attaque legitime, et il le fallait bien
    2/Attaque illegitime, mais il ne le fallait pas
    3/L'action etait totalement illegitime

    T'es Sur de La Deuxieme Question ?

    Commentaire


    • #3
      Harrachi78 quesque les FAR ont attaque ??

      il n'y avais aucune frontiere

      les vrais attaque etait algerinnes sur les seuls fronteres reconnu entre les

      deux etats a Oujda et Figuigu

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      • #4
        @Matouluik

        Bon, il faut lire attaque "Legitime, mais il en fallait pas".

        Y'a pas moyen de rectifier un sondage hein ?
        "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

        Commentaire


        • #5
          @Zakaria

          Oui maalich, ils n'y avaient pas de frontieres en effet, y'en a jamais avec le Maroc de toute maniere.

          D'ailleurs, il fallait que le poste de garde francais quitte la zone pour qu'on ne la vois plus cette frontiere cote marocain ...
          "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

          Commentaire


          • #6
            Bon, il faut lire attaque "Legitime, mais il en fallait pas".

            Y'a pas moyen de rectifier un sondage hein ?
            Je N'ai Aucune idée franchement , Essayes toujours de faire une modification en mode Avancé ou sinon mentionne le bien dans Ton Premier Poste pour que ca soit bien clair pour les vottants .

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            • #7
              t aurais pu rajouter
              le gpra nous l a promis

              parce que ca va tourner autour de ca
              alors qu il n engagait pas l etat souverain

              donc svp
              ne pas utiliser cette excuse qui n engageait que abbas surtout vu son statut de figuration
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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              • #8
                Le Maroc ne pouvait laisser passer cet affront de Ben Bella et l'escarmouche lançait par les jeunes de l'ANP, qui défiait ouvertement le pays.
                Chose dangereuse à l'époque, car le Roi ne pouvait se permettre de paraitre faible sur des questions aussi vitales que les frontières, alors qu'il avait derrière lui beaucoup mais beaucoup de personnes qui cherchait à le déstabiliser pour prendre sa place, en jetant le discrédit sur lui, et en le montrant comme faible aux yeux des citoyens.

                Hassan II a alors ordonné une percée raisonnable pour calmer les ardeurs des Algériens. Le Maroc avait largement les moyens, vu qu'il était soutenu par la France, pour rentrer beaucoup plus profondément en Algérie.
                Mais il ne l'a pas fait.

                Les pertes étaient dérisoires, et le conflit n'a pas fait de dégâts, contrairement aux guerres que connaissaient les autres pays arabes, et qui se soldaient par des centaines de milliers de morts.

                La guerre finit au bout de 20 jours. Sans que le Maroc n'essaie de prendre un avantage stratégique en détruisant totalement les bases et infrastructures algérienne.

                Certains marocains le regrettent pensant que si on avait fait ça, si on avait marché sur Alger. On aurait éviter de voir le Polisario nous embêter sur la question du SO.
                Mais c'est oublié, que Hassan II n'avait aucune vue territoriale ni de conquête.
                Il essayait tout simplement de ne pas perdre la face en interne, sans faire trop de dégat en Algérie. Car l'Algérie qu'on le veuille ou non, a un peuple digne et fier, un peuple frère. Et il ne fallait pas essayer de le mater, mais au contraire, il faut lui parler d'égale à égale.

                A Bamako, on signa alors la paix. Ben Bella promis un tracé des frontières clair, et des relations amicales. Mais il demanda alors un délais, vu qu'il avait des problèmes internes à régler.
                L'accord avec Ferhat abbas tombait à l'eau, et tout cela annonçait des lendemains houleux.

                Le Roi Hassan II avait réussi son tour de force, en matant la gauche, et en s'entourant de son peuple qui vit en lui son protecteur.
                Mais le fait qu'il n'ait pas réussi à sortir des négociations avec un texte clair sur les frontières, a fait que la situation aujourd'hui n'a cessé d'empirer depuis 1969.

                Nous ne vivons aujourd'hui, que les temps troubles, simples palpitations résiduelles, d'une guerre froide larvée.

                Mais faut-il recommencer la même chose? Faut-il toujours dire "oui, mais".
                Je ne le pense pas.

                Et aujourd'hui en tout cas, le peuple Marocain, n'a qu'une idée en tête.
                Réussir Al Jihad Al akbar, celui qui se fait sur son propre territoire, en réussissant son décollage économique.

                Il n'y aura pas de guerre. Il ne peut y avoir de guerre. Enfin, sauf si c'est l'Algérie qui attaque.
                Mais à en croire nos amis algériens sur ce forum, ça n'arrivera jamais.
                Alors pourquoi cette parano?
                La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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                • #9
                  Question aux Algeriens : les pages vont t'il tourne ou pas encore ?

                  il faut arrete de joue la victime, et finir avec la revanche du sahara qui n'a

                  aucun resultat

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                  • #10
                    c pas le maroc qui a ataqué ,alors c pas un sondage c un monsonge.
                    et jusqu'as aujourd'hui le seul traité qui traite de la frontiére au dela de figuigue c celui d'ifrane,et le maroc ne l'as pas encore ratifié.
                    en 1963,les troupe de l'ALN ont massacré une garnison marocaine a hassi baida, c la cause de la guerre, les troupe marocaine on recuperer hassi baida et été a 40 km de tindouf (il sont parti d'agadir ) , mais hassan 2 a laisser tomber pour une raison simple ,c que la position marocaine serait intenable devant le monde surtout que l'algerie etait aureolé de son prestige revolutionaire.
                    mais bon si c'etait a refaire ,je pense qu'on le refaira pas ,les temps ont changé ,les marocain ont oublier 1963,il pense a batir un pays stable.

                    les perte de la guerre civile algerienne depasse par centaine de millier de fois les degats humain de la guerre de 1963.

                    petite anecdote: en 1963 un certain houssni moubarak a été fait prisonier dans cette guerre,il a été interné a ksar souk ,rachidia maintenant ,l'armée egyptienne a été envoyer par nacer en soutient a l'algerie.
                    Dernière modification par bonifacio, 15 septembre 2008, 00h14.

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                    • #11
                      Aux algeriens

                      Encore une fois, le sondage ne concerne que nos amis marocains, ne cliquez donc sur aucune option SVP.
                      "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                      • #12
                        Question aux Algeriens : les pages vont t'il tourne ou pas encore ?
                        nous sommes des musulmans avant tout , La vengeance est HRAM chez nous ,le seul vengeur c est bien ALLAH , danc perso je pardonne

                        mais ALLAH nous demande aussi d etre cherissine jeden fi eddefa3 ala moumtalakatena . :18:

                        Commentaire


                        • #13
                          Les relations entre l’Algérie et le Maroc n’ont jamais été au beau fixe, loin de là.
                          La rivalité entre les deux pays est à la fois territoriale et idéologique. Dans les années qui ont suivi l’indépendance de l’Algérie, le régime «progressiste » du FLN incarnait, tout particulièrement après la prise de pouvoir par Houari Boumediène, le modèle d’une décolonisation « de gauche » qui voyait la revendication nationale se doubler d’une guerre révolutionnaire.

                          Pour l’Algérie socialisante, proche de l’URSS mais aussi en pointe dans le mouvement des Etats dits « non alignés », le Maroc était un modèle à combattre : celui d’un pays allié à l’Occident et représentant une tête de pont du monde libre au nord du continent africain. A Alger, on entendait souvent dire, jusqu’en 1978, que la « Révolution » échouerait si elle s’arrêtait à la frontière occidentale. Ce n’était d’ailleurs pas nouveau, l’élite évolutionnaire algérienne avait toujours estimé qu’elle était dépositaire d’un projet d’indépendance et de développement pour l’ensemble du
                          Maghreb et l’ancêtre du FLN, l’Etoile nord-africaine de Messali Hadj,
                          souhaitait la création d’un grand Etat maghrébin incluant la Tunisie et le Maroc. Du reste, lorsque les protectorats avaient été balayés, en Tunisie et au Maroc, ces deux pays avaient servi de base arrière aux combattants de l’ALN.

                          En conséquence de quoi, Alger soutenait avec constance la gauche marocaine qui cherchait, dans les années soixante, à renverser la monarchie. Ainsi, le dirigeant de l’Union nationale des Forces populaires (UNFP) Mehdi Ben Barka s’installa-t-il à Alger. De son côté, le Maroc allait plus tard accueillir des opposants au colonel Boumediène et, au premier chef,Mohammed Boudiaf.

                          A deux reprises, cette véritable guerre froide du Maghreb s’est transformée en guerre ouverte. La deuxième fois qu’Algériens et Marocains s’affronteront directement sera la bataille d’Amgala en 1976, en pleine « Guerre du Sahara ». Le premier affrontement ouvert remontait à 1963.

                          En octobre 1963, un bref conflit armé oppose les armées marocaine et algérienne, c’est la Guerre des Sables. En cause, les territoires du Sahara, autour de Tindouf, que la France avait annexés à sa colonie algérienne. Après la bataille d’Isly en maiaoût 1844, la révision des frontières qui avait suivi la défaite marocaine, avec le traité de Lalla Maghnia, le 18 mars 1845, donnait à l’Algérie Tindouf, le Touat, la Saoura et Tidikelt. L’Algérie, dans les années soixante, défendait âprement le principe de « l’intangibilité des frontières héritées de la colonisation». Mais il n’en avait pas toujours été de même.

                          Le Maroc et la Tunisie avaient promis, face au GPRA (Gouvernement provisoire de la République algérienne), le 6 juillet 1961, qu’ils ne soulèveraient aucune question territoriale avant l’indépendance et le GPRA avait admis, de son côté, que les frontières coloniales n’étaient pas opposables à ses voisins. Une convention bilatérale entre le Maroc et le GPRA affirmait d’ailleurs que «les accords qui pouvaient intervenir à la suite de négociations franco-algériennes ne sauraient être opposables au Maroc quant aux délimitations territoriales algéro-marocaines…»

                          En mars 1963, Ahmed Ben Bella confirmait cette convention à l’occasion d’une
                          visite de Hassan II à Alger. Dans ses mémoires, Hassan II écrit que Ben Bella lui a déclaré : « Je demande à votre majesté de me laisser le temps de mettre en place en Algérie les nouvelles institutions. Lorsque, en septembre ou octobre, cela sera fait, alors nous ouvrirons ensemble le dossier des frontières. Il va sans dire que l’Algérie indépendante ne saurait être l’héritière de la France en ce qui concerne les frontières algériennes 147 ».

                          Une fois au pouvoir, Ben Bella reviendra sur cet engagement et de nombreux
                          Marocains seront expulsés d’Algérie. Pourtant, le coeur des populations penchait bien, semble-t-il, vers le Maroc. Dans une note de juin 1962, « le Colonel Chevalier Chantepie, chef du centre d’exploitation des renseignements, écrit à propos de Tindouf que les populations Reguibat et Tadjakant de ce centre ont déjà fait leur choix qui est « incontestablement marocain 148 ». Au début du mois de septembre, la presse algérienne s’en prend violement à Hassan II qualifié de «pantin ».

                          Le 8 octobre, c’est Alger qui déclenche les hostilités : l’Armée nationale populaire attaque les Forces armées royales à Hassi Beida. Les combats cesseront le 4 novembre.

                          Ignace Dalle, qui a longtemps travaillé au Maghreb comme journaliste, estime : « Ce qui est certain, c’est que, dans ce dossier complexe, la qualité des arguments marocains et le comportement « fraternel » de Mohammed V pendant la guerre d’Algérie - même s’il était peu concevable qu’il en fut autrement –méritaient un traitement plus convenable, moins cavalier et provocateur de la part de l’Algérie 149 ».

                          La Guerre des Sables, quoiqu’il en soit, est gagnée par Rabat, même si le Maroc ne récupérera jamais les territoires perdus, et le traité d’Ifrane de «Fraternité, bon voisinage et coopération » signé le 15 janvier 1969, est sensé clore définitivement le chapitre.

                          http://www.esisc.org/LE%20FRONT%20POLISARIO.pdf

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                          • #14
                            le probleme ne peut se résoudre qu'avec un affrontement armee de 5 ou 6 jour pour recommance les negociations

                            bonne analyse Geass

                            Commentaire


                            • #15
                              arretez de petez plus haut que votre q
                              comment vous pouviez vaincre un pays qui a mis a bas l armee francaise en plus avec l aide de l otan
                              n est pas geas

                              ecoutez les paroles qui font pleurer pas celles qui font rire
                              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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