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Plus de 300 algériens détenus en Tunisie

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  • Plus de 300 algériens détenus en Tunisie

    Plus de 300 algériens (haragas) détenus dans des prisons secrètes en Tunisie Voila un gigantisme digne de la tragédie grecque, je suis outré de lire ce genre d'information sur la jeunesse Algérienne, voila ou on est arrivé, l'Algérien a perdu sa dignité de tous les côtés, aprés +10 années de térrorisme, le peuple paie encore l'addition.....


    Le malheur et la tristesse ont encore frappé des foyers algériens à Skikda et Annaba, à la veille du Ramadhan, avec la perte de 13 de leurs enfants au cours de leur traversée clandestine au départ de la ville ientunisienne de Nabeul. Aucune information ne fait état de leur mort ou de leur survie ce qui remet à l’ordre du jour un dossier délicat que l’Algérie s’attèle à traiter, vu les relations diplomatiques qui la lie avec la Tunisie.

    Les familles des disparus ont pour leur part sollicité l’aide de personnalités, responsables de l’état et députés à Skikda et à Annaba afin de retrouver leurs enfants, prisonniers ou dans les morgues des hôpitaux en Tunisie, en Espagne ou en Italie.
    Les familles des victimes demandent une intervention auprès des autorités italiennes et tunisiennes pour la libération des émigrants clandestins disparus depuis 2007, ou le rapatriement de leurs corps pour qu’ils puissent être inhumés en Algérie. Une crainte se fait ressentir quant à l’éventuelle détention et torture des disparus dans des prisons secrètes, surtout après l’épisode de Hadef Riadh, le jeune émigrant clandestin d’Annaba qui est mort en territoire tunisien.
    Les familles des harraga disparus dont le nombre est estimé à plus de 500 n’ont cessé leur combat pour arriver à recueillir des informations sur leurs enfants.
    Des dizaines de ces familles demandent notamment à recourir aux tests ADN pour identifier les corps qui ont échoué de l’autre côté de la méditerranée. Elles déplorent que l’Algérie accuse toujours du retard dans de pareilles situations alors que les corps des harraga ont droit à un tant soit peu de dignité au lieu d’être incinérés en terre étrangère, comme c’est le cas de l’Italie qui brûle les cadavres au bout de deux mois s’ils ne sont pas réclamés par les leurs.
    3 millions de dinars tunisiens pour rapatrier le corps d’un seul Harraga
    Les proches des harraga dans la wilaya d’Annaba ont révélé qu’ils livrent une bataille administrative infernale avec les autorités tunisiennes en cas d’identification du corps dans les hôpitaux tunisiens.
    Après de longues années de persévérance et de recherches menées en Tunisie, les dépouilles de trois harraga ont pu être récupérées par leurs parents, l’an dernier. Les autorités tunisiennes ont exigé des sommes faramineuses pour le rapatriement des corps, ce qui a amené à l’organisation d’une grande quête dans les quartiers et mosquées d’Annaba afin de rassembler plus de 10 millions de dinars tunisiens.
    300 harraga dans des prisons militaires secrètes en Tunisie
    Le traitement que réservent les autorités tunisiennes aux émigrants clandestins algériens est illégal. Les mesures de lutte contre le terrorisme sont carrément appliquées aux harraga algériens qui foulent le sol tunisien ou qui transitent par ses eaux territoriales. Les prévenus sont ainsi emprisonnés avant de subir un interrogatoire.
    Selon des informations fournies par des membres d’associations des droits de l’homme, plus de 300 émigrants clandestins sont actuellement détenus dans des prisons secrètes sur les îles tunisiennes de Jalta et Zimbra.

  • #2
    allez pour vous faire plaisir je vais répondre :


    les pauvres !!


    ça va comme ça ou je la refais
    .


    Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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    • #3
      ces algeriens doivent se sentir chanceux
      vaut mieux etre cales en prison qu au fond de la mediterannee

      non sur une note plus serieuse, c est un mal qui affecte et les tunisiens et les algeriens et les marocains et seule une economie forte intermaghrebine pour ameliorer ces conditions.

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      • #4
        Au Sénégal des associations se montent et sillonnent le pays pour dissuader les jeunes de ne pas tenter l'aventure, pourquoi ne pas faire la même chose chez nous.
        Mr NOUBAT

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