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Vox philosophos impetuosus Ab imo pectore Ab irato

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  • Vox philosophos impetuosus Ab imo pectore Ab irato

    Ces écrits représentent le courrier « d’un incarcéré dans son être », il pourrait bien être le testament d’un saint d’esprit. Mon idéalisme d’humaniste extravagant s’ait mue en cynisme chronique à la vue de la postérité adamique, mentalement mes jours sont comptés, à la perdition ma raison et vouée, dans la prison folie humaine, mon cœur est torturé. Condamné à une déréliction invisible pour mon esprit impudique dénonçant les vices adamiques, je purge une penne de mutisme imperceptible dans la geôle du conformisme.[IMG]http://www.******************/images/smilies/crazy.gif[/IMG]



    Vomi de minuit dans le couloire du désespoir

    Quand la nuit s’abat sur le jour, à l’apogée de sa maturité, je plonge dans de noires pensées « philo poétiques » a l’appelle de mon cœur mélancolique, je me lance dans une vertigineuse méditation guidé par les maux de mon esprit éprouvé, dans l’oeil des ténèbre nocturne du plein éveil je prend le large pour de lointains sentiers de la réflexion, je me laisser dissoudre par une absolue et douloureuse sagesse pour me déverser jusqu’au fond de l’ultime vérité humaine, inspiré d’une solitude invocatrice du tout humain au rythme d’un silence révélateur, audible aux penseurs sensible en ermite dans l’isolation émancipatrice des nuits éclatantes aux éclairs de clairvoyance, en m’y aventurant, mon esprit épris de liberté sans concession au contacte des vérités venimeuse qu’elle recèle récolte les foudres mélancolique de mon intransigeance qui dévoile a mon cœur ma traîtresse imagination qui le berçai d’illusions sur la noble grandeur humaine. Mon âme pleureuse versant les larmes de la désillusion emportant mes illusions met à nu au grand jour l’animal adamique, souverain des bêtes en son royaume de malheur.
    Je me laisse aller dans une folie au gisement de sagesses abyssal et je m’invente en moi un « moi non humain » pour m’explique avec une certaine neutralité efficace sans complaisance l’être adamique et ces mimique satanique.
    rabaisser l’humain avec une tel virulence et le percevoir sous un angle aussi régressant, ce n’est pas une vision personnel que j’expose mais c’est plutôt en tan qu’humain sous overdose de réalisme et pragmatisme radicale, je reconnaît une vérité éloignée des rhétoriques poétique des bien penseurs qui nous chantes les louanges d’une éphémère bonté humaine, artisans du mirage d’un humain bienfaiteur en une glorification sans pertinence de sa grandeur sans conséquence occultant son infinie nuisance.
    Difficile de gravir philosophiquement en traînant avec nous toutes nos panoplies d’artifices métaphysique liés a nos pensées réflectives et nos dispositions réflexives que nous lègue les temps modernes. Nos contemporains qu’ont considère illuminés et qui nous dis-t-on flirtent avec les vérités préfèrent contempler et nous décrire l’arbuste de la bonté humaine et ignorer par « égotisme humanitaire mystificateur » la foret du mal humain. De la modeste altitude ou je me trouve, en toute humilité, je croie que je suis assez en hauteur pour ce que j’appelle me « ré humaniser ». De cette « ré humanisation » dans mon approche réflexive sur l’humain que je suis, étant non humain dans mon appréciation inhibant toute affectivité corruptrice j’admet mon appartenance a cette humanité barbare sans lui cherchée de circonstances atténuantes et je constate un humain souillé de modernité mettant sons intelligence au service d’une frénétique évolution sans évaluation qui la mené a des dépassements qui ont ébranlé son monde et obscurcies ces pensées de par ces exaltations scientifiques, technologiques, morales et philosophiques qui font de luis la plus sauvage et bestiales des créatures existantes sur terre en s’appliquant dans un processus d’animalisation d’un nouveaux genre par une déshumanisation qui s’inscrit dans la logique de sa modernisation et il s’ais bâti une jungle en guise de sociétés en mettant tout en œuvre pour y instaurer les lois. S’éloignant de tout principe humain, il à évolué avec une sauvagerie d’une vivacité dévastatrice ce qui en a résulté son monde terrifiant ou ce heurtes tous les tumultes de son mal en ébullition qui implose aujourd’hui et déferle en balayant les limites de son ignorance, il s’abat en multitude de torrents noyant toute espoir de récupération salutaire, le chemin d’un retour au sentiers battus, l’humain contemporain s’en ai définitivement détourner, il enfonce toute valeur morale sous le pois de ces assises moderniste au nom du développement mortel, dans ces sentiers battus on pouvait y voir des lueurs d’espoir par des battement d’ailles d’un bel humain encore imprégné de la candeur de l’humain premier (Adam), ce fut un temps brefs où il était un papillon divin avant qu’il ne prenne son envole pour migrer verre d’autre cieux, croyant qu’il était un aigle royal, il pris de la hauteur plus qu’il en fallait, porté sur son arrogance, ces petits ailes frêles s’effritèrent, et comme si ça ne suffisait pas !, récemment ses fantasmes mystiques ont ressurgie des fonds des ages, gangrènent son âme, abolissent en lui la notion (humain) et pervertissent son caractère divin. Serait-il en train de vivre une décadence immuable sous une terreur à différente couture ? Est-il en train d’édifier sur les ruines de son monde son tombeau, sur le quelle il compte graver ce qu’il fut, un dieu sans tête ?
    Nous appartenons a la même race et pourtant il y a des idéologies supposés vérités revendiqués par des voix qui ce proclament humanitaires a travers des malheurs les plus absolus qui disloquent la colonne unitaire de l’humanité. Du sang fuse de la fissure morale sur l’originel socle de l’humanisme saint, les humains ce construisent sans fondement commun, les âmes humaines sont façonner sans l’ombre d’une authentique spiritualité humaniste, somme-nous encor plus petits qu’on le parais. Nous nous déchirons avec des différances que nous avons imaginés. Nos visions divisionnistes creusent tellement profondément que nous en avons perdu le sens premier de ce que nous sommes cet a dire tous simplement (humains). Qu’es qui fais que l’humain s’en prend-t-il a luis même avec autant d’acharnement et de passion ? Serait-il en proie à une dégénérescence instruite par dieu ? je me permet de dire cela ce qui pourrai paraître blasphématoire pour certains mais quand je parcoure les faits humains j’y perçoit une insufflation divine et une configuration humaine d’une subtile démence subliminale, de là, je ne peut qu’en déduire que l’humain est par essence une présence luciférienne, tous ce qui constitue l’autonomie propre à l’homme potentiellement source de bonté, la conscience, le raisonnement, le libre arbitre, ne sont que de subtils attributs, infimes et inconstants qui luis ont étais légués par DIEU comme tel pour un certain équilibre. Si pour expliquer métaphoriquement en jargonnant avec des termes utilisés en psychanalyse, je dirai que le mal est naturellement personnifié en chaque être humain et que la morale du bien est une « aliénation positive » que peux de gens en sont atteints, c’est dans l’ordre des choses, cela s’explique par le fait est que dans la configuration mystico métaphysique de l’homme, en deçà de son « moi humain » frivole, ce trouve le « le çà luciférien » sa référence prééminente, et très secondairement l’ascendance divine qui est « le surmoi », lointain et rarement perceptible. C’est l’ordre établie par DIEU qu’on peux voir comme un défie lancer au « moi humain » ici-bas dans ces péripéties spirituelles.

  • #2
    Un peu difficile à lire mais c'est pas mal.
    Si tu aérais ton texte ce serait encore mieux.

    Merci.

    Si tu as beaucoup de richesses, donne ton bien.
    Si tu possèdes peu, donne ton coeur!
    Charif Barzouk

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